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Petite reine, pédales et boyaux, c'est le pub du vélo

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Sujet de la discussion Petite reine, pédales et boyaux, c'est le pub du vélo
Voilà, pour ceux qui font du vélo, rando, vtt, course, balade, dirt, c'est ici que ça se passe.

pour ma part j'ai un vtc pour aller taffer quand il pleut pas et pour les petites course genre pain, marché toussa koa et petites balades de temps en temps
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Merci, j'aime beaucoup ses couleurs bien 80's :mrg:

Si j'ai le temps, je changerai gaines, câbles et guideline.


"And in the end, the love you take is equal to the love you make"

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Merci pour vos réponses à ma question au fait ! Bon je vais rester là où j'en suis pour le moment.
5628
Top classe ! :bravo:
Tes cocottes m'ont l'air positionnées très hautes à vue de nez (ou c'est la perspective) mais j'ai pas l'impression qu'en bas du cintre tu puisses attraper les freins. Par contre pour les baisser il faudra peut être défaire la guidoline, donc peut être l'occasion de la changer à ce moment là..

Citation de chapolin :
Citation :
J'ai fini par me faire avoir à Paris, les vélos arrachés avec les barres de toit par une haie de sangles pour limiter la hauteur avant un tunnel autoroutier donnant sur le périph :facepalm:

:surpris: :surpris: :surpris: L'horreur !
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Oui je les ai mises hautes volontairement car j’ai le dos en vrac, j’ai tiré un peu sur la guidoline se faisant :mrg:

J’arrive à freiner correctement, mais c’est pas optimal on est d’accord.

Je suis étonné qu’il roule toujours aussi bien, léger et facile. Par contre même le plus petit développement reste assez viril en côte !


"And in the end, the love you take is equal to the love you make"

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Ah oui ça a pas l'air bien grand à l'arrière... Une bonne config de routier, mais il faut avoir de la cuisse :mrg:
En route j'ai du 31 av / 34 ar, ce qui est confortable. Il faut voir ce que ton dérailleur peut accepter et si un changement pour une cassette plus souple est possible peut être.
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Tout dépend du profil, sur du plat, inutile d'avoir un 34. J'ai très longtemps roulé avec un 25, sur des parcours parfois accidentés

 "Les gens d'en bas qu'il faut respecter". M. Barnier

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Les anecdotes du WE :
Hier on participait avec des amis à un évènement gravel organisé, sur un parcours de 110km. Le départ est à un peu plus de 50km de chez nous, mais on décide de s'y rendre à vélo. On part à 4h30 histoire d'être sur place à l'accueil entre 7h et 7h30.
Au bout de quelques kilomètres à peine, un geyser de liquide préventif jaillit de mon pneu arrière, un trop gros trou qui n'arrive pas à être comblé... On fait un atelier méchage du pneu au bord de la route à la lumière des phares. L'occasion de constater que l'on est pas tous équipé avec les bons outils, souvent des mèches trop grosses, destinées au pneus VTT où là sur des 40mm ça parait surdimensionné..
La mèche est posée, on repart... Elle saute quelques kilomètres plus loin, nouveau geyser de liquide. On veut en poser une nouvelle, mais dans la manœuvre avec la petite pompe, l'obus de ma valve se fend en 2 ! Donc là c'est mort, pas le choix, adieu le tubeless, je passe la chambre à air de secours. Il est 6h30, la journée commence à peine que j'ai déjà grillé toutes mes solutions de secours :o:

On arrive au point de départ de la rando, on a le temps de prendre un café quand même, les organisateurs me file une autre chambre à air de secours à emmener, c'est super cool.
Il a plu un gros orage la veille, on démarre le parcours, assez engagé VTT, et qui se transforme en guerre des tranchées par endroit tellement c'est boueux, technique, piégeant et caillouteux.
Au bout d'à peine 10km, crevaison d'un ami dans une descente avec gamelle qui en découle. Pas trop grave pour la gamelle, mais le pneu est perforé sur le flanc. Nouveau geyser de liquide préventif, nouvel atelier méchage, mais sur le flanc rien n'y fait ça tient pas... Pas le choix il faut aussi le passer en chambre à air.

On reprend le parcours toujours plus technique, l'ami est fébrile, on progresse lentement. 20km plus tard, la chambre à air juste installée subit une belle crevaison, on retire l'épine bien enfoncée dans le pneu. On sort nos chambre à air de secours (encore), l'une a la valve trop courte par rapport à la hauteur de la jante, on essaie l'autre c'est bon ça passe.

L'arrivée j'usqu'au ravito au km 58 est interminable. On prend le temps de la pause et on repart. Heureusement la dernière partie est plus "roulante", ou disons moins boueuse. La bonne nouvelle c'est que l'on aura pas d'autre problème technique, on réussira à terminer tranquillement.
On comptait rentrer à vélo, mais avec l'heure avancée, on se rabattra sur le TER de la ville d'à côté pour nous ramener à la maison...

Une belle journée tout de même, 170km parcourus, 1950d+, de l'expérience de galère engrangée et une bataille mentale pour terminer ensemble la journée.

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Le délire ces crevaisons à répétition !
Merci pour le récit :bravo:

En même temps j'en ai profité pour apprendre l’existence des tubeless+liquide préventif ...
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Le karma devait pas être génial hier, quand les galères s'enchainent, quand ça veut pas ça veut pas... :surpris:

"Le tubeless c'est la vie" comme disent les jeunes, parce que la plupart du temps tu vois même pas quand tu crèves puisque le liquide colmate tout de suite. Et théoriquement les mèches doivent très bien fonctionner pour prendre le relais, on a peut être pas eu de chance là... C'est en fait ma première vraie galère en presque 4500km.

Mais ça n'empêche que :
- la première mise en place du tubeless sur son vélo peut être galère (multiples sources de fuite possible : fond de jante, valve, compatibilité pneu/jante)
- entretien un peu spécifique : il faut rouler régulièrement, remettre un peu de liquide périodiquement
- j’emmène toujours une caa au cas où
- tu te fous du liquide partout quand tu dois réparer et la mettre en place
- je sais pas trop encore comment gérer un pneu "troué" pour le réparer durablement

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Je viens de voir du tubeless qui n'a meme pas besoi d'etre gonflé
https://9gag.com/gag/aNwB4er
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Niveau karma, il y a parfois des mauvaises séries et là on a l'impression que le sort s'acharne : rester calme et respirer ... Ce peut-être aussi une accumulation de petites choses qu'on a pas vue venir et qui se débloque en une série d'évènements plus ou moins fâcheux ...

Du coup j'ai regardé ce que c'est que les mèches et c'est pas mal du tout ce truc ! Cette vidéo est intérêssante :

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Je suis rentré hier de mon périple vacances à vélo.
C'était trop bien. J'ai pas calculé le kilométrage, mais on a fait en moyenne dans les 40-45 bornes par jour de roulage (moins un week-end posé chez un copain en mode pétanque-pastis-barbeuc).

On a fait nos fainéants : pas de camping sauvage cette fois-ci. Que des terrains officiels.

Plein d'enseignements tirés de ce voyage. J'essayerai de détailler un peu ici. Je pense que ça peut apporter autre chose que les témoignages sportifs de grands trails en gravel.
(que je n'oppose absolument pas : ce sont juste des pratiques différentes et rien n'empêche de faire les deux, d'ailleurs).

En tous cas, j'y prends goût. Je pense me faire un vélo de rando pour pouvoir tracer la route avec beaucoup plus de distance quotidienne. ça sera hélas seul : pour l'instant, ma douce est plutôt branchée sur ce qu'on a fait cette fois-ci. C'est à dire des vacances itinérantes à vélo pour se dépenser, être en plein air et voyager écologique, mais sans démarche vraiment sportive. Elle serait plutôt rando pédestre, sinon, ce que j'aime beaucoup, mais qui est problématique pour l'instant à cause de mon dos et du port de charges que ça implique.
Pour ma part, l'objectif est de pouvoir aller sur quelques jours voir ma mère qui habite à 140 km. Avec dans un premier temps possibilité de récupérer une ligne de train à 90 km ou à 110 km au fur et à mesure de l'entrainement.
Si j'arrive à 140-150 km/jour avec bagages, ça me laisse beaucoup de possibilités de déplacements. Pratiquement toute la Bretagne, en fait. C'est pas pour demain. :mrg:
5638
Je suis en vacances dans le Perigord noir et les VAE de location m'évitent de faire des sauts de puce ridicules en voiture.. . Du coup je me dépense quand même (boucles de 40km) mais ça va devenir ma routine de vacances avec les randos à pied !
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Au passage cette réflexion : les pistes cyclables sont tellement nécessaires dans les passages difficiles et où il y a du passage de véhicules !
DSL pour cet enfonçage de porte ouverte, je redécouvre le vélo depuis un an...

[ Dernière édition du message le 22/05/2023 à 18:31:03 ]

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C'est cool.

Je trouve aussi que le VAE est un super moyen de vacances : la possibilité de bouger pas mal sans s'épuiser (surtout en zone de relief, mais pas que), de faire bien plus de distance et de façon incomparablement plus agréable qu'en voiture : ça permet de découvrir plein de trucs en chemin qu'on ne verrait pas les yeux rivés sur la route, les rétros et le compteur, la possibilité de s'arrêter n'importe où sans difficulté de stationnement, etc.
Et le simple plaisir de la dépense physique, un régal pour des gens dont les métiers sont pour la plupart de plus en plus sédentaires.
Bref, une vraie liberté. Sans compter qu'on ne cuit pas dans une étuve à 50° quand on s'est arrêté quelques dizaines de minutes au soleil.

Et oui, tu as raison sur l'importance considérable des aménagement cyclables. Surtout dans les endroits où les gens sont peu accoutumés à la présence de cyclistes.

C'est d'ailleurs un paradoxe : beaucoup de cyclistes, ça améliore considérablement la sécurité car les automobilistes ont la présence de ceux-ci dans leur esprit et les prennent en considération dans leur comportement.
Mais pour avoir beaucoup de cyclistes, les aménagement cyclables sont nécessaires car eux seuls permettent à tout un chacun de se sentir en sécurité pour faire du vélo. Or, les collectivités sont motivées pour développer des aménagements cyclables... quand il y a beaucoup de cyclistes.

Quand il m'arrive de discuter avec un politique ou même un simple péquin de l'intérêt de développer les aménagements cyclables, j'aime bien cite cet adage des Ponts et Chaussées : "on ne construit pas un pont selon le nombre de gens qui traversent la rivière".
En effet, : pas de pont, peu de passages. Un pont = beaucoup de passage.
C'est aussi le phénomène contre-intuitif et parfaitement prouvé et connu (mais pas du grand public) que développer les routes développe le trafic et que supprimer des routes... supprime le trafic.
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Personnellement, j'en suis un peu revenu du VAE. Je préfère définitivement le vélo musculaire. Je n'aime pas le côté "tracteur" du VAE. Avec le moteur et la batterie, c'est lourd, ça n'a pas du tout les sensations de légèreté du vélo musculaire, dans les descentes notamment. De plus, on est vite limité en terme d'autonomie et ça aussi ça tue la liberté. Je fais plusieurs fois par an des sorties de plus de 100-120 km et en VAE, c'est mort. Sans compter la vitesse limitée à 25. En conséquence, je ne retrouve pas le sentiment de liberté, de légèreté que j'associe depuis toujours au vélo. A mon sens, ça se justifie pour aller au travail sans transpirer, mais pour le reste, si on roule régulièrement, on doit avoir la forme qui permet de se passer de l'assistance.

 "Les gens d'en bas qu'il faut respecter". M. Barnier

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Je partage ton constat.
Pour moi, ce sont juste deux approches différentes du vélo : une approche sportive et une approche utilitaire. Ou disons d'un côté l'approche de quelqu'un qui aime faire du vélo et de l'autre, quelqu'un qui se sert du vélo pour se déplacer.

C'est aussi pour ça que je veux me faire un vélo de rando. Mais je sais que ma douce n'est pas prête d'être partante ni entraînée pour se faire plus de 50-55 bornes par jour.

Mais avec le long-tail électrique, je peux emporter beaucoup.
Du coup, ce qui se dessine, c'est d'un côté des virées en couple avec le max de choses sur le long-tail (pour que elle soit légère) et du confort aux étapes (grande tente, popote, matelas plus épais, vêtements pour d'autres activités) et de l'autre, des virées en solo en vélo de rando avec le minimum spartiate léger pour les étapes.

Juste à noter qu'en terme d'autonomie, j'étais dans les 120-150 bornes avec une batterie (potentiellement plus sur une bonne partie du parcours, n'ayant bouffé que 20% de la batterie en 50 bornes). Normal : avec l'assistance même au minimum, je larguais ma douce. Donc je n'utilisais la plupart du temps celle-ci que lorsque c'était nécessaire : cotes, sol difficile... Le reste du temps, j'étais aux mollets. Ce qui était d'ailleurs assez sportif vu le poids que je trimballais, les gros pneus type scooter... :mrg:

[ Dernière édition du message le 23/05/2023 à 22:24:11 ]

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Petite anecdote qui va dans ton sens. A un moment, je me plaignais un peu d'avoir mal aux guiboles. Ma douce me dit "mais pourquoi tu mets pas l'assistance ?
- parce que c'est plus agréable sans
"
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Votre réflexion se justifie... pour des sportifs ! Pour moi le VAE est justement un moyen de retrouver de l'activité physique - y compris en velotaf d'ailleurs puisque c'était ma raison numéro un pour acheter un VAE.

Par ailleurs je suis persuadé que certains VAE très légers, agréables sans assistance, rendent encore plus floue la différence avec les vélos musculaires.
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Oui, je comprend, mais je raisonnais en termes de VAE loisir en balades fréquentes.

Je prend, quand je peux le vélo pour aller au boulot. Avant j'y allais en VAE (un modèle un peu ancien, avec une batterie pas neuve), j'étais obligé de limiter la vitesse pour ne pas trop solliciter la batterie (20 km aller dont 7 km de côte à l'aller, 3 km au retour). A présent, j'y vais en vélo de route, je m'arrange pour laisser quelques vêtements de rechange sur place et au final, je gagne près de 30 min par aller et retour, c'est plaisant.

 "Les gens d'en bas qu'il faut respecter". M. Barnier

5646
Perso, je ne comprenais pas trop l'usage du VAE pour des usages de loisir. Pas plus que je n'ai compris au début l'arrivée des VTT électriques : quand je vais faire du VTT, c'est pour faire du sport.

Puis des gens m'ont témoigné leur bonheur d'utiliser des VTT électriques en montagne, leur permettant de parcourir de plus grandes distances et d'accéder à des endroits où ils n'auraient pas pu grimper autrement.
Dont act.

Puis j'ai ma voisine qui va au boulot tous les jours à vélo (pas très loin), a des problèmes de genoux et va s'acheter une VAE pour son départ en retraite. Le but : pouvoir continuer à utiliser le vélo pour la plupart de ses déplacements, pouvoir aller se balader assez loin...
Puis j'ai un pote, grand randonneur, mais pas cycliste pour 2 sous, avec sa conjointe très sportive et aussi grande randonneuse, qui s'est équipé d'un VAE pour aller au boulot.
Finalement, les deux en ont pris un et s'en servent pour leurs vacances quand ils ne randonnent pas, en mode rayonnement autour d'un point et ils en sont ravis.

Il y a plein d'usages différents du vélo. Le VAE permet d'en élargir les usages, mais aussi l'accès à des personnes pour qui le vélo à mollet n'est pas une évidence pour plein de raisons.

C'est clair qu'acheter un VAE quand on aime aller faire des raids de 150 bornes le week-end n'a aucun sens.
En vacances, avoir un VAE pour se balader dans une région qu'on ne connaît pas et faire les déplacements classiques de vacances, ça a du sens.

Pour ma part, notre "treck" en VAE (cargo) n'était pas un choix : je n'avais juste pas d'autre vélo disponible. Mais j'y ai découvert un intérêt malgré les défauts de la solution.
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C'est malheureusement trop tard je pense mais j'aurais bien aimé convertir ma mère à ce type d'engin. Elle a trop peur sur la route et pas sûr qu'elle ait besoin de cette autonomie face au tram.. .
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Perso j'envisage le mix VAE pliant + tranway pour aller au taf, tellement le trajet est chiant, pénible, plein de feux rouges et dangereux (plein de retours sur la voie des bagnoles (50% du trajet, à Paris c'est pas rien), plein de véhicules garés sur la voie des cyclistes.

Putain, 22 ans que je traine sur AF : tout ce temps où j'aurais pu faire de la musique !  :-( :-)

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A la maison le VAE sert a équilibrer la puissance entre moi et madame.
Moi sur un vieux vtc un peu lourd, mais étant moi même un peu lourd, avoir 5 kilos de moins sur le vélo c'est pas tout a fait négligeable mais presque et madame sur un VAE...
Sur du plat c'est nickel, en côté c'est madame qui file et en pente c'est moi.
Par contre, le démarrage en côte est délicat pour madame.
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Pas de booster ?
Moi c'est devenu un vrai réflexe avec le mien. Même quand l'assistance est coupée, un bref petit coup de booster pour lancer le vélo.
Quand il est bien chargé, c'est presque indispensable. En tous cas en côte.