Le Pub de l'Amérique Latine
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Meur'saw
5427
Je poste, donc je suis
Membre depuis 18 ans
Bon... Je flague passkifobien... 
stratvinc
9842
Je poste, donc je suis
Membre depuis 17 ans
le Misti sur la troisième 
dis moi tu as fais Aréquipa Puno direct sans passer par le Colca ?
dis moi tu as fais Aréquipa Puno direct sans passer par le Colca ?
Guitariste un jour ,Guitariste toujours
je confirme il avait bien une putain de strat avec un putain de son !
Lola Tance
12481
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 13 ans
@Tex
Dr Pouet
52038
Membre d’honneur
Membre depuis 21 ans
Super photos, super récit
Anonyme
17824
Déjà, merci à tous pour vos retours.
Stratvinc, non nous ne sommes pas allés au Colca. Pourquoi pas la prochaine fois. Dans 2 ans, sûrement un trajet Santiago-Titicaca en passant par Uyuni et La Paz. J'ai pas l'intention de rester 8 ans sans y retourner. Et la Moujikette, je sens que de pas être allé se promener sur le Titicaca, faute de temps, ça la motive un peu beaucoup pour y retourner. Pis elle me disait aussi "on va à La Paz ?". M'enfin, je vois pas d'inconvénient à refaire des trucs que j'ai déjà fait. C'est que le désert d'Atacama, le Titicaca et l'Altiplano, faut être blasé pour pas avoir envie d'y retourner. Et La Paz est une ville vachement sympa. Ca vaut le coup de s'y perdre, en touriste.
Donc, départ d'Arequipa, 8 heures de bus. Plus d'une heure dans la banlieue, les embouteillages, ça commence à grimper. Doucement. Ca n'en a pas l'air mais on va grimper de plus de 2400 mètres. Le désert se transforme en steppe à l'herbe jaunie, au loin des volcans enneigés, fumants. Et enfin, je vois des vigognes. Une petite bestiole, un camélidé non domestiquée contrairement au Lama et à l'alpaga, très fine, à la laine couleur tabac. En voie d'extinction il y a 30 ou 40 ans, chassée pour sa viande, puis les locaux ont compris que sa laine valait un certain prix, elle finit protégée. Une tonte tous les 3 ou 4 ans, une laine ultrafine, j'y ai dit à la Moujikette dans un magasin de luxe d'Arequipa, "tiens, il te plait pas ce pull ?"... "ah, si il est joli"... J'y ai dit "vu la couleur c'est de la vigogne, vise le prix, juste comme ça..." Boum, 1800€... Un manteau à Lima, 8000€. Mais c'est vachement mignon une vigogne.
P****n, une voie ferrée court le long de la route. Désaffectée, des gares abandonnées, des wagons rouillés, des locos en ruine. Les centaines de photos que je peux pas faire. C'est sublime mais je suis deg' de pas descendre du bus. Faudrait que je refasse ce trajet, un jour, mais en m'arrêtant dés que ça me botte, shooter et prendre le bus suivant. On passe un col, en bas un lac, on est vers 4800 mètres, c'est jaune steppe, bleu foncé du lac, bleu ciel, avec juste quelques nuages qui se confondent avec les glaciers sommitaux et les fumées des volcans. C'est gigantesque. Le bus pourrait rouler des journées entières dans ces paysages que j'y verrai aucun inconvénient.
On redescend un peu, ça redevient plat, ça y est on a franchi une cordillère. Nous voici sur l'altiplano, entre 2 cordillères, le Titicaca doit pas être loin, perché à 3800 mètres. A chaque arrêt montent des vendeuses ambulantes proposant des confiseries, des plats chauds faits maison, des boissons. Ceux qui achètent n'oublient jamais de mettre les papiers bien gras par terre, et y'a aussi un peu de restes de bouffe sur les sièges. On est les 3 gringos du bus, sinon y'a ceux qui rentrent à Juliaca ou Puno après les fêtes d'Arequipa. Un bus, quoi. On peut pas s'arrêter, soit, mais ça reste très local. Pis l'ambiance des gares routières avant le départ.
Surtout de nuit, l'impatience de monter dans le bus. P****n ce que j'en ai attendu des bus en pleine nuit, pas en rase campagne, non, dans des villes petites ou grandes. Je sais pas décrire cette ambiance. Je m'y suis jamais emmerdé, je mate, je vais bouffer un hamburger de rue, vais acheter un paquet de gâteau. Je déguste l'ambiance, les adieux, la fatigue, le bordel organisé ou l'organisation pourrie. Je suis visible à 3 bornes à la ronde, 20cm de plus que les locaux, une tronche de gringo, un sac à dos, pourtant j'ai l'impression de me fondre dans le "paysage". Le TAPO de Mexico, ses chiottes en enfilade, aux cloisons à mi hauteur, un hectare de chiottes séparés par de fines cloisons, les annonces des départs des bus pour tout le sud-est, les néons dégueus... Le copain de la caissière à Palenque qui déboule, le flingue bien apparent, à minuit pour taper la causette avec sa copine. La gare routière de Potosi, on attend le bus pour le sud, la frontière avec l'Argentine, j'ai acheté un paquet d'Oreo, z'avaient plus de Chips Ahoy, les cookies locaux. La Paz, pour Uyuni, j'étais content d'avoir trouvé une "cantine" populaire, clientèle popu et biznessmen. Mais des chiottes d'une propreté rare. Comment que j'en ai profité pour chier un bon coup avant le départ. La gare routière de seconde zone d'Oaxaca, sa fête dégénérée, les indiens défoncés aux champignons, les chiottes qui croulent sous la merde et la pisse, les alcoolos se tabassent avant de se réconcilier à grands coups d'abrazos puis de se refoutre une peignée. Les pauses clopes en pleine nuit dans d'anonymes gares routières de la Panaméricaine chilienne, jamais oublier de prévenir le chauffeur et son acolyte d'attendre si on s'éloigne pour tester les chiottes. Le chiotte d'Oruro, pleine nuit, tarif un boliviano, la seule fois où même en apnée j'ai failli dégueuler. Au delà de l'immonde. Un jour je raconterais les 3 heures d'attente en pleine nuit à Oaxaca...
Bon, le voilà, le Titicaca, passé l'affreuse Juliaca, ses rues en terre battue, ses maisons jamais finies. Une longue plaine, il apparait, le légendaire... Merde, le Titicaca, quoi. Si légendaire, si mythique qu'on en oublie ce nom ridicule qui nous faisait tant marrer. Entre 2 cordillères, le berceau de la civilisation Inca. C'est sur 2 iles boliviennes du lac, que seraient nés les 2 premiers incas, selon la légende. J'y montre à la Moujikette et au petit, ça y est, le voilà, c'est lui... Le soleil est bas, il est 16h, superbe lumière. Et autour du lac, la steppe, les champs, au loin les montagnes.
Puno... j'avais prévu une escapade sur une des îles du lac, on est pressé par le temps. Les réservations pour le Macchu Picchu. Finalement le lendemain matin, je dis à Moujikette, viens on va se balader dans un village sur le lac. Y'a quoi à voir là bas... euh pas grand chose, on verra bien. Un rickshaw, un combi (minibus Toyota qui part quand tous les sièges sont occupés), des vues sur le lac et nous voilà à Chiquito. Y'a pas grand chose à voir, c'est paisible, 2 églises, un enterrement dans l'une des églises, bref on se promène. Assis sur la Plaza de Armas on entend qu'une fanfare se dirige vers nous...
Juliaca, euh c'est juste pour la lune et les fils téléphoniques.
Chiquito, la route vers la Bolivie.
Chiquito, nature morte à la gouttière.
Chiquito, promenade.
Chiquito "c'est la fête". 1
Chiquito "c'est la fête". 2
Chiquito "c'est la fête". 3
Chiquito "c'est la fête". 4
Chiquito "c'est la fête". 5
Chiquito "c'est la fête". 6
Les indiens font le tour de la place en dansant, l'orchestre est déchainé... On ne sait pas à quoi correspond cette fête... Probablement en l'honneur d'un saint. C'est pas un truc touristique. On est 5 touristes à tout casser dans le patelin. La fête est finie, les bières sont ouvertes, on en jette un peu par terre, ça c'est à la PachaMama.
J'ai une photo sympa du lac, malheureusement trop "grosse", 1,4 Mo...
La prochaine séance, en route pour le Macchu Picchu.
Stratvinc, non nous ne sommes pas allés au Colca. Pourquoi pas la prochaine fois. Dans 2 ans, sûrement un trajet Santiago-Titicaca en passant par Uyuni et La Paz. J'ai pas l'intention de rester 8 ans sans y retourner. Et la Moujikette, je sens que de pas être allé se promener sur le Titicaca, faute de temps, ça la motive un peu beaucoup pour y retourner. Pis elle me disait aussi "on va à La Paz ?". M'enfin, je vois pas d'inconvénient à refaire des trucs que j'ai déjà fait. C'est que le désert d'Atacama, le Titicaca et l'Altiplano, faut être blasé pour pas avoir envie d'y retourner. Et La Paz est une ville vachement sympa. Ca vaut le coup de s'y perdre, en touriste.
Donc, départ d'Arequipa, 8 heures de bus. Plus d'une heure dans la banlieue, les embouteillages, ça commence à grimper. Doucement. Ca n'en a pas l'air mais on va grimper de plus de 2400 mètres. Le désert se transforme en steppe à l'herbe jaunie, au loin des volcans enneigés, fumants. Et enfin, je vois des vigognes. Une petite bestiole, un camélidé non domestiquée contrairement au Lama et à l'alpaga, très fine, à la laine couleur tabac. En voie d'extinction il y a 30 ou 40 ans, chassée pour sa viande, puis les locaux ont compris que sa laine valait un certain prix, elle finit protégée. Une tonte tous les 3 ou 4 ans, une laine ultrafine, j'y ai dit à la Moujikette dans un magasin de luxe d'Arequipa, "tiens, il te plait pas ce pull ?"... "ah, si il est joli"... J'y ai dit "vu la couleur c'est de la vigogne, vise le prix, juste comme ça..." Boum, 1800€... Un manteau à Lima, 8000€. Mais c'est vachement mignon une vigogne.
P****n, une voie ferrée court le long de la route. Désaffectée, des gares abandonnées, des wagons rouillés, des locos en ruine. Les centaines de photos que je peux pas faire. C'est sublime mais je suis deg' de pas descendre du bus. Faudrait que je refasse ce trajet, un jour, mais en m'arrêtant dés que ça me botte, shooter et prendre le bus suivant. On passe un col, en bas un lac, on est vers 4800 mètres, c'est jaune steppe, bleu foncé du lac, bleu ciel, avec juste quelques nuages qui se confondent avec les glaciers sommitaux et les fumées des volcans. C'est gigantesque. Le bus pourrait rouler des journées entières dans ces paysages que j'y verrai aucun inconvénient.
On redescend un peu, ça redevient plat, ça y est on a franchi une cordillère. Nous voici sur l'altiplano, entre 2 cordillères, le Titicaca doit pas être loin, perché à 3800 mètres. A chaque arrêt montent des vendeuses ambulantes proposant des confiseries, des plats chauds faits maison, des boissons. Ceux qui achètent n'oublient jamais de mettre les papiers bien gras par terre, et y'a aussi un peu de restes de bouffe sur les sièges. On est les 3 gringos du bus, sinon y'a ceux qui rentrent à Juliaca ou Puno après les fêtes d'Arequipa. Un bus, quoi. On peut pas s'arrêter, soit, mais ça reste très local. Pis l'ambiance des gares routières avant le départ.
Surtout de nuit, l'impatience de monter dans le bus. P****n ce que j'en ai attendu des bus en pleine nuit, pas en rase campagne, non, dans des villes petites ou grandes. Je sais pas décrire cette ambiance. Je m'y suis jamais emmerdé, je mate, je vais bouffer un hamburger de rue, vais acheter un paquet de gâteau. Je déguste l'ambiance, les adieux, la fatigue, le bordel organisé ou l'organisation pourrie. Je suis visible à 3 bornes à la ronde, 20cm de plus que les locaux, une tronche de gringo, un sac à dos, pourtant j'ai l'impression de me fondre dans le "paysage". Le TAPO de Mexico, ses chiottes en enfilade, aux cloisons à mi hauteur, un hectare de chiottes séparés par de fines cloisons, les annonces des départs des bus pour tout le sud-est, les néons dégueus... Le copain de la caissière à Palenque qui déboule, le flingue bien apparent, à minuit pour taper la causette avec sa copine. La gare routière de Potosi, on attend le bus pour le sud, la frontière avec l'Argentine, j'ai acheté un paquet d'Oreo, z'avaient plus de Chips Ahoy, les cookies locaux. La Paz, pour Uyuni, j'étais content d'avoir trouvé une "cantine" populaire, clientèle popu et biznessmen. Mais des chiottes d'une propreté rare. Comment que j'en ai profité pour chier un bon coup avant le départ. La gare routière de seconde zone d'Oaxaca, sa fête dégénérée, les indiens défoncés aux champignons, les chiottes qui croulent sous la merde et la pisse, les alcoolos se tabassent avant de se réconcilier à grands coups d'abrazos puis de se refoutre une peignée. Les pauses clopes en pleine nuit dans d'anonymes gares routières de la Panaméricaine chilienne, jamais oublier de prévenir le chauffeur et son acolyte d'attendre si on s'éloigne pour tester les chiottes. Le chiotte d'Oruro, pleine nuit, tarif un boliviano, la seule fois où même en apnée j'ai failli dégueuler. Au delà de l'immonde. Un jour je raconterais les 3 heures d'attente en pleine nuit à Oaxaca...
Bon, le voilà, le Titicaca, passé l'affreuse Juliaca, ses rues en terre battue, ses maisons jamais finies. Une longue plaine, il apparait, le légendaire... Merde, le Titicaca, quoi. Si légendaire, si mythique qu'on en oublie ce nom ridicule qui nous faisait tant marrer. Entre 2 cordillères, le berceau de la civilisation Inca. C'est sur 2 iles boliviennes du lac, que seraient nés les 2 premiers incas, selon la légende. J'y montre à la Moujikette et au petit, ça y est, le voilà, c'est lui... Le soleil est bas, il est 16h, superbe lumière. Et autour du lac, la steppe, les champs, au loin les montagnes.
Puno... j'avais prévu une escapade sur une des îles du lac, on est pressé par le temps. Les réservations pour le Macchu Picchu. Finalement le lendemain matin, je dis à Moujikette, viens on va se balader dans un village sur le lac. Y'a quoi à voir là bas... euh pas grand chose, on verra bien. Un rickshaw, un combi (minibus Toyota qui part quand tous les sièges sont occupés), des vues sur le lac et nous voilà à Chiquito. Y'a pas grand chose à voir, c'est paisible, 2 églises, un enterrement dans l'une des églises, bref on se promène. Assis sur la Plaza de Armas on entend qu'une fanfare se dirige vers nous...
Juliaca, euh c'est juste pour la lune et les fils téléphoniques.
Chiquito, la route vers la Bolivie.
Chiquito, nature morte à la gouttière.
Chiquito, promenade.
Chiquito "c'est la fête". 1
Chiquito "c'est la fête". 2
Chiquito "c'est la fête". 3
Chiquito "c'est la fête". 4
Chiquito "c'est la fête". 5
Chiquito "c'est la fête". 6
Les indiens font le tour de la place en dansant, l'orchestre est déchainé... On ne sait pas à quoi correspond cette fête... Probablement en l'honneur d'un saint. C'est pas un truc touristique. On est 5 touristes à tout casser dans le patelin. La fête est finie, les bières sont ouvertes, on en jette un peu par terre, ça c'est à la PachaMama.
J'ai une photo sympa du lac, malheureusement trop "grosse", 1,4 Mo...
La prochaine séance, en route pour le Macchu Picchu.
dana12
17910
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 16 ans
Ton récit est génial et n'occulte rien (Ah les chiottes et les voyages, voilà un thème important à développer 
)
Photos superbes. Tu nous mets dans l'ambiance de la fête, sans se sentir un intrus voyeur. La gamine en costume, avec les costumes des adultes autour, superbe ! Bravo à toi.
)Photos superbes. Tu nous mets dans l'ambiance de la fête, sans se sentir un intrus voyeur. La gamine en costume, avec les costumes des adultes autour, superbe ! Bravo à toi.
Incrédule sur tout, sceptique sur le reste
[ Dernière édition du message le 12/09/2016 à 06:01:02 ]
stratvinc
9842
Je poste, donc je suis
Membre depuis 17 ans
ha oui mon Coco
il faudra que tu la ramènes de nouveau là bas ta Chérie
bon je sais que je prèche à converti mais le canyon du Colca et les condors ça vaut le détour
quand on était arrivé à Chivay on s'est baigné dans les sources chaudes
punaise ce panorama tout autour
au moment de sortir tu perds pas de temps entre les sources à 40° et le chemin qui ramène aux vestiaires à 12-15° max (pour ma part c'était en avril)
le Titicaca on avait passé une partie de la matinée chez les Uros avant le départ pour Taquile et même si ça sent quand même la ballade à touristes
le dépaysement est total
pour ceux qui aurait pris en cours
il faudra que tu la ramènes de nouveau là bas ta Chérie
bon je sais que je prèche à converti mais le canyon du Colca et les condors ça vaut le détour
quand on était arrivé à Chivay on s'est baigné dans les sources chaudes
punaise ce panorama tout autour
au moment de sortir tu perds pas de temps entre les sources à 40° et le chemin qui ramène aux vestiaires à 12-15° max (pour ma part c'était en avril)
le Titicaca on avait passé une partie de la matinée chez les Uros avant le départ pour Taquile et même si ça sent quand même la ballade à touristes
le dépaysement est total
pour ceux qui aurait pris en cours
Guitariste un jour ,Guitariste toujours
je confirme il avait bien une putain de strat avec un putain de son !
[ Dernière édition du message le 12/09/2016 à 20:30:04 ]
Vickibaum
7275
Je poste, donc je suis
Membre depuis 16 ans
Doucement les tour opérateurs, pas si vite 
J'en suis encore à Arequipa : Une splendeur
.
La photo avec le sourire de la jeune fille est passé en fond d'écran quelque temps ainsi quelques autres.
Merci pour les grands formats Bob/Tex Coco Moujik
C'est le genre de patelin t'as envie d'y passer une paire de semaines tranquilou.
Bon allez faut suivre un peu le train quand même ... Vamos a Chiquito
J'en suis encore à Arequipa : Une splendeur
.La photo avec le sourire de la jeune fille est passé en fond d'écran quelque temps ainsi quelques autres.
Merci pour les grands formats Bob/Tex Coco Moujik
C'est le genre de patelin t'as envie d'y passer une paire de semaines tranquilou.
Bon allez faut suivre un peu le train quand même ... Vamos a Chiquito
Un guitariste et sa guitare c'est parfois la rencontre de deux manches.
Quand on a rien a dire on peut toujours le dire en chantant !
Vickibaum
7275
Je poste, donc je suis
Membre depuis 16 ans
Altiplano : Mrd c'est con pour ton 18-105. le genre de formats super pratique pour shooter en ville ... 
Un guitariste et sa guitare c'est parfois la rencontre de deux manches.
Quand on a rien a dire on peut toujours le dire en chantant !
Anonyme
17824
Stratvinc. Le Colca, je sais pas... s't'a dire faudrait pas que ça me fatigue trop non plus. Mais la route pour y aller est superbe, et rien que pour ça...
Quelques unes avant que j'attaque le but de ce voyage, le Macchu Picchu.
Puno, le Titicaca, j'ai pas mieux.
Entre Puno et Cusco
Ollantaytambo, départ pour Aguas Calientes au pied du Macchu.
Depuis le train.
Aguas Calientes.
Ca fait de la couleur.
Depuis mon lit, 6h30 du mat', Aguas Calientes. 1
Depuis mon lit. 2
Pour les commentaires faut patienter un peu.
Prochain série, le Macchu Picchu, y'a du tri à faire.
Qu'est ce qu'on peut bombarder avec le numérique...
Quelques unes avant que j'attaque le but de ce voyage, le Macchu Picchu.
Puno, le Titicaca, j'ai pas mieux.
Entre Puno et Cusco
Ollantaytambo, départ pour Aguas Calientes au pied du Macchu.
Depuis le train.
Aguas Calientes.
Ca fait de la couleur.
Depuis mon lit, 6h30 du mat', Aguas Calientes. 1
Depuis mon lit. 2
Pour les commentaires faut patienter un peu.
Prochain série, le Macchu Picchu, y'a du tri à faire.
Qu'est ce qu'on peut bombarder avec le numérique...
sqoqo
7050
Je poste, donc je suis
Membre depuis 18 ans
stratvinc
9842
Je poste, donc je suis
Membre depuis 17 ans
stratvinc
9842
Je poste, donc je suis
Membre depuis 17 ans
le canyon du Colca fait penser au Grand Canyon du Colorado
le bus nous avait laissé le choix
il nous emmenait jusqu'en haut ou ceux qui le désiraient pouvaient terminer la dernière partie à pied (environ 1 heure de marche) le long d'un sentier qui longeait le bord
j'ai choisi la deuxième solution pendant que madame irait m'attendre en haut
et c'est à l'arrivée qu'on a pu assister au fameux vol du Condor
j'ai du en shooter une paire pour avoir une photo potable
ici c'est un lever de soleil sur le Titicaca pris sur le balcon de la chambre à Puno
et enfin le rio Urubamba
le fleuve qui coule au pied du Macchu Picchu
je n'ai ni le talent de narrateur ni celui de photographe de Texcoco
mais j'espère que vous apprécierez comme même
le bus nous avait laissé le choix
il nous emmenait jusqu'en haut ou ceux qui le désiraient pouvaient terminer la dernière partie à pied (environ 1 heure de marche) le long d'un sentier qui longeait le bord
j'ai choisi la deuxième solution pendant que madame irait m'attendre en haut
et c'est à l'arrivée qu'on a pu assister au fameux vol du Condor
j'ai du en shooter une paire pour avoir une photo potable
ici c'est un lever de soleil sur le Titicaca pris sur le balcon de la chambre à Puno
et enfin le rio Urubamba
le fleuve qui coule au pied du Macchu Picchu
je n'ai ni le talent de narrateur ni celui de photographe de Texcoco
mais j'espère que vous apprécierez comme même
Guitariste un jour ,Guitariste toujours
je confirme il avait bien une putain de strat avec un putain de son !
dana12
17910
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 16 ans
Citation de stratvinc :
et c'est à l'arrivée qu'on a pu assister au fameux vol du Condor
Hors sujet :
Le grand condor... le surnom du député maire d'Aix les bains, Dominique Dord, qui est effectivement assez grand !
Incrédule sur tout, sceptique sur le reste
[ Dernière édition du message le 14/09/2016 à 21:00:57 ]
Dr Pouet
52038
Membre d’honneur
Membre depuis 21 ans
Bravo pour le condor, quand même ! 
Anonyme
17824
Retrouvée cette photo de Stratvinc ici même... avec des vigognes. Sinon, c'est le jeu des 7 différences.
Jolie l'Urubamba, y'avait pas 1 litre de flotte y'a 3 semaines...
Citation de Stratvinc :
Citation de moi :
Jolie l'Urubamba, y'avait pas 1 litre de flotte y'a 3 semaines...
[ Dernière édition du message le 15/09/2016 à 00:46:04 ]
Anonyme
17824
Ah... ça inspire l'Altiplano...
Pour en revenir au condor, sachez que Chirac est lui aussi a été fait Gran Condor, par la grâce du gouvernement bolivien.
Voici l'histoire.
Vers 1996 la Bolivie organise le championnat des nations d'Amérique Latine de football. Et déclare que la finale et les matchs de la Bolivie se joueront au stade Hernan Siles de La Paz, à 3600 mètres. En disant que La Paz étant la capitale, y'a pas de raison que ça se joue ailleurs, que leur plus grand stade y est, à La Paz... Sauf que je vous mets au défi de trouver un bolivien qui vous dise que la capitale est La Paz, c'est Sucre, à 2200 mètres d'altitude. Fureur des autres nations, intervention de la FIFA qui dit "non, jouez ailleurs". Essayez de courir 90 minutes à 3600 mètres d'altitude quand vous êtes pas népalais ou bolivien. Les argentins, excellents au foot, se sont pris une branlée légendaire genre 7-0 à cette époque par les boliviens qui sont de vraies quiches au foot.
Et là, alors que personne ne lui demandait rien, v'là Chirac qu'intervient auprès de la FIFA pour que la Bolivie joue à La Paz... Et ça marche. La Bolivie dynamite les argentins, les uruguayens, les colombiens et autres nations beaucoup plus costaudes. Mais perd quand même en finale, face au Brésil. Ouais, à l'époque ils savaient encore jouer sans chialer, les brésiliens. Le grand exploit de l'histoire de la Bolivie, et pas qu'en football, une défaite en finale.
Et v'là que le Chirac fout les pieds en Bolivie 6 mois plus tard, vendre quoi, j'en sais rien, y z'ont pas une thune, les Bolos... Et se fait bombarder Gran Condor par le président. Ca fait marrer la presse française, l'Elysée se sent obligé de pondre un communiqué comme quoi c'est El Gran Condoro... Tu parles, il fut bien fait Gran Condor, en français ou espagnol dans le texte.
1 an plus tard, en 98, la France gagne la coupe du monde (3-0) face au Brésil. C'est la fête dans toute le pays.
Et en 99, me v'là en Bolivie. Français... "Ah, Jacques Chirac, gran amigo de Bolivia, senor", je l'entends partout celle là. La plus marrante fut la réflexion d'un chauffeur de tacos de La Paz "Jacques a beaucoup fait pour l'altitude en Bolivie"... Ah bon, il a rabaissé les montagnes ? Fait que je crache pas mes poumons dés que je grimpe plus de 3 marches ? Presque... En passant au Pérou, on poireaute à la frontière, un môme d'une dizaine d'années observe les passeports que les quelques touristes tiennent à la main. Les Ricains "gringo" dit-il, chacun a droit à sa remarque... Il mate le mien et se met à gueuler, tout en joie, "JACQUES CHIRAC"...
Cette année là en Bolivie, être français c'était être un invité de marque.
En dehors de ça, la Bolivie est un pays vraiment extraordinaire. Voilà.
Pour en revenir au condor, sachez que Chirac est lui aussi a été fait Gran Condor, par la grâce du gouvernement bolivien.
Voici l'histoire.
Vers 1996 la Bolivie organise le championnat des nations d'Amérique Latine de football. Et déclare que la finale et les matchs de la Bolivie se joueront au stade Hernan Siles de La Paz, à 3600 mètres. En disant que La Paz étant la capitale, y'a pas de raison que ça se joue ailleurs, que leur plus grand stade y est, à La Paz... Sauf que je vous mets au défi de trouver un bolivien qui vous dise que la capitale est La Paz, c'est Sucre, à 2200 mètres d'altitude. Fureur des autres nations, intervention de la FIFA qui dit "non, jouez ailleurs". Essayez de courir 90 minutes à 3600 mètres d'altitude quand vous êtes pas népalais ou bolivien. Les argentins, excellents au foot, se sont pris une branlée légendaire genre 7-0 à cette époque par les boliviens qui sont de vraies quiches au foot.
Et là, alors que personne ne lui demandait rien, v'là Chirac qu'intervient auprès de la FIFA pour que la Bolivie joue à La Paz... Et ça marche. La Bolivie dynamite les argentins, les uruguayens, les colombiens et autres nations beaucoup plus costaudes. Mais perd quand même en finale, face au Brésil. Ouais, à l'époque ils savaient encore jouer sans chialer, les brésiliens. Le grand exploit de l'histoire de la Bolivie, et pas qu'en football, une défaite en finale.
Et v'là que le Chirac fout les pieds en Bolivie 6 mois plus tard, vendre quoi, j'en sais rien, y z'ont pas une thune, les Bolos... Et se fait bombarder Gran Condor par le président. Ca fait marrer la presse française, l'Elysée se sent obligé de pondre un communiqué comme quoi c'est El Gran Condoro... Tu parles, il fut bien fait Gran Condor, en français ou espagnol dans le texte.
1 an plus tard, en 98, la France gagne la coupe du monde (3-0) face au Brésil. C'est la fête dans toute le pays.
Et en 99, me v'là en Bolivie. Français... "Ah, Jacques Chirac, gran amigo de Bolivia, senor", je l'entends partout celle là. La plus marrante fut la réflexion d'un chauffeur de tacos de La Paz "Jacques a beaucoup fait pour l'altitude en Bolivie"... Ah bon, il a rabaissé les montagnes ? Fait que je crache pas mes poumons dés que je grimpe plus de 3 marches ? Presque... En passant au Pérou, on poireaute à la frontière, un môme d'une dizaine d'années observe les passeports que les quelques touristes tiennent à la main. Les Ricains "gringo" dit-il, chacun a droit à sa remarque... Il mate le mien et se met à gueuler, tout en joie, "JACQUES CHIRAC"...
Cette année là en Bolivie, être français c'était être un invité de marque.
En dehors de ça, la Bolivie est un pays vraiment extraordinaire. Voilà.
Anonyme
17824
Le voilà... tout au 70-300, pas évident pour le photographier avec les ruines et le lama qui broute, la cordillère au fond, le fleuve en bas, le pain de sucre...
MacchuPicchu 1.
Macchu Picchu 2. Comme la précédente, c'est pas fait depuis mon lit...
Macchu Picchu 3.
Macchu Picchu 4.
Cet intermède vous est offert par l'office du tourisme du Pérou.
Macchu Picchu 5.
Macchu Picchu 6.
Macchu Picchu 7.
Macchu Picchu 8.
Macchu Picchu 9.
MacchuPicchu 1.
Macchu Picchu 2. Comme la précédente, c'est pas fait depuis mon lit...
Macchu Picchu 3.
Macchu Picchu 4.
Cet intermède vous est offert par l'office du tourisme du Pérou.
Macchu Picchu 5.
Macchu Picchu 6.
Macchu Picchu 7.
Macchu Picchu 8.
Macchu Picchu 9.
Dr Pouet
52038
Membre d’honneur
Membre depuis 21 ans
Je trouve que la 7 est terrible ; même si les autres rendent mieux la vision d'ensemble, notamment la 5. Bravo en tout cas !
dana12
17910
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 16 ans
Toujours très bon. Et ta narration ajoute un gros petit plus
Incrédule sur tout, sceptique sur le reste
stratvinc
9842
Je poste, donc je suis
Membre depuis 17 ans
whao !
j'ai l'impression de voir mes photos en N&B
niveau météo on avait eu beaucoup de chance
un beau ciel dégagé
il parait que c'est assez rare
la guide nous avait demandé de prévoir des vêtements de pluie
moralité
on a crevé de chaud car on était en jean et le sac à dos était bourré de vêtement de rechange
un seul regret
j'aurai pu faire le Huana Picchu et ne l'ai pas fait
j'ai l'impression de voir mes photos en N&B
niveau météo on avait eu beaucoup de chance
un beau ciel dégagé
il parait que c'est assez rare
la guide nous avait demandé de prévoir des vêtements de pluie
moralité
on a crevé de chaud car on était en jean et le sac à dos était bourré de vêtement de rechange
un seul regret
j'aurai pu faire le Huana Picchu et ne l'ai pas fait
Guitariste un jour ,Guitariste toujours
je confirme il avait bien une putain de strat avec un putain de son !
stratvinc
9842
Je poste, donc je suis
Membre depuis 17 ans
pour ne pas faire doublon avec Tex je vous mets une photo ou l'on voit le site et le fleuve en contrebas
petite anecdote concernant le Macchu picchu en ce qui nous concernait en 2010
notre voyage au Pérou était assujetti à 2 conditions
je voulais absolument survoler les lignes de Nazca (qui n'étaient pas comprises dans le voyage proposé , c'était Lima puis vol intérieur arequipa direct)donc option prise Lima Paracas Ica Nazca en mini van puis bus a travers la "panamerican sur " jusqu'a Arequipa ,ce qui nous a valu la frayeur relatée plus haut
et surtout ,surtout faire le Macchu Picchu
là pas de souci c'était d'office
comme toujours dans ces cas là nous préparons et achetons notre voyage au moins un an à l'avance donc courant été 2009
en Janvier 2010 la catastrophe du Macchu Picchu
pluie diluviennes routes effondrées rails arrachés
2500 touristes bloqués la haut
on ne sait pas combien de temps prendront les réparations (nous partons le 14 Avril
)
j'essaye d'avoir toutes les infos possibles également auprès du tour opérator qui se fait tirer l'oreille
le 1er avril (et ce n'est pas une blague)
la route ferroviaire est réouverte sur la dernière portion de 40kms
ouf !!
on viendra nous chercher à 3H30 du mat à notre hotel situé dans la vallée sacrée
une première partie en mini bus pour nous conduire jusqu'à l'Inca Trail (le train qui mène à Agua Caliente)
ce qui nous permettra d'arriver de bonne heure sur le site
Tex
as tu fais tamponner ton passeport en souvenir là haut ?
petite anecdote concernant le Macchu picchu en ce qui nous concernait en 2010
notre voyage au Pérou était assujetti à 2 conditions
je voulais absolument survoler les lignes de Nazca (qui n'étaient pas comprises dans le voyage proposé , c'était Lima puis vol intérieur arequipa direct)donc option prise Lima Paracas Ica Nazca en mini van puis bus a travers la "panamerican sur " jusqu'a Arequipa ,ce qui nous a valu la frayeur relatée plus haut
et surtout ,surtout faire le Macchu Picchu
là pas de souci c'était d'office
comme toujours dans ces cas là nous préparons et achetons notre voyage au moins un an à l'avance donc courant été 2009
en Janvier 2010 la catastrophe du Macchu Picchu
pluie diluviennes routes effondrées rails arrachés
2500 touristes bloqués la haut
on ne sait pas combien de temps prendront les réparations (nous partons le 14 Avril
)j'essaye d'avoir toutes les infos possibles également auprès du tour opérator qui se fait tirer l'oreille
le 1er avril (et ce n'est pas une blague)
la route ferroviaire est réouverte sur la dernière portion de 40kms
ouf !!
on viendra nous chercher à 3H30 du mat à notre hotel situé dans la vallée sacrée
une première partie en mini bus pour nous conduire jusqu'à l'Inca Trail (le train qui mène à Agua Caliente)
ce qui nous permettra d'arriver de bonne heure sur le site
Tex
as tu fais tamponner ton passeport en souvenir là haut ?
Guitariste un jour ,Guitariste toujours
je confirme il avait bien une putain de strat avec un putain de son !
[ Dernière édition du message le 16/09/2016 à 07:21:35 ]
Anonyme
17824
Joli point de vue sur le Macchu. Original.
Maintenant on tamponne soi même.
Maintenant on tamponne soi même.
Anonyme
17824
Le Macchu Picchu, la cash-machine du Pérou... Ca n'enlève rien au plaisir que j'ai eu d'y emmener ma famille.
Ce soir trop fatigué pour élucubrer, les photos suffisent...
Ollantaytambo. Le bas des maisons est inca, le haut espagnol. "Alors, ma chérie, t'en dis quoi de dormir dans une maison inca, hein... pour 25 dollars". Le plan actuel de la ville reste celui d'avant la conquista. C'est charmant, calme, on y vit si bien du tourisme qu'il n'y a pas l'ombre d'un bidonville des kilomètres à la ronde. Ici l'habitant de base c'est classe moyenne locale.
Vue des ruines d'Ollantaytambo, la vallée de l'Urubamba (qui mène au Macchu Picchu), affluent de l'Amazone.
Les ruines d'Ollantaytambo, accrochées à la colline. On y vient à pied.
C'est bruyant, pas sûr, importé d'Inde... Y'a même des modèles Jacky déguisés en BMW de course, avec jantes en fer blanc et ailerons en contreplaqué.
Ce soir trop fatigué pour élucubrer, les photos suffisent...
Ollantaytambo. Le bas des maisons est inca, le haut espagnol. "Alors, ma chérie, t'en dis quoi de dormir dans une maison inca, hein... pour 25 dollars". Le plan actuel de la ville reste celui d'avant la conquista. C'est charmant, calme, on y vit si bien du tourisme qu'il n'y a pas l'ombre d'un bidonville des kilomètres à la ronde. Ici l'habitant de base c'est classe moyenne locale.
Vue des ruines d'Ollantaytambo, la vallée de l'Urubamba (qui mène au Macchu Picchu), affluent de l'Amazone.
Les ruines d'Ollantaytambo, accrochées à la colline. On y vient à pied.
C'est bruyant, pas sûr, importé d'Inde... Y'a même des modèles Jacky déguisés en BMW de course, avec jantes en fer blanc et ailerons en contreplaqué.
Anonyme
17824
Un midi, à Ollantaytambo, un taxi nous a proposé une promenades aux Salinas, des salines dans une vallée. Pourquoi pas. Attention, pas un taxi bien pourrave avec la ficelle pendant sous le rétro intérieur pour jouer du klaxon, des portes qui ne s'ouvrent plus, le volant à gauche mais le tableau de bord à droite. Un vrai beau taxi, qui sent pas les pieds, le tabac froid et la crotte de bique. Les Salinas, c'est la réserve de sel locale, utilisée bien avant l'avènement de l'empire Inca au 13ème siècle, toujours en service. Une source chaude et salée, on connait tous la suite de la récolte du sel.
Pedro, il l'entretient son taxi, le bichonne. Il roule aux normes code de la route. On papote avec lui... 15000$ qu'il l'a payé, un Toyota, 4 portes. Pas du full options, mais confort. Quand vous voulez vous arrêter pour faire des photos, dites le... ICI...
Ben voilà pourquoi que j'y ai demandé de s'arrêter. Ca c'est magique pour moi:
1
2
3
La millième de ce voyage, heureusement que j'ai fait du tri...
Et les Salinas ? Prochaine salve...
Pedro, il l'entretient son taxi, le bichonne. Il roule aux normes code de la route. On papote avec lui... 15000$ qu'il l'a payé, un Toyota, 4 portes. Pas du full options, mais confort. Quand vous voulez vous arrêter pour faire des photos, dites le... ICI...
Ben voilà pourquoi que j'y ai demandé de s'arrêter. Ca c'est magique pour moi:
1
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3
La millième de ce voyage, heureusement que j'ai fait du tri...
Et les Salinas ? Prochaine salve...
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