Le club des "lol"
- 1 202 réponses
- 23 participants
- 17 073 vues
- 18 followers

ibraz

je note qu'il est bien évidement ouvert à tous les afiens (logique, le site n'est pas à moi enfin... pas encore)
et que aparement, pour l'instant, il s'adresse aux musicos peu fortunés comme nous, avec peu de matos...
je sais pas si j'ai bien défini le sujet, mais bon, c'est pas le plus important, ce qui importe le plus c'est qu'on cause.

Slayerman




arkane08


Slayerman

Hors sujet : Putain c traumax qui a eu le 700, les boules !

arkane08

Moi il est tant que je change ma gio en bois de cagette car j'en ai marre c'est clair la prochaine sera solide et a mon gout!
Ras le bol de ma "guitare" qui se désacorde sans arret et qui sature toute seul en son clair


a.k.a

Citation : Pour revenir sur bach, il sort de la tonalité, mais cela reste joli, de belles notes etrangeres, qu'il peut se permette, et que ne se permet pas le dodecaphonisme, et comme je l'avais illustré, il est debile de remplacer un systeme, par un autre encore plus restrictif.
Bach ne sort jamais de la tonalité, malheureux ! Les notes étrangères font azussi parti du système tonal, sans quoi la musique serait vraiment chiante. Il utilise certes des notes étrangères, mais de là à dire qu'il sort de la tonalité, je suis assez peu d'accord.
Comment tu veux que le dodécaphonisme de permette des notes étrangères alors qu'il utilise déjà toutes les hauteurs du système tempéré. En plus, le dodéca phonisme utilise systématiquement des notes étrangères : voici la définition de Schönberg : "technique de composition à douze sons n'ayant aucun rapport entre eux"
Ben la débilité des systèmes, tu sais, on n'y peut pas grand chose ! c'est vrai que le système tonal est restrictif, mais je ne dirais pas que le dodécaphonisme est encore plus restrictif, c'est différent, c'est tout.
J'entends à la radio, par exemple, essentiellement de la musique tonale, qui ne se permet aucune note étrangère, bien agréable à l'oreille, etc. Tu en connais beaucoup, à part les jazzmen, qui utilisent énormément de chromatislme ? C'est un mode d'expression comme un autre.

ibraz

Hors sujet : oui, le 700 pour traumax, mais surtout le 666 raté par arkane...
sinon, arkane, si tu veux un truc solide qui se désacorde pas, a chètes toi une basse


Slayerman


Slayerman


ibraz

Hors sujet : slayerman tu t'es fait 500 messages en moins de deux semaines comment tu fais???
je vous avais déja dit que j'avais des envies d'aprendre la clarinette et le saxo? ça me fout les boules...

Slayerman

Hors sujet : Pour les posts un peu de flood, un peu de squattage et c fait !

a.k.a

Citation : Mon père joue du luth (instrument fretless) et dans la musique andalouse et arabe qu'il joue avec, il utilise fréquement les quarts de temps... ben ça sonne bien, à mon avis, les indiens qui utilisent le dodécaphonisme depuis des millénaires ne se sont pas plantés dans leurs trucs...
pfiou, il y a un certain nombre d'erreurs, là dedans...
Si il joue de la musique arabe, ça s'appelle un oud, pas un luth (celui ci est employé pour jouer la musique médiévale des troubadours ou des trouvères).
Tu voulais dire des quarts de tons, non ??
Les indiens n'utilisent absolument pas le dodécaphonisme, pour les simples et bonnes raisons suivantes : ils n'utilisent pas un système tempéré. Ils divisent un ton en 16 shrutis dans la pratique (22 en théorie). Ils n'ont aucune connaissance de la musique occidentale, évoluent dans un système modale et non tonal. Par conséquent, associer l'Inde au dodécaphonisme est une des bêtises les plus monumentales que je n'aie jamais lue ! En même temps, c'est dingue le nombre de conneries que l'on entend sur la musique indienne, hein...
Citation : Tu connais le dodecaphonisme, je v pas te faire une leçon, simplement tu choisis ta serie de base
Tu parles de sérialisme, alors ?
Citation : Tu connais le dodecaphonisme, je v pas te faire une leçon, simplement tu choisis ta serie de base
Elles ne sont pas "en rapport", elles sont les hauteurs de la première série.
Citation : et en plus il y a plein de regles,
Ah parce que dans la musique tonale, il n'y a pas dfe règles style "la sensible monte au moins à la tonique", etc ? Dans tout systtème il y a des règles...
Citation : la premiere serie du morceau doit etre la serie de base
Schönberg lui même s'est fait une joie de les transgresser, et ce, dès la valse de l'op. 23 (la première pièce dodécaphonique sérielle, comme tu le sais), et les autres aussi, ne t'en fais pas.
Citation : il y a plein de façon de contourner les tonalités, par exemple le simple fait d'une marche brouille la tonalité puisqu'en quelques mesures on change plusieurs fois de tonalités.
Remarque intéressante, mais (comme d'habitude), j'ai envie de préciser un peu.
D'abord, toutes les marches ne sont pas modulantes (y compris chez Bach)
Le parcours tonal déroulé dans la marche (si elle est modulante) rend au contraire explicite la tonalité principale. En général, comme tu le sais, on commence par moduler au ton de la quinte supérieure (tiens, c'est pas une règle, ça ??), puis éventuellement au relatif, à la dominante du relatif, ou encore au ton du degré II. Mais en aucun cas je ne suis d'accord pour dire que les marches modulantes contournent la tonalité (à moins que tu entendes une tonalité particulière, mais moi je parlais du système tonal en général).
Les modulations, au fait, ça n'est pas coparabale au traitement de la série (mirois verticla, horizontal, les deux, transpositions, monnaygae, etc.) ??
Ca n'est pas une manière de "détourner" un objet principal pour le détourner en une chose toute différente ?

Slayerman


Pour en revenir sur les "regles", je voulais dire, le systeme est restrictif et EN PLUS il y a plein de regles, qui com dab sont faites pour etre transgressées.
Apres g pas bien compris ton truc
Citation : elles sont les hauteurs de la première série.
Tu as du te gourrer de citation, un petit eclaircissement please ?
a.k.a

Citation : On applaudit notre sympathique vainqueur, je te rappelle que le dodecaphonisme est de la musique serielle,
Eh non, c'est ce que tous les gens qui n'ont pas lu "L'Ecole de Vienne" de Dominique Jameux, ou n'importe quel autre livre sur le sujet (je te conseille au passage les bouquins de René Leibowitz "Introduction à la musique de 12 sons" et "Schönberg et son école" ) croient.
Le dodécaphonisme, c'est de la musique avec les douze sons. Le sérialisme, c'est une forme structurante (grâce à la série) de l'atonalité, du dodécaphonisme. Lis quelques bouquins sur le topo, et on peut en reparler si tu veux, mais il ne faut pas cofondre sérialisme, dodécaphonisme sériel et dodécaphonisme. Le concept de série n'est pas contenu dans le dodécaphonisme.
C'est toi, le vainqueur, tu viens de te ridiculiser.

effectivement, je m'étais trompé de citation, mais j'ai édité !

Slayerman


Et puis ça
Citation : Le sérialisme, c'est une forme structurante (grâce à la série) de l'atonalité, du dodécaphonisme.
si c pas une phrase qui veut rien dire avec des mots compliqués ... le debut est bien, c à partir de la virgule ", du dodecaphonisme" que cela ne veut rien dire. Parce que la j'attend ta definition du dodecaphonisme

Slayerman

Hors sujet : Ne tiens pas trop compte de la derniere phrase, c juste pour parrer l'eventualité que tu cite un de t bouquins que je n'ai pas lu, et ai aucnement envi de lire

ibraz

Hors sujet : Si il joue de la musique arabe, ça s'appelle un oud, pas un luth
les arabes ont en fait donné le nom luth a ces instruments, pour les incapables de franchouillards qui savent pas prononcer le son "3", depuis quelques années, le mon oud revient a la mode pour désigner ce genre d'instruments, qui sont différents selon les pays ou ils sont fabriqués, certains ont des frettes, d'autres pas, avec un dos plat ou bombé...
je suis sur un site français donc je fais un effort et j'utilise le vocabulaire français... mais si vous y tenez, je m'adapterai plus quand je parlerai d'instruments d'ici, vous risquez de galérer...

a.k.a

Tu n'as pas répondu à mes reflexions sur la musique indienne, ni sur les 1/4 de tons...
Quant à toi Slayerman, sache que mon savoir vient d'un maître de conf en musique contemporaine, pas d'une prof de solfège. Jameux est actuellement le meilleur spécialiste français de l'école de Vienne. Si tu ne veuxc pas lire ses bouquins, c'est pas mon problème, mais tu resteras avec ce que tu sdais et qui est faux. Je te rappelle en passant que je vais consacrer mon mémoire à cela, donc je me suis documenté, mais si tu crois que tu as raison, alors tu as raison.
Au fait, slayerman, c'est quoi, les règles du sérialisme ?
aller, on ne va pas polémiquer là dessus, chacun sa petite idée. Il y a du vrai, dans ce que tu dis, mais c'est beaucoup trop vague.
Sur ce, bonne nuit !

Slayerman




a.k.a

Le dodécaphonisme, c'est la composition avec 12 sons, point barre, pas question de série là dedans. Alors oui, tu peux t'amuser à relever les demi-tons dans l'orfre de leur apparition, mais je ne vois pas bien ou ça peut te mener, à part constater que c'est dodécaphonique. Je veux dire par là que le dodécaphonisme évolue éffectivement avec 12 sons, comme son nom l'indique, mais c'est tout.
j'ai bien rigolé, là :
Citation : j'apprend à reconnaitre DES SERIES dixit ma prof de solfege
et là :
Citation : une autre prof de solfege nous avais appris l'historique de la musique serielle
Surtout, n'hésite pas à dévellopper, qu'on voie si on a les mêmes infos.
Citation : il ne faut pas oublier que dans les bouquin ton monsieur il expose SA vision.
Justement non : Jameux a épluché la correspondance de trois viennois (je ne pense pas que ce soit le cas de ta prof), sans compter les nombreux documents qu'il recense, ni ses séjours à l'Arnold Schönberg center ou à l'Alban Berg Society (ce dont je doute en ce qui concerne tes profs de solfège). Par conséquent, quand il donne une définition, ça n'est pas vraiment la sienne
Quand à Leibowitz (si tu t'étais intéressé plus sérieusement à cette période de l'histoire, tu le saurais), il a été le premier théoricien du dodécaphonisme et du sérialisme car IL FUT ELEVE A LA FOIS DE SCHÖNBERG ET DE WEBERN (ce dontje doute vraiment pour ta prof de solfège).
C'est marrant, hein, c'est toujours du côté des autres que c'est faux...

a.k.a


Traumax

Moi je suis pour lebat parce qu'il est plus sympa et qu'il argumente mieux. Mais continuez, j'apprends plein de trucs.
Citation : sinon, arkane, si tu veux un truc solide qui se désacorde pas, achètes toi un Péssé

Slayerman

Les regles fondamentales

Si ça se trouve c toi qui a mal compris leur these, parce que je ne vois pas comment organisé differement douze sons que par des series, et d'ailleurs quand on essaye de reconnaitre les differentes series, on prend la serie de base (pour nous on fait simple c toujours la premiere) et puis sur le brouillon on ecrit la serie mirroir, l'opposée et le mirroir de l'opposée, on leur attribut des couleurs, des que l'on a reconnu une serie on l'entoure de sa couleur, et on chiffre les notes de 1 à 12 exactement comme une serie qui pourrait en avoir plus ou moins on s'en fout c toujours le meme principe. Le principe des series.

a.k.a



Citation : Moi je suis pour lebat parce qu'il est plus sympa
Quel critère objectif !

Je vais reprendre depuis le début, Slayerman, comme ça, aucune ambigüité possible.
jusqu'au années 1907-1908, c'est-à-dire au moment de l'Ecole à proprement parler (Berg et Webern ne suivront les cours de Schönberg que 6 ou 7 ans), les compositions de la trinité viennoise s'éloignent de plus en plus de la tonalité (ce que Schönberg expérimente déjà sous forme de tonalité élargie dès 1904 dans la Nuit Transfiguré : modulations "incongrues" dans la droite lignée de Brahms ou Wagner, avec, déjà à cette époque, un fort attrait pour le chromatisme, souvent localisé dans les marches de cette oeuvre) et on les regroupe sous l'appellation "atonalité libre". Les oeuvres les plus célèbres de cette période sont Erwartung, Die glückliche Hand pour Schönberg, ou les Six bagatelles pour quatuor à cordes de Webern. Dans ces bagatelles, par exemple, le total chromatique est présent, mais pas sous forme de série (tu comprendras quand j'en énoncerai les règles un peu plus bas).
En 1913, Schönberg compose et fait créer dans le cadre de la Verein ("société d'éxecutions musicales privée", destinée à faire connaître les musiques de l'époque : celles de Debussy, de Bartok, de Busoni, de Reger, de Zemlinsky, et bien sûr celle des viennois) qu'il dirige, son Pierrot lunaire. C'est la première oeuvre dodécaphonique à proprement parler : le total chromatique est utilisé à dessein, et de manière quasi-systématique dans chacun des 21 mouvements de cette oeuvre.
En 1923 (après un trou dans l'oeuvre de Schönberg de quelques années), le maître rassemble ses plus fidèles disciples (Berg, Webern, et d'autres) à Mödling pour leur apprendre qu'il a mis au point une "methode de composition avec 12 sons n'ayant aucun rapport entre eux". Cette découverte "assurera l'hégémonie de la musique allemande pendant au moins cent ans", confie-t-il à l'un de ses proches.
En voici les règles :
Toute formation directe d'un accord parfait est interdite.
les octaves sont interdites.
Le compositeur doit choisir, au déopart de sa partition, un certain agencement du total chromatique auquel il se tiendra.
Cette série contient donc 12 sons (en quoi elle est dodécaphonique) et rien que ces douze sons, dans l'ordre selon lequel il a choisi de les disposer, et rien que cet ordre (en quoi elle est sérielle)
Les douze sons doivent être employés de telle sorte qu'aucun d'entre eux ne revienne plus souvent que les autres. C'est pourquoi les procédés dfe mouvement contraire et rétrograde ont vu le jour : pour éviter un déroulement strictement linéaire de la série.
Peu importe la hauteur effective sur le clavier : un do dans l'extrêùme grave du clavier et un do dans l'extrême aigu, sont tous deux des do. Le dodécaphonisme sériel ne prend donc en compte que les hauteurs absolues, et non leurs particularités : hauteur sur l'instrument, timbre, dynamaique, attaque (ce à quoi remédieront des gens comme Boulez en 1951, dans ses Structures pour deux pianos, par exemple).
par alleurs, la série peut aussi bien se trouver dans la mélodie et être déroulée progressivement, ou bien se trouver, en quantité plus ou moins importante, dans un accord : c'est l'équivalence du vertical et de l'horizontal.
C'est pourquoi, Slayerman, je soutenais que le dodécaphonisme (c'est à dire l'emploi des 12 sons) diffère, certes peu, mais diffère quand même, du dodécaphonisme sériel : le dodécaphonisme ne s'occuppe pas, par exemple, de la fréquence de l'occurence de chaque sons, tandis que le sérialisme, si. Dans le sérialisme, l'ordre des sons, la série est prédéterminée et conditionne toute l'oeuvre. Il n'y a pas de série dans le dodécaphonisme, quand bien même on puisse y déceler systématiquement le total chromatique.
De trois choses l'une : ou bien ta prof s'est mal exrpimée, ou bien tu n'as pas compris, ou bien elle a dit des conneries. Le dodécaphonisme n'est pas un sous genre du sérialisme, mais le "vestibule", les tâtonnements, une sortze de propédeutique. Le dodécaphonisme a déterminé le sérialisme. Le dodécaphonisme n'oraganis pas les sons, c'est ce qui fait toute sa différence d'avec le sérialisme.
Petite parenthèse esthétique pour finir. Hegel, dans son Introduction à l'esthétique déclare que "le beau artistique, c'est l'incarnation sensible de l'idée". Alors effectivement, peutêtre qu'à ton goût le dodécaphonisme est "moche" du point de vue sensible, mais si on se conforme à cette maxime hégélienne, le dodécaphonise et le sérialisme sont beaux dans leurs démarches, du point de vue de l'esprit. Je pense que pour appréhender l'art, et en particulier l'art contemporain, il faut savoir s'affranchir et prendre du recul par rapport à ce que nous offrent les sens de manière immédiate.
Par ailleurs, le génie de Schönberg réside dans le sérialisme : c'est le premier à s'être intéressé à la structure de la conscience musical, du phénomène psychique à la réception de la musique. Le fait qu'il veuille, dans le sérialisme, ne privilégier aucun son par rapport à un autre révèle qu'il souhaite ne rencontrer aucune polarisation, qu'on trouve bien sûr énormément dans la musique tonale (puisque les sons ont des valeurs intrinsèques), et donc surprendre l'auditeur (ce qui marche assez rarement à l'écoute de Mozart, par exemple). La musique de Schönberg n'est tout simplement pas destinée aux gens qui restent passifs à l'écoute. Le total chromatique est un nouveau moyen d'expression, qui a des limites, mais qui atteint son but.
Voilà, je crois que toutes les mises au point sont faites.
Finalement, j'aime bien être au club des lol !

Slayerman

Citation : Cette série contient donc 12 sons (en quoi elle est dodécaphonique
Citation : Il n'y a pas de série dans le dodécaphonisme
Merci lebat g tout compris

Bien je vois ce que tu veux parler, je dirai c du chipotage, meuh bon je v pas rester calé sur mes positions comme un gros lourdaud, revenons sur la fin :
Citation : Je pense que pour appréhender l'art, et en particulier l'art contemporain, il faut savoir s'affranchir et prendre du recul par rapport à ce que nous offrent les sens de manière immédiate.
















QUOI !!! C une horreur indigne d'un musicien, je l'ai deja dit, mais une oeuvre est faite pour etre entendue, une fois, une seule, sans partition ... Alors explique moi comment alors tu peux faire des differences de constructions, apprecier le travail de l'auteur, le travail de l'auteur se ressent par l'emotion qu'il arrive à faire passer, les petits frissons qu'il nous transmet, il utilise pour cela n'importe quelle moyen, du moment qu'il arrive à ses fins, mais tu reconnais à l'instant, que cette musique n'est pas faite pour etre ecoutée !!!

Hors sujet : Oui je sais je l'adore

a.k.a

je n'ai pas dit qu'il fallait le faire systématiquement, mais je pense qu'une forme de beauté médiate apparaît dans l'art contemporain grâce à cette distance.
Mais je suis d'accord avec toi pour tout le reste, hein. Simplement, dans le cas du dodécaphonisme, ça peut aider. A l'écoute de Xenakis aussi, par exemple (et pour ne citer que lui...). Rien n'est beau au sens traditionnel du terme, chez Lui, pourtant, sa musique est de l'art !
Il ne fallait en aucun cas prendre ça absolument, ou comme un dogme.
De plus, et pour te titiller un peu, ce débat n'aurait-il pas plutôt lieu d'être dans "art ou science"

Content que tu aies tout compris. Mais ça n'est pa chipoter, c'est être précis.
- < Liste des sujets
- Charte