Moi je sais pour qui je vote aux présidentielles de 2007, et toué ?

Citation : Les derniers sondages placent encore et toujours le candidat de l'UMP en position de favori. "J'ai vraiment le sentiment que M. Sarkozy est plus que jamais favori de cette élection", affirme Jean-François Doridot de l'institut de sondage Ipsos. "Le rapport de forces reste très favorable à M. Sarkozy", estime Frédéric Dabi, de l'IFOP. "Nicolas Sarkozy reste nettement favori, son avance est très significative", selon François Miquet-Marty, de LH2.

Nicolas Sarkozy recueillerait 54,5 % (+ 2,5 points) des voix et Ségolène Royal 45,5 % (- 2,5 points), selon un sondage TNS-Sofres pour RTL, LCI et Le Figaro rendu public vendredi.

Par ailleurs, le candidat de l'UMP l'emporterait sur la candidate socialiste avec 54 % (+ 0,5) des voix contre 46 % (- 0,5), d'après la 55e vague de l'enquête Ipsos/Dell publiée vendredi.

Enfin, selon un autre sondage CSA-Cisco pour Le Parisien/i-Télé réalisé après le débat Sarkozy/Royal et publié jeudi soir, Nicolas Sarkozy l'emporterait sur Ségolène Royal au second tour de l'élection présidentielle avec 53 % (+ 1) des voix contre 47 % (- 1) pour la candidate socialiste.
Clé du second tour, l'évolution du report de l'électorat de François Bayrou, qui devenait plus favorable à Mme Royal, s'est largement inversée depuis lundi, selon Ipsos. L'électorat Bayrou est revenu sur des reports 1/3, 1/3, 1/3. Mercredi soir, 34 % disaient avoir l'intention de voter Royal, 34 % Sarkozy, 32 % n'exprimant pas d'intention de vote ou voulant s'abstenir.

Citation : Je vois pas pourquoi ceux qui ne votent pas par choix devraient fermer leur gueule. Ce sont des sous humains dans votre référentiel?

Citation : Ne pas voter, c'est fuir devant ses responsabilités.

Citation : Les derniers sondages placent encore et toujours le candidat de l'UMP en position de favori. "J'ai vraiment le sentiment que M. Sarkozy est plus que jamais favori de cette élection", affirme Jean-François Doridot de l'institut de sondage Ipsos. "Le rapport de forces reste très favorable à M. Sarkozy", estime Frédéric Dabi, de l'IFOP. "Nicolas Sarkozy reste nettement favori, son avance est très significative", selon François Miquet-Marty, de LH2.

Citation : choisir entre le suicide ou la chaise electrique

Citation : mieux vaut ne pas voter en accord avec ses principes que voter à cause de la pression exercée par le genre de grandes phrases que tu viens d'énoncer.

Citation : je pensais que les conictions ss'exprimaient au premier tour, que le second était un compromis.

Citation : le vote devrait être un devoir comme dans les pays scandinave( avec un vote blanc pris en compte)

Citation : Maintenant, Jules, toi le héraut des valeurs humanistes, etc..., tu vas faire ton Pinochet de bazar et m'empêcher de parler, sous prétexte que je récuse, avec arguments, le bien fondé de la forme étriquée de la "réflexion" politique ?
Tu peux essayer, si tu veux, mais d'une part tu n'y parviendras pas, et d'autre part il te faudra tôt ou tard faire face tout seul avec toi-même avec cette ridicule contradiction.

Comme la loi pour l'instant m'y autorise ( ),je ne participe pas à ce "débat", parce que ses termes, sa forme, m'apparaît ne pouvoir conduire que dans le mur.
Soucieux du bien public, je revendique le droit (que m'accorde votre jolie constitution) d'exprimer mon opinion à ce sujet.

C'est TOI, Jules, petit web-despote, qui vas, par caprice autoritaire, m'empêcher d'user d'un droit que me garantit le système que tu places si haut, auquel tu te réfères, et au nom duquel tu prétends m'empêcher de parler et même me casser la gueule?

Citation : Jules: On fait ce qu'on veut ici, petit Staline de mes fesses...

Je suis justement abstentionniste pour pouvoir me permettre de l'ouvrir tout le temps et à tout propos, contrairement à toi dont le discours reste précautionneusement dans la ligne du parti.

Après le 6 mai, on commencera justement à voir qui agit et résiste, et qui se contente de faire des ronds dans l'eau...

Citation : "Je vais peut-être vous décevoir, mais je ne comprends pas et je n’aime pas l’expression « musique actuelle » (…)
Pour moi, les choses sont plus simples. Il y a les bonnes et les mauvaises musiques. Il y a les musiques qui durent et les musiques qu’on jette après usage. Le rôle de l’Etat et des autres collectivités publiques est d’éduquer les musiciens et les publics, de transmettre le patrimoine, et de soutenir les projets créatifs qui leur semblent les plus prometteurs, quels que soient le genre et le courant musical. S’il faut parler de rééquilibrage, c’est entre les bonnes et les mauvaises musiques. Je reconnais que ce n’est pas simple en pratique, mais rien ne serait pire qu’une démission des élites dans cette recherche des vrais talents et des vraies valeurs : c’est en réalité une des principales justifications à l’existence d’un ministère de la Culture."