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Sujet Stress, pression, culpabilité, perdition : pas facile de faire avec... Et vous ?

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Sujet de la discussion Stress, pression, culpabilité, perdition : pas facile de faire avec... Et vous ?
Un petit topic thérapie de plus...

Je ne sais pas trop pour vous mais moi dans mon boulot j'ai beaucoup de stress et de pression, à tel point que parfois je culpabilise, et quand ça arrive trop souvent, je me sens impuissant, perdu face à l'avenir immédiat, mes missions, même ma vie privée.

Ca vous arrive ? Quand ? Comment ? Vous faites quoi ?

En général, pour ma part il s'agit souvent de stress de l'inconnu : la peur du risque que l'on prend en allant sur un terrain pas toujours maîtrisé ou alors le stress de ne pas pouvoir avancer fautes de retours ou d'infos manquantes que d'autres sont sensés nous fournir, ou encore le manque de directives précises de la part de mon boss...

La pression, elle, c'est plutôt quand on me donne trop de responsabilité, je la gère mieux maintenant, avec l'expérience.

La culpabilité, elle, vient parce que je suis un peu trop "honnête", du coup même après avoir fait mes 35h + des heures supp dont je ne verrai jamais la couleur, je me retrouve le soir à la maison à me dire des trucs du genre : "j'aurais pu faire encore ça aujourd'hui, je pourrais commencer plus tôt demain, etc." et je n'arrive plus à sortir du taff, à me faire plaisir en faisant un truc qui me plait, à glander un peu, etc.

Dans certains moment tout ça se cumule avec une intensité assez perturbante et je passe des moments assez difficiles, par exemple depuis 2 semaines j'en chie à donf, ça m'obsède et je ne fais plus rien, on me croirait en dépression...

Bien sûr tout ça joue sur l'humeur, le couple, et tout...
Problème supplémentaire : dans mon boulot, mes collègues et patrons sont tous des amis donc je n'arrive pas à leur en parler de peur que ça leur en rajoute ou qu'ils me sous-estiment, ce genre de truc...

Et vous alors ?

Tant qu'il y aura des couilles en or, il y aura des lames en acier

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1891
x
Hors sujet :
j'dis 100..Overkraft avait fait un avataroscope des réguliers du Pub , c'était dans ces eaux-là
1892
n'empêche

https://fr.wikipedia.org/wiki/Syndrome_d'%C3%A9puisement_professionnel_par_l'ennui

Citation :
Selon Werder et Rothlin, c'est l'absence de tâches signifiantes, plutôt que le stress, qui constitue le principal problème d'un grand nombre de travailleurs. Le syndrome d'épuisement professionnel par l'ennui se caractérise par trois éléments : l'ennui, l'absence de défis et le désintérêt. Les auteurs s'opposent à l'opinion commune selon laquelle l'employé démotivé serait paresseux ; ils affirment au contraire que l'employé a perdu tout intérêt pour ses tâches : les personnes souffrant de bore out sont « insatisfaites de leur situation professionnelle ». Leur frustration peut trouver sa source dans leur incapacité à contribuer au développement de leur entreprise, à utiliser leurs compétences et connaissances ou à voir leurs efforts reconnus. Les auteurs affirment que ce phénomène a été négligé par les chercheurs comme par les employeurs en raison de la stigmatisation sociale attachée au bore out et à ses effets. C'est en effet le stress qui est devenu un marqueur de statut sur le lieu de travail.

check check recheck etc.

bref :|

"L'Homme est la nature prenant conscience d'elle même." - Elisée Reclus

1893
Pareil...

 

 

1894
Citation de cyar :
Pareil...


je m'en doute bien, compadre :??:

"L'Homme est la nature prenant conscience d'elle même." - Elisée Reclus

1895
Citation :
La bonne nouvelle, c'est que la réalisation de cet état de fait m'empêche de culpabiliser, et comme j'ai des dérivatifs externes, je ne gamberge plus trop. C'est nul, comme situation, mais je m'en branle.

Job purement alimentaire du coup.

Pas du tout satisfaisant, mais ça pourrait être encore pire (harcèlement, surcharge...)
1896
ah mais heureusement que ça me rapporte des thunes, sinon ça ferait longtemps que je serai parti.

En plus c'est plus insideux. Je ne m'ennuie pas en permanence, je cherche à récupérer des bouts de tafs intéressants. Des fois ça marche, et je m'éclate un peu. Mais ça retombe tellement vite...

En plus, le climat et les orientations générales font que ça empire, et la maturité de l'ensemble de mes collègues baisse. Du coup, on se retrouve à des niveaux d'organisation vraiment faibles (dans les 2 sens du terme : à la fois en termes de désorganisation, et de placement hiérarchique), et les gens sont peu enclins à tenter des choses un peu intéressantes et/ou stimulantes, se contentant d'une sorte de chaos ambiant habituel.
Pas de plans d'actions, pas de suivi des actions, du coup rien n'est jamais terminé, ça aussi ça contribue à l'épuisement général.

"L'Homme est la nature prenant conscience d'elle même." - Elisée Reclus

1897
Le cercle vicieux, quoi. Fuis dès que tu le peux.
1898
Ouais, et on recrute des gens avec de l'expérience (cf plaisir au taf pour un aperçu des conditions de travail !)

Référence en matière de bon gout capillaire et vestimentaire.
homme à tête de zizi.

http://soundcloud.com/djardin

1899
Chez moi c'est le grand pied intégral :bravo:
#jaimemaboite

Putain, 22 ans que je traine sur AF : tout ce temps où j'aurais pu faire de la musique !  :-( :-)

1900
Mon unique problème au travail c'est les femmes.




Elles m'aiment.
Dans le doute, le mieux ça serait quand même une ligne inox.