Citation : réecouter "lolito, lolita" (in à la belle de mai)
Avec plaisir !!!
.. et sur le même album, son bleu, la médaille, c'est quand qu'on va où ?
Petits textes sublimes qui resteront représentation de cette époque... içi dit en français, mais toutes les langues du monde l'auront dit en leur language, en leur manière, en mémoire de ce qui aura entrainé la fin de ce règne du barbarisme le plus hypocrite que l'homme aura toléré.
c'est vachement mieux dit que moi
C'est un album que j'aime bien et de temps à temps , piqure de rappel, quoiqu'avec ce que nous prépare sarko, ça risque d'être plutôt charonne d'actualité...
C'est mon président de Conseil général...Il faut savoir qu'en Vendée c'est le oui qui est passé, et tres largement...Il devrait demissoner du Conseil général, car rien que dans son bled (les Epesses, le Puy du Fou quoi!), et malgré tout son tapage, le oui est passé à plus de 63%...
Citation : barbarisme le plus hypocrite que l'homme aura toléré.
C'est moins pire que l'expression du nazisme qui resurgit petit à petit dans le systéme économique et sociologique Européen et mondial actuel. Qui bouffe 99% des hommes. Du monde. De la nature. De la Biodiversité. De notre descendance. Des idées. De la créativité. Du progrès humain. Du monde futur. Du progrès des consciences et du genre humain.
Moi qui me rassurrais en me disant que mes (futurs - je ne vis que pour une esperance perdue c'est dire comme c'est terrible!!!!!!)) petits auraient un monde meilleur, qu'il auraient moins de souffrance; plus de bonheur, et que, ma foi, ma vie eût en ce sens une chance de réussir. Qu'y-a-t-il eut de jamais pire dans l'histoire de l'histoire (dont l'humanité n'est qu'un médiocre épiphénomène), de plus avilissant pour le plus grand nombre que ce monde abject dans lequel nous vivons dérechef?
Tous ceci pr te dire que ta ricane, tu peux te la mettre bien profond!
Bemol 1. Moi aussi je suis trés critique sur nos sociétés, mais tu es pire que critique tu sembles misanthrope. Je persiste à penser pour ma part que ce n'est pas l'homme qui pourrit le système, mais le système qui pourrit l'homme (et le patron qui pourrit le système avec le politique comme outil complémentaire).