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Derniers films vus

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Sujet de la discussion Derniers films vus
Pour ma part ce w-e, c'est 'les invasions barbares' (d. arcand) et 'goodbye lenin!' (w. becker)

Le permier est tout simplement exceptionnel : une richesse de dialogues exceptionnelle et une construction à l'americaine. marque de fabrique canadienne?

Le second aurait pu etre tres bon s'il etait sorti avant Amélie...
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54226
Les James Bond vieillissent effectivement très mal :bave:

« Ce n'est pas sur une montagne qu'on trébuche, mais sur une pierre. » - Proverbe indien

Mes photos ici

54227
:non:
Les James Bond avec Roger Moore.
54228
Et Timothy Dalton.

« Ce n'est pas sur une montagne qu'on trébuche, mais sur une pierre. » - Proverbe indien

Mes photos ici

[ Dernière édition du message le 02/01/2020 à 23:12:16 ]

54229
Et Pierce Brosnan.

« Ce n'est pas sur une montagne qu'on trébuche, mais sur une pierre. » - Proverbe indien

Mes photos ici

54230
Et Pierce Brosnan.
54231
Cross post de la loose :-D

« Ce n'est pas sur une montagne qu'on trébuche, mais sur une pierre. » - Proverbe indien

Mes photos ici

54232
Citation :
Les James Bond vieillissent effectivement très mal


Ah mais non mais alors non mais pas du tout :non: Mais alors carrément pas. En vrai, ça viellira moins qu'un Transformers par exemple :non:

Surtout les Roger Moore.

In the midnight hour, she cried more, more, more, with a rebell yell she cried more more more...

Vos meilleures BO

54233
Ha c'est sûr que Roger Moore ne vieillira plus tellement.:-D

Vu Les Frères Sisters, De Jacques Audiard, avec John C. Reilly, Joaquin Phoenix et Jake Gyllenhall.
Une merveille!
Depuis Un Prophète, Jacques Audiard fait un sans faute. Sublime visionnaire de la portée du quoditien trivial, voire même sordide parfois!
Les 3 acteurs principaux sont au top!
J'ignorais que Reilly fût capable de jouer aussi fin.:8O:

--------------------------------------------------------------------------------

L'artiste entrouvre une fenêtre sur le réel; le "réaliste pragmatique" s'éclaire donc avec une vessie.

54234
Je dirais même un sans faute bien avant "Un prophète" .
"Sur mes lèvres" et "De battre mon cœur s'est arrêté" sont comme même 2 sacrés bon films.
Avec moins de moyens peut être, mais déjà, on sent bien le gars qui maîtrise son sujet.

Un esprit sein dans un... cornichon ?

Le tout venant a été piraté par les mômes, on se risque sur le bizarre : https://soundcloud.com/gojats  

54235
Citation :
J'ignorais que Reilly fût capable de jouer aussi fin.:8O:


amha les meilleurs acteurs comiques sont souvent les meilleurs acteurs tout court. Perso je l'ai vu pour la 1ere fois dans l'excellent et méconnu Magnolia, l'est très bon aussi dans le pourtant très téléphoné En pleine tempête.
54236
J.C. Reilly dans Magnolia il est top.

Putain, 22 ans que je traine sur AF : tout ce temps où j'aurais pu faire de la musique !  :-( :-)

54237
Magnolia est top :bave::bave::bave:
Je parle souvent de la scène de Julianne Moore à la pharmacie comme un des summums de l'interprétation.

Mon thread sur le jazz, principalement bop et post bop:

Wham Bam Jazz

54238
Magnolia, clairement un de mes films préférés :bravo:

In the midnight hour, she cried more, more, more, with a rebell yell she cried more more more...

Vos meilleures BO

54239
x
Hors sujet :
quand javé acheté le dividi de Magnolia, il y a avait en bonus un docu spectaculaire sur le film : des premières idées avec PT Anderson à la consécration publique en passant par toutes les étapes ou presque, un truc de plus d'une heure. Je crois le meilleur bonus que j'ai jamais vu.
Si jamais vous pouvez le voir sur la toile ou autre, c'était enthousiasmant

Putain, 22 ans que je traine sur AF : tout ce temps où j'aurais pu faire de la musique !  :-( :-)

54240
Ça fait longtemps que je ne l’ai pas vu, j’ai plutôt le souvenir d’un film déséquilibré, un peu zarb. Je retiens surtout william H Macy. A revoir certainement


"And in the end, the love you take is equal to the love you make"

Mes annonces de matériel guitare

54241
Un peu zarb oui, complexe, mais passionnant.

Putain, 22 ans que je traine sur AF : tout ce temps où j'aurais pu faire de la musique !  :-( :-)

54242
54243
:bravo:

Putain, 22 ans que je traine sur AF : tout ce temps où j'aurais pu faire de la musique !  :-( :-)

54244
Citation :
Tiens, j'ai enfin vu Le Prestige


Revu hier "par hasard", suivi de "L'Illusionniste" qu'on avait déjà regardé, les deux sont sympas

La flemme est l'avenir de l'homme. Pff, jsuis fatigué je ne vais pas plus lo..

54245
Une affaire de famille (2018) de Hirokazu Kore-eda avec Lily Franky, Sakura Andô; Mayu Matsuoka, Kiki Kirin...

th

Au Japon, une famille vit autour de la grand-mère : c'est elle qui possède la minuscule maison et qui touche la retraite de son mari décédé. Avec elle, ses deux petites filles, l'une, Aki, a une vingtaine d'année et vit de prestations dans un peep-show sous le nom de Sakaya, l'autre, Nobuyo, a la quarantaine et fait des petits boulots. Il y a aussi le mari, Osamu, petits boulots aussi dans le bâtiment, et leur fils, Shôta.
Pour faire vivre la maisonnée, les petites rapines restent le plus efficace. C'est Osamu et Shôta qui s'en chargent. En rentrant de l'une d'elle, un soir glacial de février, ils remarquent une petite fille seule sur un balcon du rez-de-chaussée. Il fait froid, ses parents sont absents : ils décident de l'embarquer pour qu'elle puisse se réchauffer et manger un peu.
Une fois à la maison, chacun s'aperçoit que la petit Yuri est une enfant battue.
Après quelques hésitations, ils décident de ne pas la ramener et de la garder en lui donnant un nouveau prénom : Rin.
La vie va continuer : rapines, coups du sort et péripéties, dévoilant petit à petit des secrets de cette famille soudée mais bien hétéroclite.

C'est un joli film, palme d'or à Cannes en 2018. Bien interprété, et une histoire qui se déroule sans flash-back, devant nous. Les secrets se dévoilent par hasard, au détour d'une remarque ou autre, jusqu'au basculement de la tribu.

8 sushis/10

Incrédule sur tout, sceptique sur le reste

54246
Oui, film très recommandable. Il mérite effectivement sa note de 8 ramen/10.

Putain, 22 ans que je traine sur AF : tout ce temps où j'aurais pu faire de la musique !  :-( :-)

54247
Je n’avais jamais vu Once upon a time in the west. C’est maintenant chose faite.

Il y a de ces films que l’on peut regarder 50 fois sans se lasser, où l’on trouve sans cesse autre chose à regarder, une astuce du scénario, un indice dissimulé dans le décor.

Il y a de ces films qui prennent leur temps et pourtant font passer une heure pour une minute. Ces films dont la musique nous ravi dès la première note, pas par sa beauté mais pour les souvenirs qu’elle ravive.

Des films qui racontent une histoire simple, mais profonde et avec différents niveaux de lecture, avec un message moderne et éclairant. Des films qui sont de la philosophie qui se déguste.


Bah là, on est loin de tout ça. Je me suis fait chier pendant trois heures, à voir tout un chacun violer la meuf, buter tout le monde sans raison (et laisser les ennemis en vie sans raison non plus). J’imagine qu’il a eu un impact sur le cinéma, nanani nanana. Mais aujourd’hui, sans avoir de madeleine de Proust associée, c’est vraiment chiantissime. Je tuerais mon pire ennemi que de lui laisser regarder ça.


Cordialement.

On ne voit bien qu'avec les yeux. Le cœur est invisible pour l'essentiel. 

54248
Pas spécialement envie de le revoir mais la scène d'ouverture est quand même assez mythique.

« La vie sans musique est tout simplement une erreur, une fatigue, un exil. », Friedrich Nietzsche. ♫

54249
Ça m’est apparu grand-guignolesque, mais c’est vrai qu’elle est assez intrigante. Ceci dit, même pour du contemplatif, 17 minutes pour qu’un mec descende du train et fasse mal semblant de jouer de l’harmonica, c’est long.

On ne voit bien qu'avec les yeux. Le cœur est invisible pour l'essentiel. 

54250
On a peut-être oublié à quel point on cultivait avec délices un certain second degré sous-jacent à l'époque...
Il y a qq chose de plaisant, de gourmand, dans la surcharge, qui était vécue comme telle.
C'était déjà une re-lecture distanciée et caustique des classiques du western, cette école-là...
Je me rappelle qu'on aimait ce climat "too much".
Révérend?

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L'artiste entrouvre une fenêtre sur le réel; le "réaliste pragmatique" s'éclaire donc avec une vessie.