Derniers films vus
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fairbec
Le permier est tout simplement exceptionnel : une richesse de dialogues exceptionnelle et une construction à l'americaine. marque de fabrique canadienne?
Le second aurait pu etre tres bon s'il etait sorti avant Amélie...
Captain Niglo
Avant j'étais prétentieux, maintenant je suis parfait.
SoundCloud | Stompin at decca | I can't give you anything but love
blackle

Dans un futur relativement proche où la robotique fait partie du quotidien des humains, un ingénieur est chargé de donner vie au premier androïde dit libre. C'est à dire au premier robot capable d'éprouver des sentiments.. Pour cela il décide de prendre comme modèle une fillette de 10 ans.. Eva..
Un film assez impressionnant, émouvant et très intelligent.
Anonyme
la nuit dernière
Je ne me souviens plus de grand chose mais j'avais l'impression de regarder un bon film.
Ce dont je me souviens c'est qu'à la fin le vieil homme aveugle amène toute sa famille dans
un endroit quelque part dans la montagne.
Et là, caché dans une grotte il y avait toute sa bibliothèque.
Allez savoir pourquoi mais tout le reste du film faisait que cette scène était particulièrement émouvante.
wildchild666
Film québecquois conseillé par un pd et ma soeur. Tout pour fuir mais en fait non on se laisse prendre par l'absurdité du scenar et dialogues. Bon par contre on capte rien avec avec leur accent, ostie.
- Vous êtes contre tout ce qui a été fait depuis la dernière guerre...
- Vous vous trompez de date. Je suis contre tout ce qui a été fait depuis Adam
oryjen
Un film iranien dont je n'ai ni le titre ni l'affiche puisque je l'ai vu en rêve
la nuit dernière
Ça c'est le point G de la cinéphilie!
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L'artiste entrouvre une fenêtre sur le réel; le "réaliste pragmatique" s'éclaire donc avec une vessie.
crossroads
J'avais lu que le Seigneur des Anneaux et je comprends que cette trilogie est eu plus de succès en livres.
Là c'est quand même un peu léger, les personnages pas fantastiques et certains trucs vraiment loufoques (le mage gris avec son traineau de lièvres
Bref, on retrouve l'ambiance de le trilogie mais le fond n'est pas là.
Instrumental/Ambient/Post-Rock : https://dzeta.bandcamp.com/
[ Dernière édition du message le 28/04/2013 à 20:04:41 ]
-Liam-
Le prénom
Huis clos théâtral qui part en couille. Classique donc, mais assez jouissif, très bien joué (y compris Bruel), avec un bon scénar et quelques excellentes vannes (heil pépito...).
Les gamins
J'ai marré tout au long du film, qui certes n'est pas révolutionnaire mais est doté d'une bonne dose de vannes à la con, qui surtout sont sorties avec un naturel tel qu'on dirait parfois de l'impro de la part des acteurs. On retrouve un mélange d'humour Boublil et d'humour des nuls avec la présence de Chabat. Dernier point, Mélanie Bernier est absolument ravissante.
Un verre à moitié vide est aussi à moitié plein. Un type à moitié intelligent est généralement complètement con
https://soundcloud.com/newcarradio
tihouss
Je viens d'imagegoogler. Je glargle.
L'appétit vient en mangeant ; la réforme, c'est pas sorcier ; le campement léger en plein air, non. Cupidon
cyar
J'ai apprécié: La photo et traitement des lumières sont à tomber. L’esthétique parfaite, celle des actrices aussi!
L'histoire est par contre un peu décousue, certaines scènes ont du mal à être reliées à l'histoire principale.
Sous prétexte d'un film d'arts martiaux, on a en fait un film qui aborde des questions philosophiques (la transmission, la vengeance, le poids des traditions,...)
Des scènes de combat magistrales, réglées comme des ballets.
Des longueurs, mais WOng kar Wai, c'est toujours très lent.
Au final, le grand maitre n'est pas celui qu'on croit.
tihouss
La photo et traitement des lumières sont à tomber
Tu veux dire que The Grandmaster flashe?
L'appétit vient en mangeant ; la réforme, c'est pas sorcier ; le campement léger en plein air, non. Cupidon
cyar
Anonyme
Calembourg sans appel.
Anonyme
Scott Pilgrim
:whatdidIjustwatch:
Faut dire que j'y suis allé la fleur au fusil, sans connaissance préliminaire. Le début met en place un loser post-ado, classique quoique l'habillage esthétique et narratif est ici assez sympa, et au bout de trente minutes on part pour ne plus s'arrêter dans un total délire visuel geek.
Du coup le récit passe plusou moins à la trappe, restent des combats plus ou trop stylisés (ç'en devient lassant) entrecoupés de scènes plus ou moins marrantes. Ça m'a paru un peu long mais au final c'était divertissant et vraiment sympathique.
Bonnie & Clyde
Je regrette pas de l'avoir vu.
Dellamorte Dellamore (ou l'inverse
)Génial. Encore un film « de genre » (zombie à la base), mais pas si simple à cataloguer. Le pitch est outrageusement simple : on suit un gardien de cimetière faisant face au réveil des morts. Cependant le film vaut vraiment pour la pleine absurdité du traitement, le laissant plus évoquer la vanité de notre existence, la cyclicité de nos destins (sans être non plus un flim sur le cyclicitimse), l'idéalisation de l'amour... le problème mort-vivant est même pas expliqué en fait.
Après ça reste du zombie : une pointe de gore, une pointe de baroque, une pointe d'humour noir, le tout dans une atmosphère assez unique.
tihouss
(sans être non plus un flim sur le cyclicitimse)
L'appétit vient en mangeant ; la réforme, c'est pas sorcier ; le campement léger en plein air, non. Cupidon
Anonyme

Iran - Allemagne 2010
Que fait donc cet homme dans la forêt au milieu de la nuit?
Il a l'air d'être aux aguets. Il a allumé un feu et son fusil est
posé près de lui.
J'avais raté ce film à sa sortie en salle et c'est avec plaisir que je l'ai trouvé
en DVD à un prix intéressant.
Les deux premiers tiers du film sont très réussis. La trame narrative et le rythme
collent parfaitement et on se dit qu'on regarde vraiment un bon film.
Malheureusement le dernier tiers s'avère un peu décevant tant au niveau du scénario que du rythme.
Bref, légèrement déçu.
L'acteur principal n'a pas un jeu varié mais il incarne à merveille
ce héros taciturne.
Techniquement, que ce soit du point de vue des plans/du cadrage, de la mise en scène et de la photo j'ai souvent pensé à certains films policiers américains des années 70/premier lustres des années 80.
Peut-être aussi est-ce dû à la voiture du personnage principal et à son look, mais aussi le côté urbain de Téhéran et de ses échangeurs/autoroutes.
Dans tous les cas j'imaginais bien Clint Eastwood ou Steve McQueen jouer ce rôle
dans le même genre de film qui se déroulerait à Los Angeles.
Mis à part un court motif de percussion iranienne et un riff de guitare post-rock saupoudrés ici ou là y a très peu de musique et ça ne gêne pas.
L'interview du réalisateur (qui vit certainement en France car il parle un français impeccable)
donne un éclairage étonnant sur le film et le contexte dans lequel il a été tourné.
Je crois que c'est un premier film et du point de vue de la réalisation il
a je pense tout d'un grand film, sauf la fin selon moi.
[ Dernière édition du message le 29/04/2013 à 23:28:18 ]
Anonyme
TONY, 2009
Sur certaine affiche, le film est titré : "Tony: London Serial Killer."
Toute la mise est scène repose sur un principe narratif qui paie bien lorsqu'il est bien maîtrisé : le non-dit. Et là, ça fonctionne bien, j'ai trouvé. On suit le personnage de Tony, "inadapté social", et son rapport pathologique aux autres. On le voit agir mais on n'entre pas dans la "boîte noire". C'est une approche béhavioriste qui rend le personnage assez inquiétant et terrifiant. Il n'y a pas d'explication de ses actes. Il parle très peu. Le tout se déroule dans un cadre assez intimiste : quelques personnages, quelques lieux..une mise en scène très dépouillée. Ca ferait presque documentaire à la "strip tease" dans la façon de filmer.
Bien aimé.

[ Dernière édition du message le 30/04/2013 à 12:28:24 ]
Anonyme
Manichéen à souhait mais réellement bien foutu.
cyar
Oiseau Bondissant
EDIT : non justement c'ets pas celui de Stallone et les Judges au moins ils morflent un peu dans celui-ci.
« Ce n'est pas sur une montagne qu'on trébuche, mais sur une pierre. » - Proverbe indien
[ Dernière édition du message le 30/04/2013 à 14:15:31 ]
cyar
Anonyme

Marielle impérial dans le rôle d'un beauf' de compèt' basique avec le langage qui va bien.
Un vrai bonheur
Polaroil
Citation de : Djardin
Citation de : Polaroil
Vu OBLIVION
Pour qui aime la SF, pas mal du tout. Scénario intéressant, et visuellement très chiadé, les effets sont vraiment utilisés au service de l'immersion dans le film. Quelques scènes bien ricaines, 2-3 longueurs, mais franchement correct.
http://odieuxconnard.wordpress.com/2013/04/18/oublions-oblivion/
Djardin, tu as vu le film ?
"And in the end, the love you take is equal to the love you make"
oryjen
Quelle hénaurme bouse...http://img3.harmony-central.com/acapella/ubb/facepalm.gif
Quand les BD paraissaient pour la première fois en France j'avais entre 13 et 19 ans. Chais pas, le gars avait un certain lustre, du panache, il sautait partout, planait, tombait sur les vilains du haut des airs, et ses réparties ne manquaient pas d'un certain mordant.
Là ce lourdaud triste et con fait peine à voir.
Ses pectoraux en plastique sont minables.
La musique est pompeuse et trop forte.
Et tout ça est très mal raconté.
Dans la BD les personnages étaient diserts.
Là ils sont verbeux. Et on jurerait que c'est juste pour leur laisser le temps de dégoiser leurs platitudes ineptes que ce honteux pensum dure presque trois heures.
Beurk!
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L'artiste entrouvre une fenêtre sur le réel; le "réaliste pragmatique" s'éclaire donc avec une vessie.
Anonyme
wildchild666
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