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Derniers films vus

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Sujet de la discussion Derniers films vus
Pour ma part ce w-e, c'est 'les invasions barbares' (d. arcand) et 'goodbye lenin!' (w. becker)

Le permier est tout simplement exceptionnel : une richesse de dialogues exceptionnelle et une construction à l'americaine. marque de fabrique canadienne?

Le second aurait pu etre tres bon s'il etait sorti avant Amélie...
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21276
Un petit dessin vaut mieux qu'un long discours pourtant
21277
Sans doute, mais ton dessin veut dire quoi au juste ? Peux-tu m'expliquer ?
21278

Citation : Tu parles de qui là ? De moi ?


Pas moi, la personne que j'ai citée.

Citation :
Le scénario ? Mais cette histoire blah blah


Un thème général ne résume pas le scénario, ou plutôt si mais non. C'est clair là ?
Je disais donc que le déroulement du scénario est plat, morne etc.
Reprend donc ton "scénario", la question de l'identité coincée blah blah, c'est aussi le scénario dans ce cas de la nuit nous appartient. Pourtant, là, pas de soucis de construction. Même si il n'y a pas de profondes surprises, on est plus éloigné du convenu que dans Wall Street.

Pour la question de Stone, je n'ai pas vu tous ses films et de ceux que j'ai vus, j'en apprécie autant que j'en trouve très moyens. Ma préférence va à Salvador et JFK.
21279
Le "goût" ne tombe pas du ciel, ni ne vient de je ne sais quelle nature.
Il est TOUJOURS le produit d'une éducation.
Goûts de masse, peu élaborés, peu nuancés = éducation de masse, évidemment...
Si nos politicards s'entredéchirent au sujet des média (budgets, comités de surveillance (qui surveille qui, là est le truc!)), c'est pas pour des prunes.

Je vous laisse trouver la fin...

Donc notre ami qui souhaite éduquer le peuple, etc...est pétri de bonnes intentions, mais si la culture populaire est dans cet état-là, ce n'est pas faute d'éducation; c'est juste que le créneau est déjà pris. :??:

Tu peux faire ton prêche, qui n'est pas mauvais au fond, tu ne toucheras que les imperméables à la Kulture déversée en permanance à pleins seaux, les réfractaires..;
Il en existe quelques-uns, ils sont le caillou dans la chaussure des petits démiurges de mes fesses élus au suffrage universel (gardons-nous bien de l'oublier). Cette imperméabilité, ils ne l'ont probablement pas acquise...ça prend pas sur eux...allez savoir pourquoi...
Ils peuvent faire de chouettes petits réseaux, car ils sont souvent de bonne compagnie.
Si vraiment la Kulture de masse te débecte, et si tu finis par saisir un jour l'extraordinaire épaisseur des murs transparents que l'on dresse autour de nous, tu finiras par les rencontrer, et tu verras qu'on peut être heureux au sein d'un petit groupe, même si l'on n'a pas réussi à sauver le monde... :clin:

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L'artiste entrouvre une fenêtre sur le réel; le "réaliste pragmatique" s'éclaire donc avec une vessie.

21280

Citation : Il est TOUJOURS le produit d'une éducation.


Je suis bien sûr d'accord, mais le terme éducation laisse à penser que c'est le fruit d'une action volontaire, une finalité, donc avec la notion de conscience en filigrane. Que ce soit endogène ou exogène. Et je ne crois pas que ce soit aussi simple, que tu puisses attribuer aussi aisément une volonté derrière la construction des goûts.

Tu fais le lien avec le monde politique, dans la lignée thématique qu'une certaine personne appelait "la lutte pour le monopole de la représentation légitime du monde social". Si dans l'absolu, je ne suis pas vraiment en désaccord avec toi, je crois que tu attribues au monde politique une posture manipulatrice vis-à-vis de la "culture" qui est encore une fois un peu trop volontariste pour moi. Tu sembles les penser - comme ce que j'ai dit plus haut - totalement conscients de ce qu'ils peuvent provoquer, oubliant selon moi que bcp de choses peuvent ne résulter que de la simple croyance en ce qu'ils font comme fondé. Je ne crois pas à un recul suffisant qui leur permettrait d'être parfaitement maitres de ce qu'ils produisent (et que nous produisons aussi).
Bref, le diagnostique me va mais pas l'explication causale.

Je reste persuadé que tu pourrais changer tout ce que tu veux dans le fonctionnement sociétal que les diverses formes de jeux de concurrence sur la validité du culturel (puisqu'on parle de ça là, mais ça vaut pour tout) resterait identique. Surtout parce que la construction de l'identité, dont la définition et l'affirmation des goûts, l'établissement des préférences font largement partie, ne changerait pas fondamentalement pour autant. Et la différenciation de soi face à l'autre, la prise de position dans le monde par ce que l'on est ou pense être resterait identique. On prend de toute manière position par rapport à d'autres, avec ou contre. Tu vois la suite...

De plus, c'est mon sentiment, mais en te plaçant dans la posture inverse de celle de ceux que tu critiques, tu suis les mêmes travers, d'un côté tu t'en crois différencié parce que les principes qui caractérisent ta posture s'opposent aux leurs, mais d'un autre côté tu sembles penser toi aussi qu'il y a une voie plus légitime qu'une autre, ou plutôt, que toutes les autres (pour éviter de tomber dans trop de relativisme).
C'est le paradoxe du (trop) convaincu.

Bref, j'vais au pieu. Ca m'évitera de dire des conneries.
21281
Bon, Carotte, je t'aime bien mais on ne va pas remettre ça! :mrg:
Si?
:cobra:

Je ne saurais affirmer que les média aient été pensés au tout début comme le grand pacificateur des foules qu'ils sont devenus.
Le fait est qu'au début, les journaux étaient plutôt le fait de contestataires, mais ils furent d'ores et déjà constitués comme propagateurs d'idées, de courants, et outils de persuasion.
Je crois que l'occasion était trop belle pour le politique...
Sachant que toute subversion (maîtrisée, c'est-à-dire marginale) contribue à légitimer le système qu'elle prétend combattre, etc...

Citation : Je reste persuadé que tu pourrais changer tout ce que tu veux dans le fonctionnement sociétal que les diverses formes de jeux de concurrence sur la validité du culturel (puisqu'on parle de ça là, mais ça vaut pour tout) resterait identique


Je ne crois pas. Pour les sociétés à taille humaine, composées de gens qui se fréquentent réellement, quotidiennement, la validité du culturel ne fait ni question ni débat. Elle se perd dans la nuit des temps, procède de l'existence même du monde, émane souvent d'un principe supérieur, et englobe d'office tout nouvel arrivant.

Citation : Surtout parce que la construction de l'identité, dont la définition et l'affirmation des goûts, l'établissement des préférences font largement partie, ne changerait pas fondamentalement pour autant. Et la différenciation de soi face à l'autre, la prise de position dans le monde par ce que l'on est ou pense être resterait identique. On prend de toute manière position par rapport à d'autres, avec ou contre.


Ce n'est pas non plus automatique. Cette question cruciale de l'identité dans les sociétés "développées" procède essentiellement du hiatus entre d'une part les aspirations sociales fondamentales de l'humain, dont il attend un cadre, un motif d'implication concrète, une "confraternité", disons, et d'autre part le vide sidéral que lui propose en lieu et place ce modèle "développé", qui a sans doute trop joué à relativiser ses propres fondements...
L'humain intégré à une société à taille humaine n'a pas besoin de "prendre position dans le monde", puisque l'existence de cette société et celle du monde font système, indéfectiblement. Comme la petite société (à taille humaine) de ce forum est indéfectiblement liée à, et procède du réseau informatique etc..etc...Tu n'as pas besoin de prendre position par rapport au réseau: tu es dedans et il conditionne ton existence (au moins sur ce plan-là).
C'est vrai que chez les divorcés-du-monde, divorcés-des-choses que nous sommes pour la plupart, le monde pose question, il est sujet à "positionnement", etc...
Mais ce n'est pas constitutif de ce que l'on pourrait appeler (avec beaucoup de prudence) la "nature humaine". C'est juste que nous voici arrivés à la limite d'extension de l'élastique sur lequel on avait cru pouvoir tirer indéfiniment. A présent, soit il tire trop fort, on le lâche, et on le prend dans le blair, soit il casse et on le prend dans le tarin.

Carotte, on va se faire gronder... :oops2:

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L'artiste entrouvre une fenêtre sur le réel; le "réaliste pragmatique" s'éclaire donc avec une vessie.

21282

Citation : Regarde le nombre de gens qui aime johnny hallyday ou cali ou diams ou vincent delerm. Tu trouves ça normal ?



Ouaip fin j'veux bien, toussa hein, mais a la fin chacun ses goûts quand même, puis toi t'écoutes aussi de la bonne grosse daubasse...

(moi aussi hein).

"Don't mind your make-up, you'd better make your mind up." - FZ

21283
Ouais ouais d'accord azzy...

agentcarotte->

Citation : Reprend donc ton "scénario", la question de l'identité coincée blah blah, c'est aussi le scénario dans ce cas de la nuit nous appartient.



Carotte, je pense que tu as plus de facilités à analyser une situation sociétale qu'un simple film. Il n'est nullement question d'une recherche du lien paternel dans la nuit nous appartient. Moi je vois deux frères et un père. Quel est le lien thématique avec Wall Street ?

Citation : Pourtant, là, pas de soucis de construction. Même si il n'y a pas de profondes surprises, on est plus éloigné du convenu que dans Wall Street.



C'est normal, d'un côté, nous avons un film qui se situe dans le monde de la finance. Que je sache, les forces en présence ne s'éliminent pas par armes à feu, plutôt par OPA sauvages non ? Moins cinégénique certes, mais pas forcément moins excitant.

De l'autre côté, nous avons un polar. Ni plus ni moins. Genre archi-rebattu. Un cheminement somme toute classique en trois actes. Un polar quoi. Film pas génial en plus. Ce n'est pas Police Fédérale Los Angeles ou French Connection ou Zodiac ou l'Année du Dragon hein...

Des films qui nous plongent dans un monde bien plus destructeur, où un simple coup de fil mène à la ruine financière, sans doute mentale aussi, franchement, ça ne court pas les rues, non ? De ce point vue, Wall Street est un film passionnant.

A mon avis, ça fait longtemps que tu ne l'as pas revu. Tu ne t'en souviens pas bien. Je t'excuse.
21284
SHUT THE FUCK UP!!
21285

Citation : Quel est le lien thématique avec Wall Street ?


Il n'y en a pas vraiment. Sauf si je reprends ton raisonnement.

Citation : Le scénario ? Mais cette histoire est la même que Platoon mec. Un enfant perdu dans une jungle (vietnamienne, du monde de la finance) à la recherche de son identité, coincé entre l'influence de deux pères. C'est une histoire vieille comme le monde. Dire que ça a vieilli, c'est enfoncer une porte ouverte.



Le scénario ? Mais cette histoire est la même que Platoon mec. Un enfant perdu dans une jungle (nocturne, du monde de l'argent avant tout) à la recherche de son identité, coincé entre l'influence de deux univers, la famille et l'éthique, les relations et le business limite. C'est une histoire vieille comme le monde. Dire que ça a vieilli, c'est enfoncer une porte ouverte.

Citation : A mon avis, ça fait longtemps que tu ne l'as pas revu


A peu près six mois. Mais tu as toutefois raison, j'en garde pas énormément de souvenirs.

Oryjen> En fait, tu rêves d'un monde communautaire (et non communautariste. Une seule communauté globalisée). D'une "solidarité organique" à la Tönnies, chaque membre ayant sa propre place dégagée par la structure sociale et garantie également par les liens plus proches entre individus.
Ne pas avoir à se positionner mais l'être, la question du positionnement n'ayant plus lieu de se poser dans les consciences.
Ca me plait pas des masses. Je suis attaché à l'individualisme et je considère qu'il n'est pas incompatible avec un changement des mentalités permettant une refonte de nos sociétés à mi-chemin entre ce qu'elles sont aujourd'hui et une approche plus "humaniste", qui redonnerait plus de prises à chacun sur sa propre existence, cela consistant en premier lieu à donner à tous les armes permettant de comprendre à quel point l'idée du libre-arbitre que chacun pense avoir est grandement une illusion et leur permettre de repenser le monde qui est le nôtre, notamment la distribution des valeurs symboliques, par extension rendre possible une remise en cause de l'ordre établi. Etc.
Ensuite, advienne que pourra.
Egalement, je ne suis pas du tout opposé aux jeux de questionnement des symboliques (valeur, goût etc.) et cie, au contraire. La seule chose étant que la défense de symboliques ne perde jamais totalement de vue la subjectivité qui la caractérise. Justement pour que cela soit un "jeu", sans gros enjeux.

En fait, ce qui ne me plait pas dans ce qui me semble être ton idéal, c'est justement l'absence de possibilité de remise en question légitimée uniquement par le fait que la question de cette possibilité de remise en question ne se poserait simplement pas. Je sais, c'est paradoxal et proche du non-sens. Mais cela s'assimilerait pour moi à une sorte de régime totalitaire qui, portant d'une certaine manière sa justification en lui-même, se passerait des différentes formes de violences habituellement nécessaires à la soumission.
Mais c'est utopique comme souhait. Le mien également.

Quand aux médias, j'en ai pas une vision angélique hein, mais je reste sur l'idée que toutes les conséquences (bonnes comme mauvaises, quel que soit le point de vue sur ce bon ou mauvais) dépasse de très loin le prévisible, le voulu etc. Notamment parce que les médias ne sont pas un univers fermé. Ils sont tout autant sujets des choix de décideurs éditoriaux qui ont leur idée du monde, de ce qu'ils veulent dire ou non, de comment ils veulent orienter consciemment leurs actions. Ils sont aussi soumis à des impératifs économiques, eux-mêmes conditionnés aussi bien par le public que par le placement de la concurrence. Ceux-ci pouvant être eux-même conditionnés par l'ordre moral et la légalité. Par extension, par le religieux et les pressions communautaires. Eux-mêmes influencés par la place qui leur est faite dans la société, par l'importance numérique de leurs représentants. Ceux-là même étant dépendants de la place qu'ils occupent dans cette même société et la vision dont les autres en ont. Cela pouvant être lié aux placements des médias eux-mêmes dans leurs actes de connivence ou de résistance (les médias pouvant contribuer à renforcer les pressions contre lesquelles ils auront à faire face), d'une symbolique inscrite dans l'histoire etc.
J'ai pris un exemple pourri de chaine de déterminismes mais on pourrait en construire de plus crédibles et les connaissances et les moyens nécessaires.
21286
Mon cher carotte, 2 mises au point:
1èrement, j'aime bien ta réflexion au sujet de l'individu(je te suis jusqu'à ce que tu rajoutes "alisme", tous les "ismes" étant à bannir de mon point de vue: positions de principe, loin de la vie...), du libre-arbitre, etc...
Je la partage tout à fait.

2zièmement, je n'ai aucun idéal collectif. Ce qui ne m'empèche pas de constater certaines choses, évolutions, bienfaits et méfaits.
A mon avis tout idéal ne peut être qu'individuel, pour des raisons qu'on peut détailler, mais seulement longuement, donc on va essayer d'éviter ou alors en MP.
Et je pense aussi que tout réel "progrès" ne peut que relever aussi de la sphère individuelle.
Dans la sphère collective, on dirait bien, à un détail près dont je ne suis pas certain (donc je la ferme à ce sujet), qu'un clou chasse l'autre, et pas grand chose de mieux.

Citation : J'ai pris un exemple pourri de chaine de déterminismes


Non non non très bon exemple, très bien vu! Mais il ne faut pas oublier dans la chaîne la pincée de sel du regard tutélaire en provenance du politique, qui biaise (ou baise?) tout ceci. Car le politique a un plan, au niveau de sa réélection désirée, déjà, et sans doute aussi au-delà.
Quoi qu'il en soit, il ne souhaite pas abîmer le bel outil, qui pourrait resservir (le larron) à l'occasion.

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L'artiste entrouvre une fenêtre sur le réel; le "réaliste pragmatique" s'éclaire donc avec une vessie.

21287

Citation : Et je pense aussi que tout réel "progrès" ne peut que relever aussi de la sphère individuelle.
Dans la sphère collective, on dirait bien, à un détail près dont je ne suis pas certain (donc je la ferme à ce sujet), qu'un clou chasse l'autre, et pas grand chose de mieux.


Yep.
21288
Ha t'es là... :coucou:
Edit croisé plus haut... :clin:

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L'artiste entrouvre une fenêtre sur le réel; le "réaliste pragmatique" s'éclaire donc avec une vessie.

21289
L'armée des douze singes, je l'avais toujours pas vu, il est génial, quelques scènes un peu longues au début, mais sinon :aime:
21290

Citation : L'armée des douze singes, je l'avais toujours pas vu, il est génial


point


:mrg:
21291
C'est du très bon Terry Gilliam :bravo:
21292
Ça vaut pas les 12 salopards... :oops2: :lol:
"On ne se fait sauter la cervelle que par impuissance à faire sauter le monde" G. Matzneff
21293
C'est vrai qu'il est bon aussi, dans un autre registre.

Sinon Zardoz de John Boorman (1974, avec Sean Connery), vraiment très étrange, un univers assez délirant.. Pas trop mal dans l'ensemble.
21294
Basic Instinct 2

Un peu décevant par rapport au premier, mais c'était prévisible.

Les acteurs y sont très bons, surtout Sharon Stone (pourtant, 14 ans après le premier, je m'attendais à une grosse déception de ce côté là, mais là il faut avouer qu'elle vire des fois un peu vers la provocation brute, en y perdant un peu de sensualité).

Mais au niveau du scénar, je trouve la fin décevante, à la limite du "vite-fait bien-fait", l'idée est bonne mais je trouve que ça déboule un peu n'importe comment.

Ce deuxième opus est plus axé sur les effets de surprise etc, et perd pas mal de profondeur par rapport au premier.

Mais au final ce n'est pas un mauvais film, il est bien tourné et on ne s'y ennuie pas.

"Don't mind your make-up, you'd better make your mind up." - FZ

21295
Hancock, début sympa, mais alors le reste... Je déconseille.
21296
L'Antre de la folie de Carpenter, un bon p'tit film d'horreur comme on en fait plu, avec des effets spéciaux manuels plutôt sympa pour l'époque, autre chose que ces merdes numériques à la Spielberg :oops2:
21297
Hot fuzz, ou quand Tarantino s'occupe du remake anglais de Bienvenu chez les ch'ti!

Vraiment à voir. Le scénario ne vaut pas un Crime, Arnaque..., mais quand même. Avec du gros clin d'œil dedans à l'image des superflics des séries ou des films, complètement décalé.
21298
Je trouve pas que Hot Fuzz soit comparable avec Arnaque crime et botanique, c'est pas le même registre, j'ai adoré moi aussi..
21299
Moi j'ai préféré Shawn of the Dead, mais hot fuzz est bien sympa quand meme
21300
La clef de Guillaume Nicloux

Canet joue pas trop mal, même si on le voit difficilement dans un rôle "grave".
Le film part d'un bon scénar mais c'est mal ficelé et bancale. Ca donne une impression de pas fini quoi. Bon et Vanessa Paradis elle sert à rien, il faut le dire.
Ouais donc ça se laisse regarder mais c'est pas du grand thriller