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Sujet [SONDAGE] Quel est votre niveau d'aptitude en théorie musicale. Sur une idée de toilb ?

  • 244 réponses
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  • 133 followers
175 vote(s)
1 réponse(s) maximum Fin du sondage : 07/02/15
1 Posté le le 13/05/2012 à 01:50 Sondage Clos
Quel est votre niveau de d'aptitude en théorie musicale ?
  • 1 Mauvais (je dois sans arrêt calculer la note suivante, je ne peux pas lire en rythme.) (42 - 24%)
  • 2 Piètre (Je déchiffre lentement la clef de sol, mais en rythme.) (33 - 19%)
  • 3 Moyen ( clef de SOL lu parfaitement, FA assez bien, rythme composés de double croche, déchiffrage à vue du premier cycle de votre instrument. Dictée tonale à une voix) (21 - 12%)
  • 4 Nul ( Ah les notes ce ne sont pas simplement des fractions sur 20 ) (18 - 10%)
  • 5 Assez bon (Clef de Sol FA UT 3, rythme composé de triple croche, ternaire dans le binaire avec facilité, Déchiffrage à vue du second cycle de votre instrument. Dictée à deux voix.) (18 - 10%)
  • 6 Bon (Clef de SOL FA UT 1 et 3, j'harmonise à 4 sons dans les règles académiques,Déchiffrage à vue du troisième cycle de votre instrument. Dictée à trois voix) (15 - 9%)
  • 7 M'en bat la race, je traîne sur AF parce que je suis passionné de voiture, ou d'autres chose. (14 - 8%)
  • 8 Presque nul( J'étais super bon, quand mon pote m'écrivait les noms des notes avant l'intérro.) (6 - 3%)
  • 9 Très bon ( Les 7 clefs sans latence, théorie musique contemporaine, toute l'harmonie connue, quintolet sur des quatruple croche ? Facile. Dictée atonale, j'entend tout ) (5 - 3%)
  • 10 Excellence ( Diplômé du CNSM en écriture et contrepoint, J'improvise des fugues à 4 voix ) (3 - 2%)
Sondage réalisé du 13/05/2012 au 07/02/2015 - 175 participants - 1 réponse par participant
Sujet de la discussion [SONDAGE] Quel est votre niveau d'aptitude en théorie musicale. Sur une idée de toilb ?

Je remets le choix des réponses ici puisqu'il disparaît une fois le vote consumé !

Citation :

 

Nul ( Ah les notes ce ne sont pas simplement des fractions sur 20 )
Presque nul( J'étais super bon, quand mon pote m'écrivait les noms des notes avant l'intérro.)
Mauvais (je dois sans arrêt calculer la note suivante, je ne peux pas lire en rythme.)
Piètre (Je déchiffre lentement la clef de sol, mais en rythme.)
Moyen ( clef de SOL lu parfaitement, FA assez bien, rythme composés de double croche, déchiffrage à vue du premier cycle de votre instrument. Dictée tonale à une voix)
Assez bon (Clef de Sol FA UT 3, rythme composé de triple croche, ternaire dans le binaire avec facilité, Déchiffrage à vue du second cycle de votre instrument. Dictée à deux voix.)
Bon (Clef de SOL FA UT 1 et 3, j'harmonise à 4 sons dans les règles académiques,Déchiffrage à vue du troisième cycle de votre instrument. Dictée à trois voix)
Très bon ( Les 7 clefs sans latence, théorie musique contemporaine, toute l'harmonie connue, quintolet sur des quatruple croche ? Facile. Dictée atonale, j'entend tout )
Excellence ( Diplômé du CNSM en écriture et contrepoint, J'improvise des fugues à 4 voix )
M'en bat la race, je traîne sur AF parce que je suis passionné de voiture, ou d'autres chose.

 

 

J'ai repris les critères de toilb, que j'ai un peu étayés.

Ne pouvant pas écrire tout ce qui se rattache à un niveau plutôt qu'un autre, à vous de plus ou moins vous situer. Mais je pense qu'il y a assez d'indications. Evidement, pour passer à un niveau suivant il faut connaître ce qu'il y a dans le précédant.

Et parce que certains peuvent être compositeurs sans avoir un niveau exceptionnel en instrument à vous d'oublier volontairement certains des critères pour vous placer.

A vous de jouer.

 

Le topic sera sans doute amené à dévier sur l'utilité (oui/non/bof) que la théorie musicale apporte à la musique. Ca tombe bien c'est pour cela qu'il a été crée, afin d'éviter de polluer d'autres sujets.

 

[ Dernière édition du message le 13/05/2012 à 02:16:21 ]

Afficher le sujet de la discussion
191
Et bien j'ai la conaissance musicale suffisante pour lire une partition comme un livre ( je dis pas que j'arriverais à tout jouer, mais je sais lire... ). Et pourtant, je préfère noter mes idées via un enregistreur audio...
192
Citation de Djardin :
Genre en guitare, tu apprends au bonhomme à poser 3 accords, il est content, il joue, donc travaille.
plus tard, tu lui dit "un accord, c'est basse + tierce + quinte", donc c'est du solfège. et là le gars comprends l'utilité du truc, et le met tout de suite en pratique

+ 1 mais la guitare c'est un mauvais exemple, le manche peut être considéré comme un tableau ( d'ou les tablatures ) et avoir un "visuel" qui peut se passer partiellement d'écriture pour certaines musiques (récentes, les plus séquentielle). On "voit" l'harmonie sur ce manche...
Ensuite les formes d'écritures types grilles sont là surtout pour la mémoire. Enfin pour moi...:-D

Mais c'est l'énorme débat qui sévit actuellement dans les écoles de musique, entre les partisans de la méthode traditionnelle et ceux qui enseignent la musique dite "actuelle".

ce petit mot que j'ai chopé sur "le monde" y'a pas longtemps, pardon pour la longueur :

Citation :
Cessons de décourager la vocation
musicale des enfants

LE MONDE | 23.08.2012 à 15h21 • Mis à jour le 24.08.2012 à 14h28
Par Murielle Radault, professeur d'éducation musicale, mère d'élèves

On entend parfois dire que les Français seraient moins "musiciens" que
d'autres. C'est tout à fait faux. En France, la demande de musique est énorme.
Mais nous sommes le seul pays au monde à proposer un parcours
d'apprentissage aussi aberrant. Erigé en bête noire par des générations
d'enfants, le solfège y occupe une place démesurée. Non seulement ce
système verrouille et castre, mais, de surcroît, il le fait de manière erratique et
incohérente.
J'aime les conservatoires. Ces maisons de la musique permettent un
apprentissage où l'individuel avance de pair avec le collectif, une des manières
les moins onéreuses de pratiquer un instrument auprès de bons professeurs,
merveilleux privilège dont tant d'adultes ont le regret. Une faille : l'enseignement
du solfège. Désormais appelée "formation musicale" (FM), cette matière
mobilise les élèves pour un temps environ 3 fois supérieur à celui de leur cours
d'instrument. Elle se compose de deux cycles de cours obligatoires de quatre
ans chacun où des hordes d'enfants se rendent sans joie. Trop longs (jusqu'à
deux heures hebdomadaires), les cours de formation musicale grèvent l'emploi
du temps de l'élève.
L'ineptie des contenus est effarante. Des écoliers du primaire planchent durant
des séances entières sur des partitions d'orchestre ou des qualifications
d'intervalles. Or, ce type de connaissances ne correspond pas à leur évolution
psychique : ce qu'un grand adolescent assimilerait en quelques séances, aucun
enfant ne le comprend. Au mieux, il les apprendra par coeur. Au pire, elles le
dégoûteront à jamais de la musique.
Cette intellectualisation précoce est d'autant plus pernicieuse qu'elle fait perdre
de vue les paramètres élémentaires : rythme, lecture, chant. On invente alors
des systèmes de soutien, censés pallier l'indispensable travail de base, non
effectué en cours, qui ponctionnent encore davantage le temps de l'enfant... tout
cela pour aligner deux croches noires !
Trop de cours ont des contours flous. Il en résulte un stress diffus, notamment
pour les familles qui n'ont aucun moyen de suivre leur progéniture. Un épisode
insolite s'est déroulé au conservatoire Frédéric-Chopin (Paris 15e). Après un
temps de préparation fort bref, un enfant de 10 ans poursuit à l'oral son
"parcours de lecture" en clé de sol sans prendre garde au changement de clé.
Au lieu de l'interrompre pour lui signaler son erreur, le jury le laisse terminer puis divise sa note par deux comme s'il était entendu qu'il ne savait pas lire la clé de
fa. Or cet élève pratique le violoncelle depuis plusieurs années (un instrument
qui se lit en clé de fa). Directeur et conseiller aux études, pourtant avertis, n'y
trouvent rien à redire .
Après quelques années d'un tel régime, on comprend mieux la fonte massive
des élèves. En juin, le tableau d'affichage apposé dans le hall de ce même
conservatoire recense 105 enfants à l'examen de fin de premier cycle et 71
reçus, soit un taux d'échec proche des 30 %. L'année suivante, ils ne sont plus
que 49 candidats et, quatre ans plus tard, en fin de second cycle, il n'en reste
que... 27, à peine plus du quart, dont certains ont déjà entamé leurs études
supérieures !
Aucune précision quant au détail des notes et des compétences évaluées. Un
mot : maintien ou passage, assorti d'une litanie hallucinante de commentaires,
tous négatifs. On chercherait en vain l'ombre d'un encouragement. Dans un lieu
fréquenté par la fine fleur des élèves en termes d'écoute et d'investissement, on
reste pantois devant ce formidable gâchis. Files d'attente interminables ou
réseaux téléphoniques saturés dès l'ouverture des inscriptions disent un fort
désir de musique. Que devient le beau vivier d'amateurs qui manifeste son
adhésion à travers des déplacements souvent trihebdomadaires ?
Un audit des conservatoires parisiens a eu lieu récemment. Axé sur des aspects
comptables, sociologiques et organisationnels, un rapport d'avril 2010 relève
qu'un professeur de FM comptabilise moins d'élèves que ses collègues et
préconise... le remplissage de la classe. On oublie de préciser que la demande
concerne l'apprentissage d'un instrument et non la FM. Le secret ? Celui-là
même qui résume toute pédagogie de l'enfant : être exigeant sur du court. Le
travail auprès des professeurs d'instrument (vingt minutes en début de cycle) en
fournit un remarquable exemple.
Trois objectifs : 1. L'allégement des horaires de formation musicale : une heure
hebdomadaire maximum en 1er cycle, une heure et demie hebdomadaire
maximum en 2nd cycle. 2. La simplification des contenus : un cours clair et
limitatif, une pratique régulière (non évaluée) du déchiffrage, des devoirs légers
comportant une petite part d'écriture, la vérification du travail donné, celle des
cahiers qui repartent dans les maisons. 3. Des examens axés sur la réussite de
l'élève : mal conçues, certaines épreuves déstabilisent de bons élèves au lieu
de leur permettre d'exprimer leur talent, créant d'inutiles souffrances. Assiduité,
chant et rythmes préparés devraient garantir le passage dans la classe
supérieure. La formation musicale doit soutenir et non parasiter un art qui, à
l'âge des enfants, se vit avant de se penser .
Murielle Radault, professeur d'éducation musicale, mère d'élèves

Un esprit sein dans un... cornichon ?

Le tout venant a été piraté par les mômes, on se risque sur le bizarre : https://soundcloud.com/gojats  

193
Citation :
Et pourtant, je préfère noter mes idées via un enregistreur audio

Désolé mais je ne peux pas laisser passer une approximation pareille... c'est comme si tu venais dire sur www.ferrari.com que pour t'entraîner pour les compèt, ta Polo TDi te suffit.

La méthode que tu décris, ça va bien pour un type qui a une grille de quatre accords à la guitare: LAm DO FA SOL. OK, l'enregistreur de poche suffit amplement, quand bien même ce jouet ne numériserait qu'en 8 bits mono.

Là où ça se complique, c'est quand c'est plus un apprenti, mais Monsieur Georges Brassens à la guitare: LAm7 DO FA et SOL7. Mais j'en conviens, l'enregistreur peut encore suffire (suffire probablement pour le compositeur qui réécoutera son enregistrement et se rappellera peu ou prou de sa grille - pas dit que ça suffise à un néophyte, mais admettons).

Bon, remplace main'nant Georges B par Django R, un type qui te fout des 7, des add9, des mb5, des sus4 de partout. Ton enregistreur, hein... et le mec qui va écouter et devoir retranscrire, mes condoléances.

Mais c'est pas tout. Remplace le guitariste par un pianiste, qui improvise non plus une grille de quatre accords, mais un deux voix. L'enregistreur, il va morfler du pause-rewind-play-pause-rewind-play à la retranscripture, que je te dis que ça!

Finalement, remplace le pianiste par un fan de baroque, qui lui, va te faire un truc à 4 voix, en contrepoint rigoureux pour commencer, pour dire de rire, puis en contrepoint libre ensuite. Les limites de l'enregistreur sont dépassées depuis un bon moment, copain. Je mets n'importe qui au défi, ici (et moi le premier bien sûr), de me retranscrire ne serait-ce que seulement ces huit mesures là (soit neuf secondes de musique, pas plus) extraits d'une oeuvre majeure de Bach, simplement en écoutant l'enregistrement audio et en se fiant à son oreille:
00:0000:00

(9 secondes, sur 8mn30 que dure la première partie de l'oeuvre, jsus gentil!)

CQFD.
L'enregistreur c'est effectivement bien, oui, pour de la chansonnette d'après 1960 à tendance pop, voire pop-rock, et si possible qui obéit aux I IV V et autres habitués.
Pour tout le reste, on peut oublier. :-D A la rigueur, une GoPro qui enregistre le mouvement des mains du musicien, à la rigueur...

[ Dernière édition du message le 13/12/2012 à 14:47:29 ]

194

+1 avec Darinze. après, par contre, l'enregistreur permet d'avoir plus de nuances dans le son, le style, etc.

 

Pour l'article du Monde, je l'avais lu, et il m'avait fait très plaisir.

 

Par contre pour le solfège en guitare, je mettrais une nuance : au début, je m'en passait. je jouait uniquement en EADGBe ou DADGBE, donc de façon géométrique, c'est jouable.

Mais une fois qu'on veut reproduire la même musique sur une autre instrument, accordé différemment, il faut se demander : le doigt là sur cette case, c'est quelle note ? donc avec le nouvel acordage, c'est où ? ou sur un clavier ? ou une flute ?

et ça oblige à penser en termes de note, et plus de position.

Référence en matière de bon gout capillaire et vestimentaire.
homme à tête de zizi.

http://soundcloud.com/djardin

195
x
Hors sujet :
(ps) comme d'hab, j'ai longuement édité après mon premier jet
196

Pas totalement convaincu par ta démonstration, en tout cas en dehors de la musique classique.

Je pense même que dans le rock et la pop, il y a plus d'artistes qui n'ont jamais écrit une seule de leur chanson sous forme de partition que le contraire. Et c'est bien l'enregistreur ( et leur mémoire) qui était leur outil de compo.

Après tu peux considérer l'ensemble de la pop à des grilles de 4 accords redface2 , mais c'est pas gentil.

A titre personnel,déjà,  pour jouer une reprise, si je dois choisir entre l' enregistrement et la partition, je prend l'enregistrement automatiquement : beaucoup plus d'infos à relever. Même un fichier midi contient plus d'infos qu'une partoche! mrgreen

 

 

l'appréciation qu'on peut avoir de la déco de Noel de ma voisine dépend de la conscience qu'on a de l'état de la société.
197
daRinze -> pour la comparaison entre les voitures, j'suis pas d'accord, on parle pas de la même chose. Pour rester dans l'analogie, je parlerais plutôt de 2 moyens pour arriver à ces fins : la voiture Vs le vélo ??
Un vélo c'est simple en très peu de temps tu peux te déplacer, aller ou tu veux... ( oreille )
La voiture, faut savoir la conduire, ce n'est pas inné, elle te permet d'aller cependant beaucoup plus vite qu'un vélo ( partition ).

Je ne suis pas contre les partitions, je dis juste que j'ai tout posé il y a 10ans pour ne faire qu'improviser, et que je préfère noter mes morceaux en audio plutôt que sur papier.
Après, je ne note pas tout, et pour tout dire, j'en perds beaucoup !!

J'ai appris le piano en écoutant énormément de pianiste jazz, ça m'a libéré, et pour moi, l'oreille ça se travail et l'éducation musicale actuelle est trop scolaire en partie à cause du solfège.

Pour moi, le solfège a longtemps était un frein au développement de l'improvisation...
Je préfère ne plus penser en terme de note, mais en terme d'écarts !!??
Disons qu'il m'arrive souvent d'improviser de me dire tiens ça, ça ressemble à ce morceau... et de tenter de le jouer... mais je ne suis probablement jamais dans la bonne tonalité ( sauf quand je travaille un morceau précisément ).

Par exemple le Köln concert ( ou Thelonius.Monk ) j'ai acheté les partitions, mais j'arrive pas à travailler avec... je préfère utiliser mes CD.
Mais je vais être franc, en regardant la partition, j'apprends moins vite, mais je joue plus précisément : c-a-d que je joue toutes les notes... Alors qu'à l'oreille, je ne joue que le sentiment que j'entends...

( suis-je clair ?? je me le demande !!???..;:wd;mbnsdnbjqnb )
198
Citation :
Après tu peux considérer l'ensemble de la pop à des grilles de 4 accords

ce n'était pas du tout mon propos.
Je suggérais juste que "la" musique ne se limitait pas à quatre accords chopables et réécoutables à l'envi sur un enregistreur... ok je l'avoue, j'ai pris l'exemple du musicien et de l'instrument (et d'un morceau monumental) qui me parle ; j'aurais pu je pense, tout aussi bien lancer des défis sur des grilles velues de jazz, de free-jazz, de Knopfler, de prog, voire de metal suédois où je suis sûr qu'il y a des subtilités que seule une oreille ultra pointue saura relever. Et quand je parle d'oreille ultra pointue, ça veut dire qu'on a déjà quitté le monde des gens "sans théorie"...
Par le passé, je veux dire avant 1960-et-des, le SEUL cas (et il n'est même pas prouvé) où quelqu'un ait fait confiance à son oreille pour "enregistrer" puis "retranscrire" plus tard une partition, est la légende qui court à propos de Mozart et du Miserere d'Allegri.
199
Piergynt tu as été clair, t'inquiète ;)

J'entends et je comprends ce que tu dis.
Mais pour moi tu ne parles là, que d'amusement. Pas de musique - au sens où moi je l'entends, et que je ne cherche pas à imposer à tout le monde, hein! Juste que OK, ta démonstration vaut pour un bon boeuf ou un bon jam, entre potes ou même avec Paul McCartney si tu avais la chance de partager 5 mn de scène avec lui.
Mais ce n'est pas valable pour une session studio - enfin, à mon avis.

Tout ceci n'est que mon avis et ma vision, je n'impose pas de point de vue.
200
Tiens ! Regarde l'avatar de Louf ! Tu te rappelles cette histoire ?

Là, tu as la différence entre un amateur et un pro. La même différence que je vois entre le gars "qui sait lire" et l'autre "qui n'a qu'une oreille" (aucune péjoration dans ce que je dis).
La mémé qui a voulu repeindre c'te toile, non seulement elle sait pas lire la partition, mais en plus elle a - malheureusement - une super mauvaise oreille, bon bah voilà le résultat.
Je dis pas que tous ceux qui savent pas lire ont une oreille désastreuse!
En revanche, un apprenti peintre, il n'aurait peut-être pas eu le génie du peintre originel, mais sa reprise aurait été, j'en suis sûr, nettement plus convaincante. Même si, par la suite, on aurait pu lui trouver x défauts!