Qu'est ce qui vous fait plaisir automatiquement?
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pgirardot

je commence ?
- trouver un riff qui sonne térrible
- une jolie demoiselle qui te fait un sourire ds le métro...
- se faire une bonne déspé losrk'il fait bien chaud...
- se réveiller à coté de celle (celui) k'on aime
- être vendredi soir
voilou

kosmix

Les boulons étaient grippés ou simplement trop serrés ? Étonnant que la manivelle se torde, vraiment de la camelote.
Sinon les crics à manivelle ça marche très bien aussi, ça demande juste un peu d'efforts.
Putain Walter mais qu'est-ce que le Vietnam vient foutre là-dedans ?

Will Zégal

Et s'il n'y en a pas, pourquoi ne pas en monter un ?
Il suffit d'avoir un lieu pour se retrouver, éventuellement une petite sono et zouuh !

Will Zégal

C'était un répertoire européen de pratiquants de l'improvisation libre.

sonicsnap


Kibutz

Soumettre un morceau au producteur du film, duquel tu as emprunté un long sample, pour lui demander l'autorisation de publication et que le gars te réponde qu'il a aimé le track et qu'il t'autorises à le publier le tout sans te demander de contrepartie.

sonicsnap


Will Zégal

Will > Combien êtes vous dans cet atelier d'impro? Jusqu'à combien de personnes peut-on aller et que ça reste gérable?
Dans le collectif,on est maintenant une bonne trentaine d'actifs. Il y a 64 inscrits sur notre Discord, mais tous ne sont pas actifs loin de là. Il y a une partie des gens qui sont venus à un moment et ne viennent plus, pour différentes raisons (déménagement, disponibilité...)
Sur la trentaine, il y a en a une bonne quinzaine qui sont vraiment réguliers, c'est à dire qui viennent au moins une fois par mois à un atelier ou une représentation publique.
A chaque fois, on limite au maximum à 8 personnes. Au delà, ça devient compliqué. Mais ça dépend de beaucoup de paramètres. On s'est retrouvés une fois à 11 avec deux nouveaux et ça s'est remarquablement bien passé. Cela dépend en partie des participant·e·s : certain·e·s arrivent à laisser beaucoup d'espace aux autres, notamment quand on est nombreux tandis que d'autres sont un peu plus envahissants.
Sur certaines représentations, on limite à 5. Par exemple dans les petits lieux où la place est limitée ou les conditions d'écoute un peu difficiles.
On fait parfois des interventions dans des établissements scolaires, des EPAD... Là, ça peut être à 2 ou 3 parce que les conditions ne rendent pas évidentes d'amener une sono, de faire une balance, etc.

sonicsnap

[ Dernière édition du message le 22/03/2024 à 17:59:19 ]

Will Zégal

(les autres sont ou étaient des musiciens, mais désormais affublés d'un handicap qui les met presque au niveau des autres)
Ce qu'il faut, c'est de l'écoute. ça, ça demande surtout de la culture musicale. Mais on peut très bien participer en faisant des choses très simples et peu de choses.
Parfois, une seule note jouée au bon moment apporte quelque chose de vraiment significatif.
Et puis, les ateliers sont justement là pour travailler l'impro. On voit d'ailleurs souvent la différence quand on est principalement entre vieux de la vieille et quand il y a beaucoup de nioubs.
D'ailleurs, je ne dis pas que mes handicapés pourraient donner un concert qui intéresserait un public comme peuvent le faire les musiciens du collectif. Par contre, ils s'éclatent et, si c'est souvent le bordel au début (surtout que les effectifs changent pas mal d'une fois sur l'autre), chaque fin de séance donne des choses quand même musicalement intéressantes.

sonicsnap


*Seed*

Sysex and sun

sonicsnap


Will Zégal

C'est vrai que j'imaginais les impros comme des gens prenant tour à tour des chorus sur une progression d'accords donnée
Ça c'est de l'impro jazz.
Nous on pratique l'improvisation libre.
Le principe de l'improvisation libre, c'est que tout le monde improvise en même temps.
Généralement, on part sans gamme, tonalité, tempo ou style préconçu. Ça se construit au fil de l'impro. Mais on est aussi libre de tout péter et d'emmener les autres dans une autre direction... s'ils nous suivent.
Chacun peut prendre le lead a tout moment. Quelque fois, ce sont 2 participants qui vont le prendre et dialoguer un moment dans un environnement sonore créé par les autres. Mais il peut aussi n'y avoir aucun lead, juste un ensemble qui crée une texture sonore plus ou moins mouvante.
On peut aussi se donner des cadres, des contraintes, définir un terrain de jeu.

sonicsnap

Généralement, on part sans gamme, tonalité, tempo ou style préconçu.
Bien! Mais ne faut-il pas dans tous les cas que quelqu'un propose une grille d'accords ou une ligne de basse pour lancer l'impro, même si ceux-ci peuvent évoluer dans le cours de l'action?
Quoiqu'il en soit, c'est sûr que c'est sans aucun doute très exaltant pour ce qui est de l'osmose et de la communion entre participants.
[ Dernière édition du message le 23/03/2024 à 11:46:17 ]

Rahar


"La musique existe pour ceux qui ne savent pas s'exprimer avec des mots."
Chanteuse au sein de Grapehill et Alter Ego 60 - Autrice de poèmes et de nouvelles.
[ Dernière édition du message le 24/03/2024 à 07:45:36 ]

sonicsnap


Pretextat



Will Zégal


Bien! Mais ne faut-il pas dans tous les cas que quelqu'un propose une grille d'accords ou une ligne de basse pour lancer l'impro, même si ceux-ci peuvent évoluer dans le cours de l'action?
Non. L'harmonie va se construire au fur et à mesure.

sonicsnap



Môssieur Jean


Will Zégal

Pour être un grand auditeur de Zorn, un morceau de Zorn joué par des formations différentes, tu le reconnais.
En impro libre, il n'y a pas de morceau. Mais il peut à la rigueur y en avoir (on peut très bien prévoir des mouvements ou partie, une ou des tonalités...). Tu peux écouter un même "morceau" joué deux fois par les mêmes musiciens et ne pas le reconnaître.

Môssieur Jean

[ Dernière édition du message le 25/03/2024 à 20:00:25 ]

sonicsnap


Môssieur Jean

[ Dernière édition du message le 26/03/2024 à 09:20:05 ]

*Seed*

Sysex and sun
[ Dernière édition du message le 26/03/2024 à 10:44:50 ]
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