Saxophoniste ; saxophonistes
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S.d.m
4787
Squatteur·euse d’AF
Membre depuis 20 ans
Sujet de la discussion Posté le 14/04/2004 à 14:11:33Saxophoniste ; saxophonistes
Pour arreter de pourrir le thread du Neuman U87 avec un gros HS!!!
Antoine
Antoine
saxobar
1826
AFicionado·a
Membre depuis 19 ans
2011 Posté le 22/09/2005 à 17:36:07
Ben y'a plus personne ici
Sex'aphone
KoalaMan
19513
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 20 ans
2012 Posté le 22/09/2005 à 17:50:41
Ben si !
On ne voit bien qu'avec les yeux. Le cœur est invisible pour l'essentiel.
massif
164
Posteur·euse AFfiné·e
Membre depuis 19 ans
2013 Posté le 22/09/2005 à 19:14:17
Bonjour en passant !
Zenzic
1326
AFicionado·a
Membre depuis 19 ans
2014 Posté le 22/09/2005 à 20:31:41
Je croyais aussi qu'il n'y avait plus personne j'ai eu peur...
Zenzic
1326
AFicionado·a
Membre depuis 19 ans
2015 Posté le 22/09/2005 à 20:36:47
Au fait j'adore les nouveaux non attribuer en fonction de nombre de poste.
Ca m'éclate celui que je préfére c'est le mien "Chef Sioux du Son". C'est trop carambar comme nom
Hé au faite j'ai fini les vendanges et je peux dire que cette année c'est pas la meilleure . Il faudra ce lever de bonne heure pour trouver une bonne bouteille pas trop chère. A part pour môa bien sur
Ca m'éclate celui que je préfére c'est le mien "Chef Sioux du Son". C'est trop carambar comme nom
Hé au faite j'ai fini les vendanges et je peux dire que cette année c'est pas la meilleure . Il faudra ce lever de bonne heure pour trouver une bonne bouteille pas trop chère. A part pour môa bien sur
saxobar
1826
AFicionado·a
Membre depuis 19 ans
2016 Posté le 22/09/2005 à 20:50:53
Alors grand Chef Sioux du Son, t'as fini les vendanges et tu nous apprends que la cuvée ne va pas être bonne
notre grand oenologue Yves, ne va pas être satisfait du tout, il t'a bien que c'était son pinard préféré que tu vendangeais
notre grand oenologue Yves, ne va pas être satisfait du tout, il t'a bien que c'était son pinard préféré que tu vendangeais
Sex'aphone
Zenzic
1326
AFicionado·a
Membre depuis 19 ans
2017 Posté le 22/09/2005 à 20:56:58
Pour le pinard je ne connais malheureusement que les bourgognes et les beaujolais. Mais comme je ne bois presque qu'exclusivement du blanc ou du champagne, je ne peux rien dire sur les autres vins...
saxobar
1826
AFicionado·a
Membre depuis 19 ans
2018 Posté le 23/09/2005 à 08:14:21
Monsieur ne boit que du champagne
Sex'aphone
Saxafond
1383
AFicionado·a
Membre depuis 21 ans
2019 Posté le 23/09/2005 à 09:25:53
Citation : cette année c'est pas la meilleure
Ici c'est l'inverse, superbe année
Année venteuse, donc état phytosanitaire exceptionnel, soleil et chaleurs raisonnable (un peu dernière quinzaine de juin c'est tout), trés peu de pluie (8 mois sans réelle pluie, juste des orages ponctuels), et comme chacun sait le raisin est bien meilleur quand la vigne est en état de stress hydrique.
si l'on ajoute à cela une bonne semaine de pluies intenses suivie d'une période de beau temps, l'idéal avant les vendanges.
Je suppose que c'est la même chose (je n'ai pas eu confirmation) pour la provence (Provence des vins qui est différente de la Provence géographique) et le Languedoc-Roussillon
@+
Saxafond
1383
AFicionado·a
Membre depuis 21 ans
2020 Posté le 23/09/2005 à 11:35:33
Pour sourire:
Les oenologues perdus en leur palais
Par Emmanuelle PEYRET
mercredi 21 septembre 2005 (Liberation - 06:00)
In vinasse verito ? En tout cas, le cruchon est plus important qu'on ne le croit : soit 54 étudiants oenologues, sous la houlette de Gil Morrot, chercheur CNRS dans l'équipe Construction de la perception chimiosensorielle du laboratoire Sciences pour l'oenologie. Invités à caractériser les «descripteurs olfactifs» d'un vin blanc et d'un vin rouge, ils durent ensuite réitérer l'exercice en décrivant les traits saillants d'un second godet de blanc et de rouge. Pour le blanc, les étudiants y sont allés franco sur les arômes de citron, et de tilleul, et de poire, et de pomme. Pour le rouge, ils n'ont pas pleuré la framboise, la griotte, le cassis etc.
Sauf, rigole le très sérieux Journal du CNRS dans son édition de septembre, qu'il s'agissait du même vin blanc dans les deux verres, l'un étant coloré en rouge avec des anthocyanes, colorants sans saveur ni odeur. Ça s'appelle une dégustation comparative, et ça laisse un rien rêveur sur le sérieux de cette science du vin. Autre blague du chercheur : faire goûter à 57 experts de renom un seul et même breuvage proposé dans une bouteille de piquette et dans une bouteille de grand cru. Seuls six oenologues ont senti la supercherie...
C'est que, expliquent les chercheurs, des informations inconscientes transmises par la vue, l'ouïe, le toucher ou liées au contexte s'agrègent au signal sensoriel initial et le transforment en profondeur. Comme quoi, conclut la revue, la perception gustative d'un vin ne dépend pas uniquement du contenu de la bouteille. Bonne nouvelle, on pourra continuer à raconter n'importe quoi dans les dîners sur l'arôme boisé et la gouleyance de la potion.
Les oenologues perdus en leur palais
Par Emmanuelle PEYRET
mercredi 21 septembre 2005 (Liberation - 06:00)
In vinasse verito ? En tout cas, le cruchon est plus important qu'on ne le croit : soit 54 étudiants oenologues, sous la houlette de Gil Morrot, chercheur CNRS dans l'équipe Construction de la perception chimiosensorielle du laboratoire Sciences pour l'oenologie. Invités à caractériser les «descripteurs olfactifs» d'un vin blanc et d'un vin rouge, ils durent ensuite réitérer l'exercice en décrivant les traits saillants d'un second godet de blanc et de rouge. Pour le blanc, les étudiants y sont allés franco sur les arômes de citron, et de tilleul, et de poire, et de pomme. Pour le rouge, ils n'ont pas pleuré la framboise, la griotte, le cassis etc.
Sauf, rigole le très sérieux Journal du CNRS dans son édition de septembre, qu'il s'agissait du même vin blanc dans les deux verres, l'un étant coloré en rouge avec des anthocyanes, colorants sans saveur ni odeur. Ça s'appelle une dégustation comparative, et ça laisse un rien rêveur sur le sérieux de cette science du vin. Autre blague du chercheur : faire goûter à 57 experts de renom un seul et même breuvage proposé dans une bouteille de piquette et dans une bouteille de grand cru. Seuls six oenologues ont senti la supercherie...
C'est que, expliquent les chercheurs, des informations inconscientes transmises par la vue, l'ouïe, le toucher ou liées au contexte s'agrègent au signal sensoriel initial et le transforment en profondeur. Comme quoi, conclut la revue, la perception gustative d'un vin ne dépend pas uniquement du contenu de la bouteille. Bonne nouvelle, on pourra continuer à raconter n'importe quoi dans les dîners sur l'arôme boisé et la gouleyance de la potion.
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