Xavier Belmoufles chouettes coucous land

Le machin à effet de sol vole à ras du sol pour gagner de la portance (une histoire que l'air qu'est sous l'aile, au lieu de s'en aller, est bloquer par le sol, donc la pression augmente sous l'aile, donc la portance augmente).

Et le seul endroit où tu peux trouver un sol plat sans obstacle, ben c'est dans la mer ! (et peut être certains déserts ?)

Après, c'est pet utile, parce que dépenser des fortunes juste pour développer un Ferry ultrarapide, bof quoi.

(bien que, pour aller en Corse, Algérie, voir Irlande et UK, ça pourrait être fun !) (et ça éviterait de passer des heures dans le bateau)

Bon, truelle et duch signalent à juste titre qu'on avait déjà abordé le sujet (c'est ma faute, ma très grande faute etc.)

Autre chose: Il me semble qu'à une époque, on parlait beaucoup d'avions à géométrie variable, et maintenant, beaucoup moins.. Me trompé-je?

Voici un très joli Tupolev (probablement copié sur un modèle occidental, donc..):

A la couleur près, il me fait penser à l'avion de Carreidas dans "Vol 714 Pour Sydney". En plus gros, peut-être..

Ha! Carrément!! Ils se grattaient vraiment pas les soviétiques!!

En tous cas, ces deux tophs sont intéressantes puisqu'on voit le Tupolev avec les ailes ouvertes et le B1 avec les ailes serrées.. Je me demande si c'est encore d'actualité cette technologie??

Citation de : duch

Pas vraiment non, en fait il n'y a plus eu aucune mise en service d'appareil avec une voilure à géométrie variable depuis ces deux là (le B1-B et Tu-160). Tout ceux qui ont existé étaient des appareils militaires.

C'est oublier le Tornado, Tomcat F14, mig 23, et même le Mirage F1 G, mais c'est vrai qu'on ne doit pas mélanger les chasseurs aux bombardiers. En fait les B1 et Tu 160 ne sont plus d'actualité depuis l'apparition des missiles de croisière multi-têtes, capables d'apporter le feu nucléaire  plus rapidement qu'un appareil même bi-sonique, sans risquer la vie d'un pilote.

J'étais hier devant un éclaté du proto du Mirage G au musée de  Montélimar, une merveilleuse conception qui n'avait pas encore l'appui de l'électronique ( ou très peu) pour la gestion générale des variations de vitesses. L'ordinateur de bord était le pilote, avec la vitesse d'analyse en moins !