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fairbec

Le permier est tout simplement exceptionnel : une richesse de dialogues exceptionnelle et une construction à l'americaine. marque de fabrique canadienne?
Le second aurait pu etre tres bon s'il etait sorti avant Amélie...

KoalaMan

On ne voit bien qu'avec les yeux. Le cœur est invisible pour l'essentiel.

pontchartrain

À sa sortie j'avais vraiment pris une claque avec Inside Llewin Davis. J'ai le souvenir d'une interview promo des frères Coen qui disaient en gros qu'ils avaient voulu parler de la casse qu'il y avait eu à cette époque ( 62-65 ? ) : pour moins d'une dizaine de John Baez et Bob Dylan, des milliers d'artistes anonymes, certains talentueux, avaient dû se résoudre à retourner vendre des assurances ou des hot-dogs, et que l'industrie du disque était une industrie comme les autres qui répondait aux mêmes règles sinistres et implacables.

Noir c'est noir.
[ Dernière édition du message le 09/10/2018 à 23:46:24 ]

Anonyme



greggreg

Bien aimé aussi inside llewin davis. Pour les même raisons citées plus haut : les acteurs, la musique, le portrait du milieu musical de l'époque et le chat.
J'ai le souvenir d'une interview promo des frères Coen qui disaient en gros qu'il avaient voulu parler de la casse qu'il y avait eu à cette époque ( 62-65 ? ) : pour moins d'une dizaine de John Baez et Bob Dylan, des milliers d'artistes anonymes, certains talentueux, avaient dû se résoudre à retourner vendre des assurances ou des hot-dogs, et que l'industrie du disque était une industrie comme les autres qui répondait aux mêmes règles sinistres et implacables.
Quelques temps avant j'avais vu le doc de Sorcese sur Dylan no direction home. Ce que disent les frères cohen dans leur film illustre bien ce que le documentaire montre en filligrane je trouve.
Et à peu près au même moment y'a eu l'histoire de sixto rodriguez qui est sorti. Et je me suis dit, ils en font un pataquès de sixto mais en fait si le gars a pas vraiment percé ( excepté en afrique du sud ) c'est que la route était déjà barrée par un paquet d'artistes ( et des plus talentueux que lui amha ) et que comme le montre le film c'est pas qu'une histoire de talent.

Dr Pouet

2000 : O'Brother (O Brother Where Art Thou?) => Excellent
2001 : The Barber (The Man Who Wasn't There) => bof
Ben moi ça m'a fait l'inverse. J'ai dû passer à côté de O'Brother qui m'a laissé complètement indifférent, alors que j'ai beaucoup aimé The Barber.

Polaroil

"And in the end, the love you take is equal to the love you make"
[ Dernière édition du message le 10/10/2018 à 08:12:09 ]

Anonyme

[ Dernière édition du message le 10/10/2018 à 08:24:58 ]

Djeeloo

Coïncidence? Je ne crois pas...
L'esprit c'est comme un parachute: Il marche mieux quand il est ouvert.

nobazz

PU74iN m4I2 pUI5kw3 J3 V0u2 di2 Kw3 J3 5Ui2 p42 un 933k 37 KW3 j'3n 4i h0Rr3uR, C'357 CL4IR???

pontchartrain

Ethan et Joël Coen.
Sans tréma sur Joël mais mon smartphone est buté sur certains trucs.

Mais effectivement dans le milieu du cinéma existent aussi un Étan Cohen et un Joël Cohen.

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