Derniers films vus
- 59 278 réponses
- 698 participants
- 1 979 640 vues
- 564 followers
fairbec
Le permier est tout simplement exceptionnel : une richesse de dialogues exceptionnelle et une construction à l'americaine. marque de fabrique canadienne?
Le second aurait pu etre tres bon s'il etait sorti avant Amélie...
Djeeloo
...d'on ne sait où... (c'est pas ironique, la théorie n'est pas nouvelle).
Faudrait que je le revoie, mais il m'a laissé un souvenir tellement moyen...
(Franchement, "vous la batte et frappe" ? )
A la rigueur, je préfère largement "Le Village"...
Sinon SPLIT de Shyamalamalan est très bien aussi, si vous avez aimé Incassable,
c'est un peu le même genre d'univers / réalisation / musique.
L'esprit c'est comme un parachute: Il marche mieux quand il est ouvert.
Javier Guante Hermoso
Djeeloo
et triches à fond avec le spectateur pour le mener en bateau.
L'ambiance et la réalisaton n'arrive pas à rattraper ce vilain défaut.
Incassable et Split sont bien au-dessus.
Des avis sur "La Fille De L'Eau", du même?
L'esprit c'est comme un parachute: Il marche mieux quand il est ouvert.
[ Dernière édition du message le 09/04/2017 à 20:54:10 ]
oryjen
Beaucoup aimé Le Village, Incassable (beaucoup!).
Le 6e Sens, bof...
Le Dernier Maître de l'Air, une fois qu'on a bien goûté l'ambiance très atypique, la narration farfelue... Je me suis endormi. Jamais vu la fin.
Quel drôle de type ce Night-Sh...
Des fois je me demande comment il parvient à trouver des budgets.
--------------------------------------------------------------------------------
L'artiste entrouvre une fenêtre sur le réel; le "réaliste pragmatique" s'éclaire donc avec une vessie.
[ Dernière édition du message le 09/04/2017 à 21:55:52 ]
n3m3s1s
Il vaut mieux se perdre dans sa passion que perdre sa passion
[ Dernière édition du message le 09/04/2017 à 22:13:12 ]
Vince_
Sur ce même principe de la métaphore d'une phobie de l'inconnu entretenue voir créer par les médias, on peut penser au sympathique " District 9 " et aussi à l'épisode 5 S2 de Black Mirror ( chez les militaires ).
Vince_
Let's go mr Dunn
Pictocube
Ca a l'air sympathique ce " Grave ", peut être une pépite, à l'instar des " Haute tension " et autre " Martyrs ".
Incomparable avec ces 2 grosses daubes.
Définitivement pas le même cinéma.
Tu m'impressionne toujours par ta vision du cinéma...
Tant qu'il y aura des couilles en or, il y aura des lames en acier
Anonyme
Le premier Tarantino (pas tous vus) qui ne m'a pas déplu, malgré certains éléments irritants propre au cinéaste.
Will Zégal
Si on peut penser qu'un bon film doit être immersif, que l'on ressente de l'empathie pour les personnages etc... pourquoi nous mettre dans les oreilles des musiques qu'ils n'entendent pas eux même. Pareil pour les effets de style suspense, peur, etc... dans la vraie vie, si l'on se retrouve perdu en forêt et que l'on commence à flipper, il n'y a pas une musique inquiétante qui se met à sortir des arbres.
T'es au courant que le cinéma, c'est pas la "vraie vie" ?
Dans la vraie vie, comme tu dis, quand t'es perdu en forêt, tu as des odeurs que tu n'as pas au cinéma, tu as du vent, peut-être froid, tu as un temps qui s'écoule différemment que dans un film, etc. Tu peux aussi regarder où tu veux et non pas seulement dans le cadre délimité par la caméra et son objectif.
Le cinéma doit recréer une atmosphère, une histoire, des sentiments, des sensations avec seulement des images et du son. Pour cela, il utilise un langage propre qui n'est pas la vraie vie et c'est là tout son intérêt.
Les ralentis comme la musique font partie de ce langage, comme les cuts, les flashback, les fondus, les flous, les gros plans...
On peut certes décider de supprimer une partie du lexique cinématographique. C'est ce qu'ont fait les gens de la Nouvelle Vague ou, plus radicalement, les adeptes du Dogme95 de Lars Von Triers et Vinterberg. Ce genre de mouvement est souvent salutaire pour casser les habitudes : la Nouvelle Vague voulait tourner le dos au "cinéma à papa" qui, il est vrai, en était venu à pas mal ronronner à l'époque et les adeptes du Dogme voulaient aller à l'encontre des super production hollywoodiens hyper léchées, post-produites et bourrées d'effets spéciaux.
Bon, pour moi, le dogme était plus une affaire de provoc marketing dont Lars Von Triers s'est fait une spécialité. Aucun de ses soit-disant adepte ne l'a jamais respecté, et heureusement. De même que les cinéastes de la Nouvelle Vague (qui n'a jamais été un code esthétique) ont utilisé des techniques qu'ils avaient à priori rejetées, car il arrive toujours un moment où tu as besoin d'élargir ton lexique, d'utiliser telle ou telle technique au service de ce que tu veux raconter ou du message que tu veux faire passer.
Tiens, il y a un élément du Dogme qui devrait te plaire, au passage :
Le son ne doit jamais être réalisé à part des images, et inversement (aucune musique ne doit être utilisée à moins qu'elle ne soit jouée pendant que la scène est filmée).
Sachant que Lars Van Triers a réalisé "Dancer in the dark"
Après, que l'abus de certains effets de styles par certains cinéastes te gonflent, je peux le comprendre. Comme pour tous les trucs, il y a des gens qui s'en servent de façon délicate et à bon escient et d'autres qui en tartinent jusqu'à la nausée. Mais ça n'implique pas pour autant de rejeter par principe tel ou tel effet.
Maintenant, tu peux monter ton mouvement cinématographique. Je pense qu'il sera proche du Dogme. Mais comme il a été souligné, il existe déjà tout un cinéma qui travaille en grande partie comme ça.
- < Liste des sujets
- Charte