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fairbec
Le permier est tout simplement exceptionnel : une richesse de dialogues exceptionnelle et une construction à l'americaine. marque de fabrique canadienne?
Le second aurait pu etre tres bon s'il etait sorti avant Amélie...
oryjen
Je sais tout ça bien sûr, ce qui m'intéressait c'était de voir comment les personnes elles-mêmes qui s'intéressent à ces trucs-là en parlent.
Je prépare une thèse en socio-psycho, spourssa...
Ca me rappelle une anecdote rapportée par mon frangin voici quelques années:
Il était en rando avec deux potes dans un coin paumé, sac au dos.
Ils croisent dans un chemin un type improbable qui les interpelle et leur fait "ha les p'tits gars, ça vous plaît ça, hein, la marche sac au dos, hop! hop! Bin z'allez en avoir, ne vous inquiétez pas... C'est pour dans pas longtemps, avec le bruit des mitrailleuses en prime!"
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L'artiste entrouvre une fenêtre sur le réel; le "réaliste pragmatique" s'éclaire donc avec une vessie.
oryjen
Moi je parlais du spectacle de la souffrance, le genre de truc bien imité.
Je ne dis pas que par moments, même dans les pires navets bien louches au niveau de l'intention, ça ne se mélange pas un peu. Mais c'est pas le propos central, qui est plutôt "vise un peu comment qu'il dérouille le gars!"
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L'artiste entrouvre une fenêtre sur le réel; le "réaliste pragmatique" s'éclaire donc avec une vessie.
Traumax
Mais c'est pas le propos central, qui est plutôt "vise un peu comment qu'il dérouille le gars!"
Ca c'est valable pour le torture porn, pas pour l'horreur. Le propos central du film d'horreur, c'est bien souvent autre chose que la violence elle même.
Sinon, nous montrer les souffrances d'un personnage (physique et/oupsychologique) et nous les faire ressentir par empathie, c'est la base de toute fiction en fait. La différence entre Psycho et Hellraiser, elle est dans les moyens et dans l'esthétique, pas forcément dans le fond de ce que ça engage chez le spectateur comme émotion.
[ Dernière édition du message le 15/01/2019 à 10:14:58 ]
Anonyme
edit : grilled bu trmax, qui a dit en mieux ce que je voulais dire. Suppression de compte.
[ Dernière édition du message le 15/01/2019 à 10:15:11 ]
W-Addict
Juger sur un trailer, c'est pas terrible. Combien de trailers sont actuellement fidèle au film ? Idem pour un JV.
Comment se délecter ? Hé bien je n'ai pas la réponse. Déviance ? Perversion ? P-e
J'avoue que jusqu'à mes 25 ans il m'était impossible de visionner un film d'horreur, ça me terrifiait.
Maintenant c'est un genre que j'apprécie, et j'aime me sentir frissonner.
Ce que je peux concevoir c'est qu'on puisse être dégoûté de cette fascination du macabre si on a déjà été spectateur ou acteur IRL de ce que l'espèce humaine peut faire de plus dégueulasse.
Anonyme
J'avoue que jusqu'à mes 25 ans il m'était impossible de visionner un film d'horreur, ça me terrifiait.
Silverfish Imperatrix
Juger sur un trailer, c'est pas terrible. Combien de trailers sont actuellement fidèle au film ?
Là tu as quand même un trailer de 3 minutes qui te raconte le film chronologiquement....tout l'inverse d'un teaser.
Mon thread sur le jazz, principalement bop et post bop:
oryjen
J'ajouterais volontiers que la surcharge crée la distance, voire potentiellement le comique si on a la fibre esthétique un rien sophistiquée.
Raison pour laquelle Scarface par exemple me fout vraiment les boules, tandis que je peux à la limite regarder Massacre à la Tronçonneuse comme un pur objet artistique.
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L'artiste entrouvre une fenêtre sur le réel; le "réaliste pragmatique" s'éclaire donc avec une vessie.
[ Dernière édition du message le 15/01/2019 à 10:27:54 ]
greggreg
De plus, difficile sans pince-nez de ne pas être incommodée par l'odeur implicite que dégage cet ensemble de petits massacres entre nègres...
Le réalisateur est noir et son 1er film "get out" était un film d'horreur avec pour thème le racisme aux usa et la condition des noirs. Perso j'avais moyennement aimé mais ce mélange des genres périlleux était assez réussi.
M'étonnerait pas qu'on retrouve ce thème dans le 2ème film.
En écrivant et repensant au trailer je me dis que le film parle peut-être du fait que les 1ere victime de la violence dans les quartiers noirs sont les noirs eux-même.
oryjen
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L'artiste entrouvre une fenêtre sur le réel; le "réaliste pragmatique" s'éclaire donc avec une vessie.
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