Sujet de la discussionPosté le 05/10/2003 à 19:14:46Derniers films vus
Pour ma part ce w-e, c'est 'les invasions barbares' (d. arcand) et 'goodbye lenin!' (w. becker)
Le permier est tout simplement exceptionnel : une richesse de dialogues exceptionnelle et une construction à l'americaine. marque de fabrique canadienne?
Le second aurait pu etre tres bon s'il etait sorti avant Amélie...
il semble que Gaston Lagaffe ne soit pas du tout la grosse merde attendue par ceux qui se contentent de l'affiche et de la moitié d'une bande annonce pour se faire un avis :
Je pense que ça doit rester vachement subjectif en fonction du gaston que tu as en tête. Ayant lu et relu rerelu cette série de bd en primaire, j'ai en tête un gaston beaucoup plus vieux que ce qui et proposé ici. Mais je vais lui laisser sa chance
cette question est abordée justement dans cette critique, et d'après le mec, c'est insoluble. Chacun a son Gaston, et donc Pef a du choisir de faire SON Gaston, et forcément de décevoir tous ceux qui le voient autrement.
Pour moi, Gaston est forcément un puceau a peine sorti du lycée, il peut pas être un adulte.
Nan mais en gros ce film c'est fait comme un des pires De Funès, quoi... Ou encore, exactement le genre qu'on reprochait à "Camping" ou aux Bronzés, avant que les mauvais cons de l'époque ne prennent des cheveux gris.
On caresse le crétin dans le sens du poil... Ha! ha! vous allez RIRE!
Rétrospectivement, je trouve un je ne sais quoi de bp plus impertinent dans le vieux, avec Mirmont dans le rôle de gaston.
L'artiste entrouvre une fenêtre sur le réel; le "réaliste pragmatique" s'éclaire donc avec une vessie.
Traumax
51839
Goncourt du Grouik
Membre depuis 18 ans
49398Posté le 07/04/2018 à 15:25:42
Tu l'as vu ?
Citation :
On caresse le crétin dans le sens du poil... Ha! ha! vous allez RIRE!
Ptain ouais, le rire c'est vulgaire, c'est sale, c'est tellement petit-bourgeois que même les prolétaires en veulent, alors qu'ils devraient savoir, ces cons, que l'émancipation individuelle et collective se fait dans les larmes et le sang, et le jus de cervelle extrait en se quichant sur le sous-texte de Matrix.