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fairbec
Le permier est tout simplement exceptionnel : une richesse de dialogues exceptionnelle et une construction à l'americaine. marque de fabrique canadienne?
Le second aurait pu etre tres bon s'il etait sorti avant Amélie...
Jofree
Je connais un peu Tarkovsky et je reconnais n'avoir vu que Solaris.
Quand on connait le contexte originel du bouquin de Stanislaw Lem , je ne suis pas sûr qu'en ayant vu (et aussi apprécié) la version de Tarkovsky me permette de juger de son oeuvre.
En plus, tu vas peut-être me dire que je te cite là le pire exemple...
"To boldly go where no man has gone before."
usob solina
Boudiou Solaris, un de mes pires souvenir de ciné, j'ai cru mourir d'ennui. Des séquences interminables (le voyage en voiture, un supplice) dont je n'ai pas vu l'intérêt.
Par contre je serai curieux de voir Stalker.
oryjen
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L'artiste entrouvre une fenêtre sur le réel; le "réaliste pragmatique" s'éclaire donc avec une vessie.
wildchild666
- Vous êtes contre tout ce qui a été fait depuis la dernière guerre...
- Vous vous trompez de date. Je suis contre tout ce qui a été fait depuis Adam
Traumax
En fait t'as rien bité au discours sous jacent sur la philosophie politique et le totalitarisme, donc t'as décidé que c'était nul pour sauver l'honneur. Tu n'as simplement pas le level Wachowski.
wildchild666
- Vous êtes contre tout ce qui a été fait depuis la dernière guerre...
- Vous vous trompez de date. Je suis contre tout ce qui a été fait depuis Adam
Traumax
wildchild666
- Vous êtes contre tout ce qui a été fait depuis la dernière guerre...
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Traumax
Javé compris que tu avais compris, nous savons tous deux de quoi le monde est fait.
oryjen
Aguiché par le compte-rendu fait ici même, j'ai vu Une Séparation
Narration magistrale, sensible, inventive et excellemment rythmée.
L'élément-clé est très habilement tenu en réserve jusqu'à la fin.
Ce film est aussi une belle chronique de la modernisation des moeurs au moyen-orient, doublée d'une intéressante étude du clivage social en vigueur là-bas comme ici (ce qui ne manque d'ailleurs pas d'un certain sel, plutôt amer, pour un spectateur d'occident).
Quelques scènes servies par une photo magnifique, principalement celle de la toilette du père.
Un excellent film, presque en huis-clos, où malgré le propos resserré on ne s'ennuie pas une minute.
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L'artiste entrouvre une fenêtre sur le réel; le "réaliste pragmatique" s'éclaire donc avec une vessie.
[ Dernière édition du message le 14/09/2012 à 13:12:09 ]
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