Qu'est-ce qui vous agace automatiquement au taf ?
- 14 329 réponses
- 198 participants
- 717 611 vues
- 133 followers
Afficher le sujet de la discussion
4€/h c'est plus de moitié moins que le Smic et absolument hors la loi!
Elle va aux prudhommes et c'est menottes/prison comme dirait Youtou.
Djardin
19834
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 19 ans
Javier Guante Hermoso
47326
Ma vie est un thread...
Membre depuis 19 ans
Dr Pouet
52037
Membre d’honneur
Membre depuis 20 ans
Anonyme
65640
JohnnyG
10274
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 15 ans
cyar
12259
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 18 ans
4€/h c'est plus de moitié moins que le Smic et absolument hors la loi!
Elle va aux prudhommes et c'est menottes/prison comme dirait Youtou.
Will Zégal
75114
Will Zégal
Membre depuis 22 ans
KoalaMan
19513
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 20 ans
Spawn-X
21535
Vie après AF ?
Membre depuis 19 ans
Aaaaaah y'avait longtemps que j'avais pas eu du croustillant à raconter sur ce topic...
Allez, je me lance parce que je suis, mais SUPER énervé ce soir...
Pour commencer, j'essplique le contexte...
Depuis octobre dernier, j'ai décroché un poste que j'adore. Je suis coordinateur et initiateur/chargé de projets pour le secteur ADOS d'un grosse MJC de ma ville. Une MJC située dans un quartier "politique de la ville". M'voyez le tableau.
Mon job consiste à développer le secteur ados, public largement volatile s'il en est, en proposant de nouvelles activités, des accueils collectifs de mineurs pendant les vacances et tout le toutim.
Alors ce qui suit n'est pas fait pour me jeter des fleurs, mais ça me semble nécessaire pour comprendre mon énervement de ce soir (d'ailleurs, va falloir que je me calme parce que je viens de passer 30 min à rédiger un mail cinglant et je viens de me rendre compte que j'ai une douleur dans la poitrine depuis quelques minutes...)
Donc, mon accession à ce trône s'est faite de manière assez inattendue. Après avoir perdu mon job, je me suis décidé à refaire mon BAFA jamais fini 20 ans plus tôt. Pour l'obtention de la partie pratique du BAFA, il me fallait un stage sur un centre aéré. C'est dans cette MJC que j'ai décroché ce stage de 15 jours à l'issue duquel, voyant mon implication et mes propositions d'animation, la direction a décidé de carrément créer un nouveau poste pour moi que j'ai bien entendu accepté avec joie et fierté.
Quelques semaines après ma prise de poste, un projet m'a été proposé. Un truc qu'on ne peut intégrer qu'une seule fois dans notre vie. Il s'agit du Projet DÉMOS, un "Dispositif d'Éducation Musicale et Orchestrale à vocation Sociale" qui consiste à permettre à 120 enfants par villes concernées d'apprendre gratuitement pendant 3 ans à jouer d'un instrument (lui aussi mis gratuitement à disposition) de musique classique en vue de monter un orchestre d'enfants issus de quartiers populaires qui n'auraient jamais eu la chance financière ou culturelle de rencontrer la musique.
Pour ceux qui ne connaissent pas, jetez un œil au projet El Sistema au Venezuela qui a servi de base au projet DÉMOS en France.
Bref, un truc génial qui va dans le bon sens pour promouvoir la culture sachant que les enfants qui décident à l'issue des 3 ans du projet de continuer la musique en s'inscrivant au conservatoire garderont de fait l'instrument qui leur a été confié dans le cadre du projet.
Bref, ma direction me propose naturellement de devenir le référent terrain de ce formidable projet, impliquant donc que je suis l'adulte référent des 15 enfants (pour notre ville, 8 centres participent au projet avec chacun 15 mômes de 7 à 12 ans) qui va donc non seulement les encadrer, mais aussi, au passage, apprendre à jouer du violon en m^m temps qu'eux.
J'adooooooorrrre!!!
Deux fois par semaine pendant les périodes scolaires, les 15 gamins viennent à la MJC suivre un cours sous forme d'atelier encadré par deux intervenants musiciens issus de l'orchestre national de notre ville, ou recrutés en externe par la coordination locale. Parfois, sur certains ateliers, un des deux intervenants musiciens est remplacé par un intervenant danse, ou chant. Certaines de ces recrues externes sont donc intermittents du spectacle.
Bref, vous avez le décorum.
Les enfants engagés dans le projet sont donc, vous l'aurez compris, des enfants souvent perdus, difficiles, sans repères tangibles, mais en m^m temps, très attachants et pour certains, doués pour la musique.
Certaines notions comme la rigueur, le respect du silence, l’assiduité, la ponctualité, etc, sont donc des notions toutes relatives pour eux sur lesquelles les intervenants récurrents et moi m^m travaillons énormément.
Ce soir, en pleine période de ramadan, j'étais très content d'obtenir un score de 13 gamins présents sur 15. Mais évidemment, sur les 13 présents, une bonne moitié pratique Ramadan et sont donc un peu éteints et certains se plaignent de maux de ventres avant m^m le début de la séance.
Pas grave, la séance prévue ce soir est justement une séance dédiée au chant, et à ce titre, je dois donc encadrer l'atelier en compagnie d'un des intervenants violonistes récurrents, ET d'une intervenante chant qui devait venir pour la première fois 15 jours plus tôt et qui n'est finalement jamais venue. Ce soir est donc sa première chez nous.
Je l'ai déjà rencontrée lors des divers tuttis qui réunissent régulièrement les 120 enfants dans les locaux de l'orchestre national durant les périodes de vacances. Mais hors de ce contexte, je n'ai jamais travaillé avec elle sur des ateliers avec seulement 15 enfants.
Bon, je m'abstiens donc de tout jugement à son égard sur sa compétence dont je n'ai vu que peu de choses lors de ses interventions sur les tuttis.
En revanche sur le plan humain, je sais déjà que je ne l'aime pas. Une bonne-femme d'environ 45 ou 50 ans mal foutue qui porte des jupes un poil trop courtes pour son âge, ça fait toujours un peu bizarre je dois admettre. Mais au delà de son apparence, c'est surtout ce que j'ai perçu de sa personnalité en public qui me pose problème. Mais bon, soit, je lui laisse le bénéfice du doute et après tout, si elle a été recrutée, c'est qu'à priori elle présente les qualités nécessaires pour être là.
Et ben putain!!! Comment j'aurais dû écouter ma petite voix intérieure!!!!
Ce soir, ce fût un festival!!!
Et pour conclure, le compte-rendu dont je devais me fendre dans la soirée par mail au reste de l'équipe, a été stoppé net à la lecture d'un mail transféré par l'intervenant violoniste de ce soir, mail auquel je n'ai pas pu m'abstenir de répondre en faisant copie à toute l'équipe y compris mon directeur.
Jugez plutôt:
___________________________________________
Non mais, la connasse!!!
Voici donc ma réponse:
Allez, je me lance parce que je suis, mais SUPER énervé ce soir...
Pour commencer, j'essplique le contexte...
Depuis octobre dernier, j'ai décroché un poste que j'adore. Je suis coordinateur et initiateur/chargé de projets pour le secteur ADOS d'un grosse MJC de ma ville. Une MJC située dans un quartier "politique de la ville". M'voyez le tableau.
Mon job consiste à développer le secteur ados, public largement volatile s'il en est, en proposant de nouvelles activités, des accueils collectifs de mineurs pendant les vacances et tout le toutim.
Alors ce qui suit n'est pas fait pour me jeter des fleurs, mais ça me semble nécessaire pour comprendre mon énervement de ce soir (d'ailleurs, va falloir que je me calme parce que je viens de passer 30 min à rédiger un mail cinglant et je viens de me rendre compte que j'ai une douleur dans la poitrine depuis quelques minutes...)
Donc, mon accession à ce trône s'est faite de manière assez inattendue. Après avoir perdu mon job, je me suis décidé à refaire mon BAFA jamais fini 20 ans plus tôt. Pour l'obtention de la partie pratique du BAFA, il me fallait un stage sur un centre aéré. C'est dans cette MJC que j'ai décroché ce stage de 15 jours à l'issue duquel, voyant mon implication et mes propositions d'animation, la direction a décidé de carrément créer un nouveau poste pour moi que j'ai bien entendu accepté avec joie et fierté.
Quelques semaines après ma prise de poste, un projet m'a été proposé. Un truc qu'on ne peut intégrer qu'une seule fois dans notre vie. Il s'agit du Projet DÉMOS, un "Dispositif d'Éducation Musicale et Orchestrale à vocation Sociale" qui consiste à permettre à 120 enfants par villes concernées d'apprendre gratuitement pendant 3 ans à jouer d'un instrument (lui aussi mis gratuitement à disposition) de musique classique en vue de monter un orchestre d'enfants issus de quartiers populaires qui n'auraient jamais eu la chance financière ou culturelle de rencontrer la musique.
Pour ceux qui ne connaissent pas, jetez un œil au projet El Sistema au Venezuela qui a servi de base au projet DÉMOS en France.
Bref, un truc génial qui va dans le bon sens pour promouvoir la culture sachant que les enfants qui décident à l'issue des 3 ans du projet de continuer la musique en s'inscrivant au conservatoire garderont de fait l'instrument qui leur a été confié dans le cadre du projet.
Bref, ma direction me propose naturellement de devenir le référent terrain de ce formidable projet, impliquant donc que je suis l'adulte référent des 15 enfants (pour notre ville, 8 centres participent au projet avec chacun 15 mômes de 7 à 12 ans) qui va donc non seulement les encadrer, mais aussi, au passage, apprendre à jouer du violon en m^m temps qu'eux.
J'adooooooorrrre!!!
Deux fois par semaine pendant les périodes scolaires, les 15 gamins viennent à la MJC suivre un cours sous forme d'atelier encadré par deux intervenants musiciens issus de l'orchestre national de notre ville, ou recrutés en externe par la coordination locale. Parfois, sur certains ateliers, un des deux intervenants musiciens est remplacé par un intervenant danse, ou chant. Certaines de ces recrues externes sont donc intermittents du spectacle.
Bref, vous avez le décorum.
Les enfants engagés dans le projet sont donc, vous l'aurez compris, des enfants souvent perdus, difficiles, sans repères tangibles, mais en m^m temps, très attachants et pour certains, doués pour la musique.
Certaines notions comme la rigueur, le respect du silence, l’assiduité, la ponctualité, etc, sont donc des notions toutes relatives pour eux sur lesquelles les intervenants récurrents et moi m^m travaillons énormément.
Ce soir, en pleine période de ramadan, j'étais très content d'obtenir un score de 13 gamins présents sur 15. Mais évidemment, sur les 13 présents, une bonne moitié pratique Ramadan et sont donc un peu éteints et certains se plaignent de maux de ventres avant m^m le début de la séance.
Pas grave, la séance prévue ce soir est justement une séance dédiée au chant, et à ce titre, je dois donc encadrer l'atelier en compagnie d'un des intervenants violonistes récurrents, ET d'une intervenante chant qui devait venir pour la première fois 15 jours plus tôt et qui n'est finalement jamais venue. Ce soir est donc sa première chez nous.
Je l'ai déjà rencontrée lors des divers tuttis qui réunissent régulièrement les 120 enfants dans les locaux de l'orchestre national durant les périodes de vacances. Mais hors de ce contexte, je n'ai jamais travaillé avec elle sur des ateliers avec seulement 15 enfants.
Bon, je m'abstiens donc de tout jugement à son égard sur sa compétence dont je n'ai vu que peu de choses lors de ses interventions sur les tuttis.
En revanche sur le plan humain, je sais déjà que je ne l'aime pas. Une bonne-femme d'environ 45 ou 50 ans mal foutue qui porte des jupes un poil trop courtes pour son âge, ça fait toujours un peu bizarre je dois admettre. Mais au delà de son apparence, c'est surtout ce que j'ai perçu de sa personnalité en public qui me pose problème. Mais bon, soit, je lui laisse le bénéfice du doute et après tout, si elle a été recrutée, c'est qu'à priori elle présente les qualités nécessaires pour être là.
Et ben putain!!! Comment j'aurais dû écouter ma petite voix intérieure!!!!
Ce soir, ce fût un festival!!!
Et pour conclure, le compte-rendu dont je devais me fendre dans la soirée par mail au reste de l'équipe, a été stoppé net à la lecture d'un mail transféré par l'intervenant violoniste de ce soir, mail auquel je n'ai pas pu m'abstenir de répondre en faisant copie à toute l'équipe y compris mon directeur.
Jugez plutôt:
___________________________________________
Citation de La :
Je vous souhaite une bonne réception
nb le ramadan n'est pas une excuse , car en bonne fille de musulman , je n ai pas connaissance d'une relation de "mauvaise tenue" /jeûne religieux
Si les enfants avaient un problème médical du à cette privation , il fallait annuler la séance
L’excuse du ramadan avancée par Spawn-X qui ne sait pas tenir son groupe est inacceptable
Cordialement
Non mais, la connasse!!!
Voici donc ma réponse:
Citation de Spawn-X :
Bonsoir à tous,
Je présente, d’avance mes excuses aux différents destinataires de ce mail qui, je l’espère, ne les importunera pas outre mesure, mais je suis dans le même temps persuadé qu’ils comprendront aisément mon énervement au regard de la situation.
Ce qui est ABSOLUMENT INACCEPTABLE, c’est le comportement d’une intervenante censée prendre la température d’un groupe, socialement fragile, auprès du référent social qui connait ces enfants ainsi que des autres intervenants réguliers.
Un poil de psychologie aurait permis dès le début de la séance de se rendre compte que certains enfants étaient dans un état de fatigue et de faiblesse qui ne justifiait ni de les rabrouer ni d’ignorer leur mots ni leurs maux. Ma responsabilité est d’abord et avant tout la sécurité physique, mais aussi morale des enfants et certainement pas la supposée mise en danger qu’implique un droit de retrait hypothétique invoqué par une adulte.
Pour information, je suis d’abord et avant tout musicien professionnel, formateur depuis plus de 20 ans (et lourdement formé pour cela), et accessoirement, gérant d’une école de musique ayant compté à son plus fort 120 élèves pour ma seule classe. Je n’ai jamais vu le moindre cours se dérouler aussi mal avec un si grave manque de préparation, pourtant, mes classes comportaient régulièrement 15 à 20 enfants et j’étais seul pour "les tenir"...
Si Tattidanielle avait pris le temps d’écouter ce que j’ai dit, elle n’aurait pas entendu CE QU’ELLE A SOUHAITÉ ENTENDRE, mais bel et bien une mise en garde sur le fait que le “léger brouhaha” qui a déclenché sa décision de partir était dû au fait qu’une enfant se sentait mal en raison de sa pratique religieuse et venait à l’instant de m’en faire part.
Qui plus est, le comportement des enfants ce soir était loin d’être si négatif que décrit. Avec les autres intervenants, nous travaillons d’arrache-pied depuis janvier dernier pour faire respecter quelques règles. Or, ce soir, elles étaient toutes respectées. Le bruit de fond constant dû au chaises grinçantes et au plancher craquant conjugué, il est vrai, à l’énergie participative des enfants est parfaitement normal. Nous ne sommes pas au conservatoire, les enfants de Tartampion découvrent ce monde, il serait judicieux de ne pas les en dégouter si l’on projette sur eux quelqu’espoirs de les voir pérenniser leur pratique musicale à l’issue des 3 années du projet.
Parlant de psychologie, il est inacceptable, en 2017, qu’un pédagogue ou supposé tel, puisse avoir recours au chantage avec ses élèves. Si le respect ne s’instaure pas de lui même, la cause n’est pas à chercher du côté des élèves. On irradie ce que l’on est, pas ce que l’on dit.
J’aurais pu admettre ce mail de mise en cause de ma propre personne s’il n’émanait pas d’une intervenante censée être présente 15 jours plus tôt alors que nous ne l’avons jamais vu ni Justine (une intervenante violoncelle de grande qualité pédagogique dont j'ai évidemment changé le prénom pour les besoins de ce topic) ni moi ce jour là sans, ensuite, avoir la moindre explication ni même la moindre excuse aujourd’hui. Justine et moi avons dû nous débrouiller ce 24 mai dernier pour gérer au mieux la séance qui était initialement censée n’être menée que par l’intervenante absente et ne comporter que du chant ou presque. Justine a d’ailleurs géré la séance de main de maitre en imposant un respect naturel le plus simplement du monde sans jamais hausser le ton ni proférer la moindre menace ou mise en garde ce que connaissent bien, eux aussi, David et Philippe, intervenants récurrents à Tartampion. À bon entendeur...
Au passage, mettre en cause le professionnalisme de quelqu’un implique qu’on est soi même un tant soi peu professionnel, par exemple, en évitant de proposer un contenu de séance digne d’un début de projet au mois de janvier (jeu de connaissance alors que les enfants se connaissent et se pratiquent depuis plus de 6 mois, des choses que l’on apprend pourtant dans les bases du BAFA, un brevet pour animateur “débutant”).
Le professionnalisme passe aussi par une attitude consistant par exemple à ne pas court-circuiter l’autorité ni le travail de longue halène des travailleurs sociaux en fusillant, de quelques mots mal choisis ou d’une décision de tourner les talons, le peu de confiance instaurée entre les enfants et les adultes. L’une des bases de la pédagogie étant de mettre en avant la réussite et non l’échec, c’est hélas un bien triste constat de méconnaissance totale de la psychologie infantile qu’il m’a été donné de voir ce soir durant 45 minutes.
Je suis d’une nature très, très, très conciliante. Mais il ne faudrait pas arriver en terrain conquis quand on vient quelque part pour la première fois. Maitriser la langue arabe est une chose , en faire l’étalage face à un groupe ne comptant que deux enfants le parlant en pensant ainsi gagner leur respect et leur attention est une attitude assez gênante.
De même, mettre en cause ma façon de “tenir le groupe” sans jamais avoir assisté au moindre atelier à Tartampion et donc sans avoir aucune connaissance de la façon dont les dits ateliers se déroulent en temps normal relève au mieux d’une assurance mal placée, au pire, d’un sérieux complexe de supériorité ce dont je sais ne souffrir ni de l’un ni de l’autre.
Le volet social est très important dans le projet DÉMOS, il serait bon de le rappeler aux intervenants qui n’ont peut-être pas tous conscience des difficultés ÉNORMES que rencontrent les référents terrain au quotidien dès qu’il s’agit de motiver, suivre, écouter, récupérer ces enfants dont certains vivent de véritables calvaires au jour le jour. Le musicien que je suis adorerait que tous ces enfants trouvent en la musique une voie de salue mais il ne faut pas rêver, pour parvenir à une fraction de l’intérêt que les gens comme nous portent à la musique de la part de ces enfants, la tâche est pharaonique. Pas impossible, mais à condition de ne pas se tirer une balle dans le pied avec une attitude contre-productive au possible.
La mise en cause injuste dont je fais l’objet me semble par ailleurs largement disproportionnée tant je pense avoir prouvé depuis le début du projet mon implication.
[ Dernière édition du message le 08/06/2017 à 00:29:54 ]
Anonyme
4295
- < Liste des sujets
- Charte