[SONDAGE] Bureau de vote fanzine (2012)

Si tu supprimes la pub de 3 chaines du service public après 20h. Les contrat publicitaires ne peuvent que augmenter sur les autres chaines et donc remonter le cours des actions du groupe. (Bouyges détient 42.93% des parts de Tf1)

Mouais c'est pas comme si il avait déjà 2 ou 3 autres affaires similaires qui le suivait ou que même sa politique générale pendant 5 ans a largement favorisé les grands capitaux à s'enrichir.

Politique de l'autruche founasse ?

On ne peut pas nier que Sarkozy a des relations plus que louches entre Nicolas Bazire, Thierry Gaubert, Kadhafi (du moins en 2007), les plusieurs dictateurs arabes avec qui il avait l'habitude, lui ou ses ministres, de déjeuner ou de séjourner à leurs frais, les soupçons sur l'argent de Bettencourt..ça commence vraiment à faire très louche pour un seul homme, et c'est du jamais vu pour un chef de l'Etat.

Foune, ça ressemble à du troll quand tu fais la verge effarouchée (vous avez bien lu ) à propos de l'investiture aux législatives à Pau, sur la base de l"opinion personnelle" d'une femme du PS, et que derrière tu attends qu'on te sorte le dossier entier sur Sarkozy avec des détails. En l'occurnce c'était dans le Canard ENchaîné, le texte de loi reprend à 99% la proposition envoyée par Bouygues à l'UMP.

suspect (aux yeux de la loi)

Si tu supprimes la pub de 3 chaines du service public après 20h. Les contrat publicitaires ne peuvent que augmenter sur les autres chaines et donc remonter le cours des actions du groupe.

Sur FR2, il y avait quoi comme encart pub après 20h ? Aucun pendant les films il me semble ni pendant les émissions de deuxième partie de soirée, donc en gros, on devait avoir 3 ou 4 encarts pub au grand max. Quel pourcentage ces encarts représentent sur le total des accords conclus ? Pas des masses à mon avis.

De plus, avec l'ouverture à la TNT (aussi sous Sarkozy), les publicitaires avaient d'autres plages potentiellement disponibles, et qui n'appartiennent pas forcément à Bouyguounet.

La discipline budgétaire doit s'appliquer de manière différenciée en Europe mais les pays les plus en difficulté, comme la Grèce, n'ont d'autre choix que de s'y plier sinon c'est "le défaut de paiement", a averti le président de la Commission européenne, José Manuel Barroso.

"Il n'y a pas de solution unique pour tous, il faut tenir compte de la situation propre à chaque pays" en matière de consolidation budgétaire, a souligné José Manuel Barroso au cours d'une conférence de presse. Mais "les pays sous programme d'aide n'ont pas d'alternative" à la consolidation budgétaire "sinon c'est le défaut de paiement désordonné, ce qui n'est pas une solution", a-t-il averti en réponse à une question sur la situation grecque.

"Ce serait complètement irresponsable de dire à ces pays de tenter de faire repartir la croissance en creusant le déficit. Ce qui se passera dans ce cas, c'est que ces pays paieront des intérêts beaucoup plus élevés, et l'argent dont ils ont besoin pour leurs services publics, leur cohésion sociale, leurs investissements, sera dévolu au paiement d'intérêts plus élevés", a-t-il expliqué. "Ce serait démagogique et ce ne serait pas sérieux de leur dire qu'ils peuvent relâcher leurs efforts de consolidation", a-t-il encore insisté.

While much of Europe wallows in recession, the economy of this volcanic island in the mid Atlantic is growing at a clip that has surprised many people, thanks to a currency fall - in which the crown lost almost half its value to the euro - an export and tourism boom as well as growing consumer confidence.

"This is probably one of our best years," said Arnthor Einarsson, a fisherman readying his boat for his next catch as seagulls circle huge piles of fishing nets on a rocky peninsula about one hour south of the capital Reykjavik.

Only a few years ago, a banking boom in which the sector's assets grew to 10 times the country's GDP lured many of Iceland's 320,000 population from traditional industries into the world of finance. Fisherman got into banking and sailors speculated on booming real estate.

Those heady days have gone. Gas-guzzling Land Rovers have been replaced with fuel-efficient Volkswagens, a sign perhaps of a more sober consumer mood in which economic growth is based on a steady expansion of exports rather than flash-in-the-pan speculation.