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Stress, pression, culpabilité, perdition : pas facile de faire avec... Et vous ?

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Sujet de la discussion Stress, pression, culpabilité, perdition : pas facile de faire avec... Et vous ?
Un petit topic thérapie de plus...

Je ne sais pas trop pour vous mais moi dans mon boulot j'ai beaucoup de stress et de pression, à tel point que parfois je culpabilise, et quand ça arrive trop souvent, je me sens impuissant, perdu face à l'avenir immédiat, mes missions, même ma vie privée.

Ca vous arrive ? Quand ? Comment ? Vous faites quoi ?

En général, pour ma part il s'agit souvent de stress de l'inconnu : la peur du risque que l'on prend en allant sur un terrain pas toujours maîtrisé ou alors le stress de ne pas pouvoir avancer fautes de retours ou d'infos manquantes que d'autres sont sensés nous fournir, ou encore le manque de directives précises de la part de mon boss...

La pression, elle, c'est plutôt quand on me donne trop de responsabilité, je la gère mieux maintenant, avec l'expérience.

La culpabilité, elle, vient parce que je suis un peu trop "honnête", du coup même après avoir fait mes 35h + des heures supp dont je ne verrai jamais la couleur, je me retrouve le soir à la maison à me dire des trucs du genre : "j'aurais pu faire encore ça aujourd'hui, je pourrais commencer plus tôt demain, etc." et je n'arrive plus à sortir du taff, à me faire plaisir en faisant un truc qui me plait, à glander un peu, etc.

Dans certains moment tout ça se cumule avec une intensité assez perturbante et je passe des moments assez difficiles, par exemple depuis 2 semaines j'en chie à donf, ça m'obsède et je ne fais plus rien, on me croirait en dépression...

Bien sûr tout ça joue sur l'humeur, le couple, et tout...
Problème supplémentaire : dans mon boulot, mes collègues et patrons sont tous des amis donc je n'arrive pas à leur en parler de peur que ça leur en rajoute ou qu'ils me sous-estiment, ce genre de truc...

Et vous alors ?

Tant qu'il y aura des couilles en or, il y aura des lames en acier

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1941
Bah vu le thread, on suppose :noidea:
1942
Pas forcément, mais quand tu passes 10h de ta vie à faire un truc qui t'emmerdes, ça laisse peu de temps pour s'occuper du reste.
Et ça met une grosse pression aux hobbies, famille et amis qui doivent compenser.

Référence en matière de bon gout capillaire et vestimentaire.
homme à tête de zizi.

http://soundcloud.com/djardin

1943
10h de ta vie c'est light comme taf...:oops2:
1944

Il a dit "TOUT plaquer".

J'ai bien entendu parler de certains qui sont partis chercher le pain et ne sont jamais revenus.

"If you have a good set of earplugs, you can crank it up to 5 or 6 and it will crush small villages."

"Everything is context"

1945
Pas etonnant quand on sait l'effet qu'ont les boulangeres sur certains.
1946
Le truc c'est que ce que décrit j-master dans les pages précédentes et que je vis à peu près aussi, ce n'est pas un coup de mou comme ça qui va se régler avec 2 semaines d'arrêt. Le problème n'est pas j-master, le problème c'est l'endroit où il taf qui est devenu une machine à broyer les mecs qui mettent un peu de coeur dans ce qu'il font. Changer la machine à broyer n'est pas possible, et deux semaines plus tard ça sera la même, les regards réprobateurs d'avoir passé deux semaines en "vacances" en prime.

Perso, sur une semaine de congé il y a 2 mois, j'ai bricolé, joué de la gratte à quasi saigner, glandé à regarder des séries TV, bu des bières, pris mon temps. J'étais serein, tranquille, plutôt heureux. Et dès le retour au taf, patatra, putain chier merde de crotte à cul. Du coup je me suis demandé qu'elle était la différence entre cette semaine de congé et le taf, où je n'ai quasi rien à faire pourtant, comme en vacances -> la culpabilité. Du coup, les décisions au taf c'est de la merde ? -> je men tape c'est pas de ma faute, j'ai tout fait pour que ça change mais je n'en ai pas le pouvoir. A côté de ça, je prend bien le temps de chercher tu taf ailleurs, et je suis même par la force des choses, payé pour ça. Je ne suis pas coupable de ça, c'est la situation qui s'est créée à mon corps défendant pendant 4 ans qui m'y oblige.

Donc en attendant (mais il ne faut pas non plus "juste attendre" mais chercher du taf activement) il faut juste se convaincre que toutes ces histoire de taf c'est pas si grave, et que plus tard, quand il le sera tiré de là, il pourra de nouveau prendre du plaisir à bosser sur ce qu'il aime faire.
1947
Citation de Da :
Il a dit "TOUT plaquer".


Ou alors il a trouvé une formation de plaquiste, j'ai pas compris et je vous ai réveillé au bout de 6 mois pour des nefles.
1948
+1 Lenny
D'ailleurs j'en peux plus de savoir si je vais pouvoir me tirer cet ete, ca fait deux semaines que j'attends cette offre.
1949
:-D

Citation :
Vaut mieux deux semaines d'arrêt pour un petit coup de mou, que d'attendre, de s'accrocher et de faire 6 mois d'arrêt avec médicaments lourds pour grosse dépression.
J'en connais qui se sont accrochés et qui ont mis un an à se reconstruire et à avoir la force de sortir voir du monde.

Et aucun boulot ne mérite ça. Surtout pas dans une grosse boite d'info. Ça tournera sans toi. Et si ça ne tourne pas, c'est que c'est pas solide et que la boite est merdique


+1 énergique

 

 

1950
2 semaines d'arrêt, c'est pas pour aller mieux.
C'est une semaine pour se reposer physiquement.
Et une pour décider de faire autre chose dans sa vie et démarrer des projets.

Référence en matière de bon gout capillaire et vestimentaire.
homme à tête de zizi.

http://soundcloud.com/djardin