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fairbec
Le permier est tout simplement exceptionnel : une richesse de dialogues exceptionnelle et une construction à l'americaine. marque de fabrique canadienne?
Le second aurait pu etre tres bon s'il etait sorti avant Amélie...
Pictocube
J. Edgar :
Bon ben je suis super déçu, entre le personnage, gros parano mégalo et l'histoire d'amour entre 2 vieux homo restés trop longtemps dans le placards, je me suis fait chier et j'ai pas vu ce que je voulais. Je n'ai rien trouvé d'exceptionnel à la réalisation, les décors et costumes sont classes mais autrement tout ça a peu d'intérêt je trouve.
We'll take manhattan :
Un film sur un photographe qui a révolutionné son petit monde à son époque. Bon sujet assurément mais perdu dans une romance bidon trop mise en avant. Au final on passe sur tout les aspects intéressants de la carrière du type pour rester sur des dialogues niais et rase motte... Un film raté.
Mon Colonel :
Adaptation, suite au meurtre d'un colonel retraité, on s'intéresse à son passé en Algérie. Plutôt pas mal, bon sujet, bon acteurs sur la partie historique (Cécile de France en revanche est pas vraiment utile au film).
Seven Psychopaths :
Un type veut écrire un film mettant en scène 7 psychopathes mais il ne trouve pas les personnages... heureusement ils viendront à lui. Bien déjanté, bons délires, j'ai aimé.
Tant qu'il y aura des couilles en or, il y aura des lames en acier
-Liam-
Rematé Into the Wild (que j'ai depuis 4 ans mais que je n'avais jamais revu depuis le cinoche).
Pas de doute, c'est beau. Les images, les paysages, la B.O., tout ça forme un ensemble de haute volée. La voix d'Eddie Vedder qui se perd dans les déserts californiens ou les sommets d'Alaska, ça calme pas mal. Je me souvenais pas de la narration croisée (Bus/parcours pour y arriver) et c'est très bon. Certains personnages sont superbement interprétés (le vieux Ron et le couple de hippies notamment). Comme la première fois, ce film me laisse une très forte impression, beaucoup d'espoir et de vie à en tirer selon moi.
Un verre à moitié vide est aussi à moitié plein. Un type à moitié intelligent est généralement complètement con
https://soundcloud.com/newcarradio
cyar
Quitsch, FX pas tops, histoire nian nian vraiment pour les enfants.
Couleurs criardes, aucune originalité et très peu d'humour.
LE jeu de James Franco .
Pour être plus précis, on peut dire que les images de synthèse jouaient mieux que lui.
Déçu.
Captain Niglo
Avec Mad Mikelsen
Un mec qui travaille dans une école est accusé d'atouchements alors qu'il n'a rien fait (la gamine à tout inventé). Lors de son jugement il est reconnu innocent et malgré ca les gens continuent à le croire coupable et à se venger...vraiment bouleversifiant, j'ai adoré (un peu malsain comme même)
Avant j'étais prétentieux, maintenant je suis parfait.
SoundCloud | Stompin at decca | I can't give you anything but love
oryjen
Pas mal. Quelques détails tirés par les cheveux compliquent encore une narration déjà un rien alambiquée. Belle évocation poétique de cet amour perdu que les regrets entretiennent d'une façon assez morbide. Mais terrain défriché de longue date depuis le Solaris de Tarkovski et tous les autres ensuite... L'image, quoique belle et puissante, n'est pas à mettre au crédit de ce film-là. Marion Cotillard, avec ses airs équivoques tantôt belle tantôt perverse, fait là une belle performance d'actrice. Di Caprio n'est pas encore acteur. Je pense qu'il en aura fini avec sa tronche vers 60 ans et pourra alors commencer à tenir de vrais rôles. J'ai pas aimé retrouver encore et encore, et là vraiment hors de propos, les sempiternelles références du cinéma américain: Fric et pan-pan (les célèbres accolytes de chez Walt Disney).
Immortel ad Vitam de Bilal. Une évocation esthétiquement réussie de l'univers du Maître. Mais l'ambiance et le propos sont nettement inférieurs à ceux des BDs. Dommage, même si c'est (a posteriori) revendiqué par l'auteur. On aurait pu avoir ici, avec cet univers elliptique qui parle d'un futur glauque afin très nettement de conjurer le présent, un peu de cinéma mature. On en reste un peu au spectacle. Mais ne nous plaignons pas, la tenue n'est quand même pas mauvaise car j'ai vu aussi
Le Ruban de Moebius du même. Nul. Pas de scénario. Des ressorts dramatiques éculés jusqu'à la trame de la trame. Une belle merde. Devait déjà être gâteux depuis une paire d'années...
Stalker d'AndreI Tarkovski. Magnifique! Rien, absolument rien de réchauffé. Tout est inventé avec puissance sur le fil du rasoir. L'auteur cherche en permanence, l'Image derrière l'image. C'est puissant, c'est beau, l'arrière-plan est vaste, tout, tout, tout coïncide pour raconter les tourments du poète au cœur d'un monde désenchanté. Nous avons là l'exposition précise et profonde des mécanismes de la création poétique. Un grand bonheur.
Valhalla Rising N Winding Refn. J'avais bp aimé Bronson, hébin là derechef! Un film à voir et à revoir en se contentant de se laisser couler dans l'ambiance. A mon avis les "explications" sont parfaitement inutiles, ainsi que le découpage en 4 parties, qui veut donner à penser qu'il y a symbolique là-derrière etc... Ca gêne un peu l'immersion. D'ailleurs l'auteur lui-même reconnaît explicitement (dans les entretiens en bonus du DVD) que le "propos" du film s'est esquissé au fur et à mesure du tournage en Ecosse d'une part, en grande partie suggéré par les lieux de tournage eux-mêmes, et l'identité du personnage principal d'autre part, affirmée elle aussi à mesure, et reste assez flou et ouvert à interprétation personnelle du spectateur.
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L'artiste entrouvre une fenêtre sur le réel; le "réaliste pragmatique" s'éclaire donc avec une vessie.
[ Dernière édition du message le 02/04/2013 à 10:44:46 ]
Djardin
Stalker, c'est le film qui débute en noir et blanc, et qui prends de la couleur quand ils rentrent dans la zone ?
Référence en matière de bon gout capillaire et vestimentaire.
homme à tête de zizi.
oryjen
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L'artiste entrouvre une fenêtre sur le réel; le "réaliste pragmatique" s'éclaire donc avec une vessie.
Captain Niglo
Avant j'étais prétentieux, maintenant je suis parfait.
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Djardin
En fait, le film (dont j'ai vu que le début, jusqu'à l'apparition de la couleur) parle d'un Stalker qui guide 2-3 gars dans une zone interdite et contaminée. Mais il n'est pas fait mention d'une quelconque catastrophe nucléaire. juste un mystérieux "monolithe" au milieu de la zone, avec des pouvoir. Je crois que c'est un livre à la base aussi.
Et dans le jeu vidéo Stalker, c'est plus ou moins la même histoire : un monolithe au milieu d'une zone contaminée et interdite, des pouvoirs psy, et tout. mais en plaçant toute l'histoire à Tchernobyl, et le monolithe dans le réacteur de la centrale.
Référence en matière de bon gout capillaire et vestimentaire.
homme à tête de zizi.
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