< Retour vers le Pub des sports et loisirs

Agrandir

Actu

Articles

Médias 176 176

Tutoriels

Forums 22 22

Sujet Derniers films vus

58 759 réponses
694 participants
1 938 597 vues
561 followers

fairbec

2248

AFicionado·a

Membre depuis 21 ans

Sujet de la discussion Posté le 05/10/2003 à 19:14:46

Pour ma part ce w-e, c'est 'les invasions barbares' (d. arcand) et 'goodbye lenin!' (w. becker)

Le permier est tout simplement exceptionnel : une richesse de dialogues exceptionnelle et une construction à l'americaine. marque de fabrique canadienne?

Le second aurait pu etre tres bon s'il etait sorti avant Amélie...

Afficher le sujet de la discussion

Mister H-Pi

1816

AFicionado·a

Membre depuis 21 ans

6011 Posté le 07/03/2005 à 23:53:09

Je fais un pti Edit sur le film Ray!

Même s'il FAUT aller le voir, je me permets quelques remarques!

- Je trouve qu'on ne parle pas assez de musique dans ce film, et j'aurais souhaité qu'ils développent la partie "apprentissage" de la musique.... La c'est tout de suite le génie...

- Réalisation un peu pompeuse.

- ca fictionne un peu trop et ca fait un peu auto-pub, narcissique.
Le fait que Ray lui même ait participé à l'élaboration du film se ressent
On nous le monte sur un piedestal en argent.
Certes musicalement Ray Charles était génial (et je dirais jamais le contraire) mais on ne montre pas qu'il était humainement exécrable, prétentieux, etc... (dixit des gens qui ont eu l'occaz de bosser ou jouer avec lui)
bref, Attention c'est pas un docu!

Ca reste un excellent film!

Mon site, Ma Zic : www.hpisound.com

Mister H-Pi

1816

AFicionado·a

Membre depuis 21 ans

6012 Posté le 08/03/2005 à 00:14:33

Libération du 25.02.02) "Or les producteurs ont beau clamer partout qu'ils possédaient l'aval de leur sujet (avant de mourir, disent-ils, Ray Charles a vu le film sic et l'a adoré), l'histoire que conte Ray n'est qu'une suite de bidonnages, d'impasses et de contre-vérités. A commencer par la plus criante : cette pseudo-culpabilité habitant perpétuellement le chanteur depuis la mort de son cadet, George (il avait 4 ans, Ray un de plus), noyé, non pas dans une bassine mais dans un tonneau, malgré les efforts déployés par son aîné pour le sortir de là. Jamais, de son propre aveu («Etant môme, c'est juste une chose qui m'est arrivée», dira-t-il), Ray ne s'est senti responsable de l'accident. Sauf chez Hackford, où, il en devient même aveugle quelques séquences plus tard. Raccourci inconvenant, psychologie de bazar. Le reste est à l'avenant. Ray Charles n'a pas été élevé par sa seule mère, Aretha, mais aussi par Mary-Jane, la femme de son père Bailey Robinson. Il n'a pas été déniaisé jeune homme par une patronne de honky-tonk à Seattle, mais à l'âge de 12 ans dans les toilettes d'une station-service. Et, quand il a rencontré Della Bea, présentée ici comme sa seule épouse officielle (le divorce afférent étant occulté), il avait été déjà marié une fois (avec Eileen), après avoir eu une fille (Evelyn née en 1950) avec Louise, sa petite amie de Tampa. Bref, en marge de son parcours musical exceptionnel, le vrai Ray Charles, pianiste (et saxophoniste) fabuleux, était chaud lapin («J'ai un enfant de Louise, un de Margie Hendrix, trois de Bea, et j'en ai eu aussi... quatre autres», dit son autobiographie le Blues dans la peau), businessman avisé («J'ai toujours été dans ce métier pour l'argent», assurait-il), et fut plusieurs fois embastillé pour consommation d'héroïne. Ray, dont la devise eût donc pu être : «sexe, drogue et soul music», n'avait ainsi rien du personnage hanté, en quête de salut, honteusement aseptisé ici par son navet hollywoodien. Qui ne lui épargnera même pas les scènes de désintérêt au bras d'or, aussi lourdingues que saugrenues, concernant un homme qui confiait avoir eu plus de mal à arrêter la clope que l'héroïne. «J'ai entendu des histoires de mecs complètement accros, à en mordre les draps et à faire des trucs un peu sonnés. Je n'ai jamais connu ce côté-là», écrit-il, toujours dans le Blues dans la peau. Côté «profilage», ça ne vaut guère mieux. Quincy Jones est un benêt, Gossie McKee un escroc, David «Fathead» Newman un junkie, Margie Hendricks une ivrognesse. Dont une scène, qui se voudrait réaliste, montre Ray Charles exploiter la fureur (elle vient de lui annoncer qu'elle est enceinte) pour achever Hit The Road Jack. Faux et archifaux ; c'est un air de Percy Mayfield."

Mon site, Ma Zic : www.hpisound.com

Will Zégal

74381

Will Zégal

Membre depuis 22 ans

6013 Posté le 08/03/2005 à 02:16:15

Citation : Je suis hermétique a Kubrick je crois, il parait que c'etait un grand artiste... moi j ai jamais pu saquer un de ses films.

T'as vu "les sentier de la gloire", "Barry Lyndon" et "Full Metal Jacket" ?

Moi qui suis un grand fan de Kubrick, je trouve que les autres ont mal vieilli. (Pas vu Eyes Wide shot et pas trop tenté).

Mais ces trois là : :aime:

>>>>>>> La fabrique du crétin digital ? <<<<<<<<<

======== Peut-on planer sous terre ? =========

===== des drones et des leds pas vilaines ======

Anonyme

521410

6014 Posté le 08/03/2005 à 09:37:01

Pourquoi pas tenté Billy,à cause des teaser?

C'est un beau film pourtant, ou l'amour sort vainqueur lol.

Jules Joffrin

22971

Vie après AF ?

Membre depuis 20 ans

6015 Posté le 08/03/2005 à 10:27:42

Hors sujet : Dom, mouais, il m'en faut une avec un rack externe, parce que pour les branchements, vu l'exiguïté de ma chambre, ça va pas être simple...

https://lucasparax.bandcamp.com

https://disquesobscurs.fr/

Dom Janvier

25841

Vie après AF ?

Membre depuis 21 ans

6016 Posté le 08/03/2005 à 10:37:53

Hors sujet :

Citation : il m'en faut une avec un rack externe, parce que pour les branchements, vu l'exiguïté de ma chambre, ça va pas être simple...