Sujet Moi je sais pour qui je vote aux présidentielles de 2007, et toué ?
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oryjen
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Drogué·e à l’AFéine
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_d j a n g o
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oryjen
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oryjen
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Ce sont des animaux des steppes sibériennes, des espèces de petits hamsters, qui vivent en troupes innombrables, dans les zones côtières...
Quand les populations deviennent trop nombreuses par rapport aux ressources disponibles, "quelque chose" en pousse une partie à se fiche à l'eau tous ensemble, et à nager, nager vers le large.
Ils finissent par disparaître, bien sûr.
Ce "quelque chose" est intéressant. C'est une sorte de mécanisme interne à l'espèce, quoique transparent à l'individu, qui se manifeste lorsque l'espèce se met en danger de disparition.
Il s'agit d'un mécanisme de régulation, qui a pour fonction évidente d'éviter la disparition de l'espèce dans sa globalité.
Je ne pense pas que les individus lemmings ressentent ce tropisme pour la fonction réelle qu'il a. Ils ressentent probablement quelque chose comme une soif d'exploration...
Parce qu'aucun individu, à part dans des films américains stupides, n'est prêt à se sacrifier pour l'espèce.
Donc l'espèce ruse...
Les Indiens d'amérique croyaient à quelque chose comme un "esprit commun" à chaque espèce animale.
C.G. Jung avait "observé" chez l'humain l'action de quelque chose de semblable qu'il avait baptisé "inconscient collectif"...
Autre exemple: Toute espèce survit grâce à un tropisme majeur: la nécessité de se reproduire.
Ce tropisme joue très fort dans toutes les espèces vivantes, y compris l'homme bien entendu.
Mais l'homme, lui, ne ressent pas le trivial besoin de se reproduire; il ressent celui d'éprouver le plaisir de la chair, qu'il appelle volupté, ou parfois aussi ce qu'il appelle l'amour.
Il est pourtant évident que ces deux "sensations" sont les véhicules subjectivement acceptables de la nécessité pour l'espèce de se perpétuer...
Ainsi, quand on observe des comportements collectifs qui semblent relever de la folie, il convient de changer de repères, d'évacuer le subjectif, et on tombe souvent sur quelque chose qui s'explique à un autre niveau.
Reposons donc la question: pourquoi diable l'espèce humaine accumule-t-elle depuis 2 ou 3 siècles ( période très courte à l'échelle de la vie d'une espèce...) les conditions sinon de sa disparition définitive, du moins d'une limitation drastique et durable de son expansion?
Pourquoi les décisions qui permettraient d'y parer ne s'imposent-elles jamais?
Quelle est cette "folie"?
Quand les populations deviennent trop nombreuses par rapport aux ressources disponibles, "quelque chose" en pousse une partie à se fiche à l'eau tous ensemble, et à nager, nager vers le large.
Ils finissent par disparaître, bien sûr.
Ce "quelque chose" est intéressant. C'est une sorte de mécanisme interne à l'espèce, quoique transparent à l'individu, qui se manifeste lorsque l'espèce se met en danger de disparition.
Il s'agit d'un mécanisme de régulation, qui a pour fonction évidente d'éviter la disparition de l'espèce dans sa globalité.
Je ne pense pas que les individus lemmings ressentent ce tropisme pour la fonction réelle qu'il a. Ils ressentent probablement quelque chose comme une soif d'exploration...
Parce qu'aucun individu, à part dans des films américains stupides, n'est prêt à se sacrifier pour l'espèce.
Donc l'espèce ruse...
Les Indiens d'amérique croyaient à quelque chose comme un "esprit commun" à chaque espèce animale.
C.G. Jung avait "observé" chez l'humain l'action de quelque chose de semblable qu'il avait baptisé "inconscient collectif"...
Autre exemple: Toute espèce survit grâce à un tropisme majeur: la nécessité de se reproduire.
Ce tropisme joue très fort dans toutes les espèces vivantes, y compris l'homme bien entendu.
Mais l'homme, lui, ne ressent pas le trivial besoin de se reproduire; il ressent celui d'éprouver le plaisir de la chair, qu'il appelle volupté, ou parfois aussi ce qu'il appelle l'amour.
Il est pourtant évident que ces deux "sensations" sont les véhicules subjectivement acceptables de la nécessité pour l'espèce de se perpétuer...
Ainsi, quand on observe des comportements collectifs qui semblent relever de la folie, il convient de changer de repères, d'évacuer le subjectif, et on tombe souvent sur quelque chose qui s'explique à un autre niveau.
Reposons donc la question: pourquoi diable l'espèce humaine accumule-t-elle depuis 2 ou 3 siècles ( période très courte à l'échelle de la vie d'une espèce...) les conditions sinon de sa disparition définitive, du moins d'une limitation drastique et durable de son expansion?
Pourquoi les décisions qui permettraient d'y parer ne s'imposent-elles jamais?
Quelle est cette "folie"?
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L'artiste entrouvre une fenêtre sur le réel; le "réaliste pragmatique" s'éclaire donc avec une vessie.
Negraval
3230
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pemberton
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oryjen
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samy dread
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Anonyme
3278
Ouf... 
J'ai cru un instant que ce thread roulait toujours....
J'ai cru un instant que ce thread roulait toujours....
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