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Derniers films vus

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Sujet de la discussion Derniers films vus
Pour ma part ce w-e, c'est 'les invasions barbares' (d. arcand) et 'goodbye lenin!' (w. becker)

Le permier est tout simplement exceptionnel : une richesse de dialogues exceptionnelle et une construction à l'americaine. marque de fabrique canadienne?

Le second aurait pu etre tres bon s'il etait sorti avant Amélie...
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60291
Curieux de lire ce que tu en auras pensé.

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[ Dernière édition du message le 19/08/2025 à 21:46:37 ]

60292
Ah tiens, connais pas, il vient de sortir apparemment.

Citation de titipol :
J'adore les films de mordeurs :mrg:


Même ceux qui ont du caca sur le figure ? :mrg:

Putain Walter mais qu'est-ce que le Vietnam vient foutre là-dedans ?

60293
Vu Don’t come knocking de Wim Wenders (2005).
Howard, acteur de western, quitte un tournage et retourne chez sa mère qui lui apprend l’existence d’un fils dont il ignorait l’existence. Il décide de partir à sa rencontre.
Un scénario simple, mais la force de ce film est dans sa réalisation ou l’on retrouve la photographie de Paris Texas. D’ailleurs le film s’ouvre sur les grands espaces de l’ouest, et l’acteur principal Sam Shepard est co-scenariste, comme pour Paris Texas.
Outre Sam Shepard, il y a un beau casting : Tim Roth, Jessica Lange (King Kong) et Eva Marie Saint (La mort aux trousses).
La bande son s’accorde très bien avec le film.
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60294
Re-re-revu "les ailes du désir" de Wim.Wenders (sur arte).

Citation :
Ce onzième long métrage du cinéaste allemand est un conte allégorique narrant l'incarnation d'un ange qui renonce au Ciel par amour pour une femme. Il se déroule dans un Berlin divisé où des êtres invisibles et bienveillants donnent à entendre les monologues intérieurs des humains confessant leurs angoisses et aspirations. Leur quête d'identité est ponctuée par un récitatif reprenant en leitmotiv un poème de Peter Handke sur l'enfance perdue et retrouvée. Éclairé par Henri Alekan, le film est tourné pour moitié en noir et blanc dans une atmosphère mélancolique et fluide, procédé choisi pour représenter le monde insensible tel que le voient les anges. La couleur intervient dans un changement de rythme, rock, au début de la seconde et dernière partie, quand le désir humanise l'ange.


Toujours aussi bon, toujours aussi beau. (photo Henri Alekan, celui de "la belle et la bête" de Cocteau), toujours aussi fort. Quand on sait en plus (ce que je viens d'apprendre) que le film a été un "petit" projet "vite fait", Wim ayant absolument besoin de réaliser un truc car il avait passé trop de temps sur son grand projet "jusqu'au bout du monde" et que sa structure de production risquait de couler. C'est aussi pour ça qui a laissé une large place à l'improvisation des acteurs et actrice.
Ces derniers et dernière sont d'ailleurs impeccables : Bruno Ganz dans le rôle principal en ange qui en a marre d'observer et qui veut vivre les sensations de la vie humaine, fût-ce au prix de la mort, Otto Sander en ange bienveillant et pourtant détaché, Peter Falk égal à lui-même et enfin la lumineuse Solveig Dommartin dont je me suis toujours étonné qu'elle ne fasse pas une carrière plus éclatante.

5 plumes d'ange/5

Vu hier soir au ciné "l'épreuve du feu", premier long métrage de Aurélien Peyre.
On a un jeune homme qui vient tous les ans passer des vacances sur une île de l'Atlantique, entre son pote rebeu qui entretient des maisons, mais vit sur le continent et une bande de parisiens bourgeois dont il fut le pote-souffre-douleur : alors gros, ils se moquaient beaucoup de lui.
Devenu beau gosse à force de sport forcené, il vient pour la première fois avec une copine, une truculente esthéticienne, récente parisienne originaire de Toulon.
On est entre Romer pour les maladresses des amours adolescentes et "le goût des autres" pour le choc des classes sociales, plus je ne sais plus quel film pour la manipulation.
Contrairement à ce que pourrait laisser penser ma description, le film échappe au manichéisme. Je l'ai au contraire trouvé assez subtil.
C'est très bien joué (tous les rôles), très bien réalisé et très bien écrit.
Bref, pas un grand film, mais un premier film très réussi, agréable, souvent drôle , émouvant et donnant à penser.
4 extensions d'ongles sur 5
60295
Citation :
Citation de titipol :
J'adore les films de mordeurs :mrg:

Même ceux qui ont du caca sur le figure ? :mrg:


Oui bien sur voir même plus encore !!:mrg:
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:ptdr:

60296
Titipol, tu as vu The Human Centipede ?
Dans le genre film de taré il paraît qu’il est en bonne place.

[ Dernière édition du message le 20/08/2025 à 12:54:33 ]

60297
Haha, celui la non .
Pas vu l'intérêt, il y a des mordeurs ?
Par contre j'ai celui la :facepalm:

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:mdr:
60298
Revu Buena Vista Social Club de Wim W.
Toujours émouvant ce film
Vu au Balzac à Paris à sa sortie, c'est le film qui m'a donné envie d'aller voir Cuba.

Ce film est tellement chargé de souvenirs pour moi que j'en avais la larmichette 😊

Putain, 22 ans que je traine sur AF : tout ce temps où j'aurais pu faire de la musique !  :-( :-)

60299
The Sadness est bien dégueu et pervers !

Zombie Ass connais pas mais ça vend du rêve :mrg:

Putain Walter mais qu'est-ce que le Vietnam vient foutre là-dedans ?

60300
:mrg: