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fairbec
Le permier est tout simplement exceptionnel : une richesse de dialogues exceptionnelle et une construction à l'americaine. marque de fabrique canadienne?
Le second aurait pu etre tres bon s'il etait sorti avant Amélie...
jeremy19450
une vielle et alors ...??
Djardin
Citation de : Raskolnikov
Je crois que comme dans tout Dupontel, y'a rien à en penser.
Ben, il m'intrigue Dupontel. Et soit c'est uniquement absurde, point barre, soit il y a autre chose derriere. Entre Bernie, et Enferme dehors, il y a pas mal de point communs, dans l'histoire, les personnages, le cadre... A mon avis, non pas qu'il y ai un grand message a faire passer au spectateur, mais Dupontel a voulu exprimer des trucs dedans.
Ca vaudrais le coup qu'il fasse plus de film. D'ailleurs, dans ma liste a voir, j'ai rajoute Le Createur (ou il est acteur, scenariste, realisateur) et le convoyeur (acteur)
Faut que dans ma tete je sorte Dupontel de la categorie "commique", parce qu'entre ses films, et ceux de Danny Boon, il y a un monde.
Référence en matière de bon gout capillaire et vestimentaire.
homme à tête de zizi.
Anonyme
Il semblerait qu'en-dehors de leur travail, le seul soucis de quatre quinqua/sexagénaires consiste à trouver un bon parti pour la fille de l'un d'entre eux ou de leur entourage.
Tourné avec pratiquement les mêmes épatants acteurs que "Fin d'Automne" mais dans des rôles différents, c'est encore un fois le mariage d'une jeune femme dont il est question ici. Mais le point de vue est différent.
Le fil du récit est moins direct que dans le film cité plus haut. Il y a plusieurs scènes qui semblent à priori totalement distinctes du coeur de l'histoire mais le rapport est indéniable et le puzzle prend progressivement forme.
Certains aspects ressortent plus (conflit générationnel, tradition plus ou moins mise à mal, autonomie et indépendance de la femme, humiliation après une guerre perdue) mais le tour de force de trouver un équilibre entre la légèreté et le sérieux est réussi.
La mise en scène est moins poétique que dans "Fin d'Automne" mais tout aussi réussie. La photographie, les décors, les costumes, la lumière sont toujours impeccables.
"District 9". Cousu de film blanc mais prenant, j'ai vraiment passé un super moment.
[ Dernière édition du message le 20/01/2011 à 09:09:02 ]
oryjen
+1 Djardin: Dupontel joue sur la fibre surréaliste. Ses personnages absurdes jusqu'à la violence (et là il faut aussi parler de son rôle dans Irréversible: l'amuseur qui s'amuse de moins en moins...) et la perte de sens sont un reflet de quelque chose qui fonctionne plus ou moins à l'intérieur de chacun de nous.
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L'artiste entrouvre une fenêtre sur le réel; le "réaliste pragmatique" s'éclaire donc avec une vessie.
Pictocube
Mi j'accroche bien ces films, le créateur m'a particulièrement plu...
Tant qu'il y aura des couilles en or, il y aura des lames en acier
jeremy19450
une vielle et alors ...??
vodevil
C'est quand qu'on va où?
Anonyme
Est ce que, même si ça a le mérite d'exister, ça suffit pour faire un bon film ?
Pictocube
Ben ça dépend des attentes qu'on a... Mais franchement Bernie, ça m'a surpris, j'ai trouvé ça drôle, les acteurs pas mauvais, les personnages crédibles... C'est pas un chef d'oeuvre c'est sûr, mais finalement les chefs d'oeuvre du cinéma il y en a très peu si on ne se concentre pas sur des critères particuliers et si l'on exclu pas que tous les goûts sont dans la nature, mais c'est sans doute pas non plus un film mauvais.
Tant qu'il y aura des couilles en or, il y aura des lames en acier
gromeul
A.Dupontel est un putain de bon acteur, dans "Le convoyeur" ou dans "L'ennemi intime" par exemple , j'ai adoré "Bernie" même si les côté très extrême m'a d'abord laissé "nauséeux", ça reste un de mes films de chevet!
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