Derniers films vus
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fairbec
2248
AFicionado·a
Membre depuis 21 ans
Sujet de la discussion Posté le 05/10/2003 à 19:14:46Derniers films vus
Pour ma part ce w-e, c'est 'les invasions barbares' (d. arcand) et 'goodbye lenin!' (w. becker)
Le permier est tout simplement exceptionnel : une richesse de dialogues exceptionnelle et une construction à l'americaine. marque de fabrique canadienne?
Le second aurait pu etre tres bon s'il etait sorti avant Amélie...
Le permier est tout simplement exceptionnel : une richesse de dialogues exceptionnelle et une construction à l'americaine. marque de fabrique canadienne?
Le second aurait pu etre tres bon s'il etait sorti avant Amélie...
pontchartrain
2872
Squatteur·euse d’AF
Membre depuis 16 ans
45991 Posté le 23/01/2017 à 16:22:31
Citation de Will :
Thierry Frémaux qui a aussi remplacé Gilles Jacob comme directeur du festival de Cannes. Il était l'invité de "La grande table" sur France Cu ce midi. Il sort aussi un bouquin de souvenirs.
Exact, d'ailleurs il dédicaçait son bouquin après la projection. ( je n'ai pas précisé qu'il était venu présenter son film et répondre aux questions après la projection ) Un type passionnant et passionné.
crossroads
9943
Je poste, donc je suis
Membre depuis 20 ans
45992 Posté le 24/01/2017 à 10:58:04
Big Eyes
De Tim Burton
À la fin des années 1950 et au début des années 1960, le peintre Walter Keane connait un succès phénoménal et révolutionne le commerce de l’art grâce à ses énigmatiques tableaux représentant des enfants malheureux aux yeux immenses. Mais la surprenante et choquante vérité finit cependant par éclater : ces toiles ont été peintes par sa femme, Margaret. L’extraordinaire mensonge des Keane a réussi à duper le monde entier.
D’après une histoire vraie, mais à la sauce Burton : couleurs pastelles saturées, costumes kitchs….
Amy Adams est super (bien mieux que dans les DC), Christoph Watz est encore une fois génial dans son rôle de manipulateur.
Les personnages du directeur de galerie et du critique d’art sont gratinés à souhait.
Le film pose bien la question de ce qu’est l’art et de sa valeur.
Le marketing, les critiques, la reconnaissance du public, par l’exemple de cette histoire Burton pose les bonnes (et toujours d’actualité) questions.
Même la fin montre que rien n’est vraiment intègre et que tout est question de compromis.
Pour moi, un bon Burton.
De Tim Burton
À la fin des années 1950 et au début des années 1960, le peintre Walter Keane connait un succès phénoménal et révolutionne le commerce de l’art grâce à ses énigmatiques tableaux représentant des enfants malheureux aux yeux immenses. Mais la surprenante et choquante vérité finit cependant par éclater : ces toiles ont été peintes par sa femme, Margaret. L’extraordinaire mensonge des Keane a réussi à duper le monde entier.
D’après une histoire vraie, mais à la sauce Burton : couleurs pastelles saturées, costumes kitchs….
Amy Adams est super (bien mieux que dans les DC), Christoph Watz est encore une fois génial dans son rôle de manipulateur.
Les personnages du directeur de galerie et du critique d’art sont gratinés à souhait.
Le film pose bien la question de ce qu’est l’art et de sa valeur.
Le marketing, les critiques, la reconnaissance du public, par l’exemple de cette histoire Burton pose les bonnes (et toujours d’actualité) questions.
Même la fin montre que rien n’est vraiment intègre et que tout est question de compromis.
Pour moi, un bon Burton.
Instrumental/Ambient/Post-Rock : https://dzeta.bandcamp.com/
Anonyme
1046
45993 Posté le 24/01/2017 à 11:00:53
Un des rares Burton que j'ai aimé (peut-être le seul). L'absence de Johnny Depp y est pour beaucoup.
crossroads
9943
Je poste, donc je suis
Membre depuis 20 ans
45995 Posté le 24/01/2017 à 11:05:33
+1 Big Fish.
Instrumental/Ambient/Post-Rock : https://dzeta.bandcamp.com/
Anonyme
1046
45996 Posté le 24/01/2017 à 11:16:28
Oui, je n'avais pas aimé.
Je crois que c'est l'univers de Burton, je n'accroche pas avec. Mais je comprends qu'on puisse aimer.
Quand à Johnny Depp, toujours trouvé fadasse. J'ai voulu faire plaisir à un gamin voisin dont le père est gravement malade, je l'ai amené voir The Tourist (il badait Angelina Jolie), ce fût un traumatisme irréversible.
Je crois que c'est l'univers de Burton, je n'accroche pas avec. Mais je comprends qu'on puisse aimer.
Quand à Johnny Depp, toujours trouvé fadasse. J'ai voulu faire plaisir à un gamin voisin dont le père est gravement malade, je l'ai amené voir The Tourist (il badait Angelina Jolie), ce fût un traumatisme irréversible.
Anonyme
1046
45997 Posté le 24/01/2017 à 11:25:49
Pas de Polanski pour présenter la cérémonie des César. Les organisateurs ont contacté Bill Cosby pour le remplacer.
pontchartrain
2872
Squatteur·euse d’AF
Membre depuis 16 ans
45998 Posté le 24/01/2017 à 11:35:18
Citation de FunkyDude :
Oui, je n'avais pas aimé.
Je crois que c'est l'univers de Burton, je n'accroche pas avec. Mais je comprends qu'on puisse aimer.
Quand à Johnny Depp, toujours trouvé fadasse.
Après Charlie et la chocolaterie que je trouve au dessus du lot, j'ai toujours été un peu déçu par les films de Burton. Et puis la zik de Charlie
oryjen
17492
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 19 ans
45999 Posté le 24/01/2017 à 15:20:05
Je déteste le côté baroque-criard-flashy-hystérique de Burton.
Cette posture porte un nom, inutile de redéfinir l'eau chaude: Dandysme.
Insupportable.
De tout Burton, finalement, je ne retiens qu'une vision: La scène du convoi avec le chariot-prison dans La Planète des Singes. Un je ne sais quoi de délicieusement exotique, sans doute par inadvertance. (tout le reste du film est une horreur, nous sommes d'accord).
Cette posture porte un nom, inutile de redéfinir l'eau chaude: Dandysme.
Insupportable.
De tout Burton, finalement, je ne retiens qu'une vision: La scène du convoi avec le chariot-prison dans La Planète des Singes. Un je ne sais quoi de délicieusement exotique, sans doute par inadvertance. (tout le reste du film est une horreur, nous sommes d'accord).
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L'artiste entrouvre une fenêtre sur le réel; le "réaliste pragmatique" s'éclaire donc avec une vessie.
Will Zégal
75114
Will Zégal
Membre depuis 22 ans
46000 Posté le 24/01/2017 à 16:36:20
Prendre le pire rôle d'un acteur pour juger de l'ensemble de son travail ou le pire film d'un réalisateur pour qualifier l'ensemble de son oeuvre, c'est la nouvelle mode ?
Allez, jouons ensemble, on peut prendre le pire morceau d'un groupe, le pire bouquin d'un écrivain...
Allez, jouons ensemble, on peut prendre le pire morceau d'un groupe, le pire bouquin d'un écrivain...
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