Moi je sais pour qui je vote aux présidentielles de 2007, et toué ?

Citation : Bah, moi je trouve que ces histoires de formations c'est un faux prétexte. Certes il y a des domaines bouchés, mais chacun est libre et surtout capable de s'informer pour le savoir, et le choisir.

Citation : Moi en entretien d'embauche on me demande régulièrement si je sais lire et écrire, si je sais réfléchir à une situation etc. Pas fait d'études, mais des compétences concrêtes et des années d'expérience dans finalement des choses diverses et variées. Alors les formations, mouais, c'est juste une question de mentalité bien française et bien merdique sur le sujet. Citou.

Citation : Tant que ça reste de l'information et pas de l'incitation, pas de problème

Citation : Deuxièmement, la réalité est que Sarko n'a pas le talent pour rivaliser avec Ségo sur le combat des idées, non-seulement sa formation ne peut pas rivaliser avec celle de Ségo (parce que c'est la formation qui puise la force des chefs, Ségo est une bonne élève, Sarko un très mauvais qui se laisse emporter par ses émotions), pour biens des raisons (le pacte de Ségo est bien plus précis, Sarko est sortant, la gauche a toujours eu plus d'arguments politiques en général,etc...) MAIS LE PLUS IMPORTANT : Ségolène est bien plus brillante que lui !!! Avec les règles démocratiques, elle peut le ridiculiser de manière flagrante. C'est ça qui doit éclater au grand jour.

Citation : vu que tu fais un taf "pas gratifiant" pour me citer. Et là j'ai l'impression que tu as accepté cette situation, et que tu prêches pour qu'on l'accepte aussi

Citation : mais ça sert vraiment à rien, c'est voué à l'échec.

Citation : C'est pas évident d'avoir cet état d'esprit à 17 balais.

Citation : Que les filières professionels s'ouvrent aux matières dites classiques dont la philo (je ramene le sujet) qui aide quand meme à répondre à une question que nombre de commerciaux investi de la mission d'en coller le plus possible à leur client tout en rigolant bruyamment au restau lors du récit de leurs plus belles enculades devraient se poser : que fait on sur Terre?

Citation : Que l'on ne sache pas c'est une chose

Citation : Le boulot de l'éducation c'est de transformer un mioche couvé qui ne voit pas plus loin que le bout de son nez en quelqu'un de responsable et d'indépendant avec les moyens de réussir sa vie professionnelle. Et entre les deux, si la transition se fait mal sur une quantité importante de gens, il faut bien faire bouger les choses, en commençant par des mesures simples qui auront un gros impact sur les problèmes débiles.

Citation : Ferdinand-> y'a une nuance qui t'échappe encore, la fraude entreprenariale ne représente pas une perte pour l'état en général, mais un manque à gagner, la fraude en général des particuliers s'apparente elle plus à de la dépense superflue.
Je suis d'accord que c'est pas le sujet le plus important, mais je trouve qu'avant de chercher à gagner plus à tout prix (la théorie bancale du financement d'un programme par la croissance repose la dessus quand même), on ferait peut être mieux chercher à dépenser moins.

Est ce que tu roules dans une bagnole qui fait du 20L au 100 en te disant que tu vas devoir bosser comme un crevard pour faire le plein ??
non ! tu achètes une twingo !

Citation : Reste à savoir où attaquer en priorité. Les entreprises sont principalement dans le collimateur. Dans le palmarès des impôts à l'origine des plus gros manques à gagner, la TVA arrive en tête (entre 7,3 et 12,4 milliards d'euros), devant l'impôt sur les sociétés (4,6 milliards), l'impôt sur le revenu (4,3 milliards) et les impôts locaux (1,9 milliard). Les autres impôts représentant 2,2 milliards. Au total, la fraude fiscale représente les deux tiers des pertes de recettes pour la collectivité publique. Le tiers restant étant imputable à la fraude aux cotisations sociales, c'est à dire principalement au travail au noir (entre 6 et 12 milliards d'euros). Et encore, cette estimation ne prend pas en compte le fait que, selon le CPO, près de 75 milliards de cotisations sociales ne sont jamais contrôlées. A la différence des cotisations de la sécurité sociale, « ni les cotisations d'assurance chômage, ni celles de retraites complémentaires ne font l'objet de vérification, les régimes concernés ne disposant pas de corps d'inspection ».

Citation : Un mioche doit réussir également sa vie de citoyen.

Citation : Après, je pense sincèrement que c'était un peu différent il y a 20 ans pour le peu que j'en sais, mais le système était différent, il a même évolué dans le mauvais sens je trouve.

Citation : Le boulot de l'éducation c'est de transformer un mioche couvé qui ne voit pas plus loin que le bout de son nez

Citation : Contre toute attente, les cas de fraude, qui tournaient autour de 1 500 au cours des années 2000 à 2003, de 1 650 en 2004, ont fait un bond à 2 295 l'an dernier. Ce qui représente une perte financière de 21,5 millions d'euros contre 19 millions en moyenne les années précédentes. Un montant qui peut paraître anecdotique si l'on considère que 61 milliards d'euros de prestations sont versés aux allocataires pour les prestations légales et l'action sociale familiale, soit un ratio de 0,035%.

Citation : L'Unedic confirme en revanche des chiffres plus récents rendus publics en février dernier concernant la seule assurance-chômage, et selon lesquels "les fraudes en réseau, aujourd'hui en cours d'instruction, concernent environ 7.000 personnes pour toute la France et pour un montant estimé de 80 millions d'euros qui sont en cours de recouvrement".

Citation : Des cadres qui font croire, via de faux bulletins de salaire, qu'ils gagnent 10 000 € par mois pour toucher de substantielles indemnités de chômage. Des RMIstes qui cumulent un salaire avec le RMI… Et qui oublient de dire qu'ils perçoivent déjà des allocations chômage. Des médecins qui délivrent en pagaille des certificats d'arrêt de travail complaisants. Des pseudo-chômeurs qui bernent les Assedic grâce à de faux papiers… La liste est longue de toutes ces combines, astuces et autres escroqueries qui coûtent cher à la collectivité: de 400 à 500 millions d'euros sur trois ou quatre ans, selon les magistrats qui enquêtent sur ces dossiers.