Derniers films vus
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fairbec
Le permier est tout simplement exceptionnel : une richesse de dialogues exceptionnelle et une construction à l'americaine. marque de fabrique canadienne?
Le second aurait pu etre tres bon s'il etait sorti avant Amélie...
le reverend
Derniers films vus
Gantz :
Keï Kurono et Masaru Kato, deux lycéens comme les autres, se font écraser par une rame de métro alors qu’ils aidaient un sans-abri. Pourtant, à l’instant même où la vie les quitte, ils se retrouvent dans un étrange appartement en compagnie d'autres personnes venant également de “mourir”.
Moisi.
Putain, 22 ans que je traine sur AF : tout ce temps où j'aurais pu faire de la musique ! :-( :-)
le reverend
J'argumente.
scénario pas mal, mal exploité, pas trop bien joué, absence totale de rythme, personnages caricaturaux (mais c'est peut-etre la différence culturelle, ça), dialogues nazes, "monstres" ridicules (sauf le dernier peut-etre), fin en forme de lancement de l'épisode suivant.
Et plus grave : film auquel on n'adhere pas. Crédibilité de l'ensemble : zéro.
Reste un ou deux effets spéciaux pas mal. Ca va pas etre assez pour l'acheter celui-là...
Putain, 22 ans que je traine sur AF : tout ce temps où j'aurais pu faire de la musique ! :-( :-)
Djardin
Citation de : cyar
surtout que le fait qu'on utilise que 20% de son cerveau est totalement faux. Vieille légende urbaine.
J'ai cru comprendre qu'en réalité on utilise tout, mais jamais 100% en même temps. on utilise telle ou telle morceau selon le contexte.
Et là, c'est assez bien fait. le gars n'a pas des supers pouvoirs, mais réussis à tout faire en même temps (être attentif au son + se souvenir + faire un calcul...)
Référence en matière de bon gout capillaire et vestimentaire.
homme à tête de zizi.
**naPOLEoN**
Pere Founasse
Provocateur d'extrême droite
oryjen
On pourrait faire ce genre de remarque à à peu près tous les films.
Ca c'est très intéressant à mon avis, on est en plein dans le sujet: Black Swann est le récit en fin de compte objectif (même si on met un moment à le comprendre) des effets d'une subjectivité invasive et déréglée. En ce sens, pour que le téléscopage fonctionne, il faut que le point de vue objectif soit sans faille. C'est pas du tout comme dans un film fantastique où l'extraordinaire et l'invraisemblable constituent le moteur à fantasme et à plaisir, et où toute outrance du point de vue du contenu est par avance pardonnée, voire même souhaitée. Il me semble qu'ici l'auteur ne devrait justement se permettre aucune approximation pour que son propos ait la force et la solidité nécessaire. On n'est pas du tout, même si ça peut paraître ressembler au premier abord, dans le même contexte que Mullholand Drive, de D. Lynch, qui est une sorte de récit fantastique, où le délire est montré de l'intérieur de la névrose: Pas besoin de vraisemblance, tout se mélange et l'on s'enlise avec conviction: On cherche en vain le réel objectif, qui devient indiscernable du fantasme. Au contraire, dans Black Swann, le regard objectif est utilisé manifestement par l'auteur de façon explicative, par rapport aux images fausses de la névrose, qui sont clairement montrées comme fausses et maladives, vectrices de souffrance.
Ce sont ces moments de froide "normalité" du regard, qui finissent par nous mettre la puce à l'oreille, et nous orientent peu à peu, du doute, vers une sorte d'élucidation, et qui auraient pu constituer la véritable force de ce récit. Je crois que dans ce cadre-là, il faut au contraire tout spécialement se garder de toute approximation, et que la vraisemblance est donc un élément de premier rang à ne surtout pas traiter à la légère.
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L'artiste entrouvre une fenêtre sur le réel; le "réaliste pragmatique" s'éclaire donc avec une vessie.
Pere Founasse
Si l'on ne peut pas bouger avec une pareille blessure, je reléguerais définitivement ce film au rang des plus infâmes navets de la création, oubliant le jeux splendide de Portman, la photo classieuse et parfois surréaliste lors de la scène de danse du début, les effets spéciaux grandioses et ultra esthétiques, les dialogues crus et réalistes, le scénario exemplaire d'une rare intensité dramatique faisant penser parfois à du Hitchcock, la musique qui prend aux tripes, la fin haletante avec ses nombreux rebondissements, etc.
Non, définitivement ... si l'urgentiste nous dit que le fait de pouvoir se mouvoir convenablement dépend des caractéristiques de la blessure ou / et de l'état psychologique de la victime et qu'à vu d'oeil ( mais il a de gros doutes ), la blessure de Portman est assez grave et qu'elle n'aurait pas pu danser plus de 20 minutes alors qu'elle a dansé 21 minutes et 15 secondes, définitivement, ce film deviendra une ENORME MERDE !!!!!!
Provocateur d'extrême droite
[ Dernière édition du message le 12/09/2011 à 15:27:52 ]
oryjen
( je sais qu'avec un hamster calciné dans l'anus il est au moins possible de se déplacer jusqu'aux urgences )
pour le reste, ramassis habituel de pures founasseries... (la founasserie est une figure rhétorique bien connue qui consiste à paraphraser le propos de l'adversaire en le déformant plus ou moins subtilement de manière à le ridiculiser)
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L'artiste entrouvre une fenêtre sur le réel; le "réaliste pragmatique" s'éclaire donc avec une vessie.
[ Dernière édition du message le 12/09/2011 à 15:33:38 ]
Pere Founasse
Je sais que l'irréalisme de la scène finale n'a pas été ton seul grief contre le film, mais aussi le scénario, les FX, etc.
Ce que je voulais exprimer ici était que parfois, des gens vont rejeter en bloc une oeuvre d'art car celle ci contient un détail, une violence, ou des images à caractères sexuel qui les ont dérangé ou choqués. Et cela malgré le fait qu'ils auraient pu adorer tout le reste.
Provocateur d'extrême droite
[ Dernière édition du message le 12/09/2011 à 16:06:21 ]
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