Se connecter
Se connecter

ou
Créer un compte

ou
Agrandir
Le Pub
le Pub inclassable

Sujet Les questions auxquelles on n'a pas les réponses mais un AFien peut les avoir

  • 94 690 réponses
  • 652 participants
  • 2 891 173 vues
  • 516 followers
Sujet de la discussion Les questions auxquelles on n'a pas les réponses mais un AFien peut les avoir

Voilà un topic qui sert à s'informer, à poser des questions pour resoudre les tracas du quotidien.


J'inaugure avec :


J'ai cuit des oeufs un peu façon omelette, conservés entre 36 et 48h au frigo, je les ai réchauffé et là je sens mon bide trop chelou.

Quelqu'un sait combien de temps ça se garde sans risque ?

Afficher le sujet de la discussion
39711
Et y'a pas un azzy de la banque aussi?

-Mwaaaaais t'façon ca sert à rien que je te fasse un prêt si c'est pour que t'achètes du matos que t'arriveras pas à utiliser et pour reproduire de la musique de merde. redface2
39712
j'imagine  SUBPRIMES pour les Nuls le livre

La titrisation (Securitization en anglais) est une technique financière qui consiste classiquement à transférer à des investisseurs des actifs financiers tels que des créances (par exemple des factures émises non soldées, ou des prêts en cours), en transformant ces créances, par le passage à travers une société ad hoc, en titres financiers émis sur le marché des capitaux.

Une telle titrisation s'opère en regroupant un portefeuille (c'est-à-dire un lot) de créances de nature similaire (prêts immobiliers, prêts à la consommation, factures mono-thématique, ...) que l'on cède alors à une structure ad hoc (société, fonds ou trust) qui en finance le prix d'achat en plaçant des titres auprès d'investisseurs. Les titres (obligations, billets de trésorerie, ...) représentent chacun une fraction du portefeuille de créances titrisées et donnent le droit aux investisseurs de recevoir les paiements des créances (par exemple quand les factures sont payées, ou quand les prêts immobiliers versent des mensualités) sous forme d'intérêts et de remboursement de principal.

La titrisation peut également viser à ne transférer aux investisseurs que le risque financier lié aux actifs concernés, auquel cas les actifs ne sont pas vendus, mais le risque ou partie du risque transféré grâce à une titrisation synthétique.

Née aux États-Unis dans les années 1960, la titrisation a connu une expansion importante également en Europe à partir de 2000, tandis que les produits et les structures devenaient de plus en plus complexes. En France, la titrisation a été introduite par la loi du 23 décembre 1988. Sous l'impulsion de Pierre Bérégovoy, l'idée était de faciliter le développement du crédit immobilier en permettant aux banques de sortir les créances de leurs bilans et d'améliorer leur ratio "Cooke". La crise des subprimes survenue en 2007 a provoqué un ralentissement du marché, tandis que les autorités de marché considèrent la question de savoir si la titrisation devrait être mieux encadrée.

La titrisation peut s'appliquer à des portefeuilles de créances ou de biens immobiliers, comme à tout actif distribuant des paiements à venir, qu'il s'agisse ou non de créances. Dans sa forme la plus courante, elle consiste, pour une société détentrice d'actifs peu liquides, à vendre ceux-ci à une entité intermédiaire créée pour l'occasion qui finance cet achat en empruntant sur le marché par l'émission de titres de créance négociables garantis par les actifs.

Les titres sont acquis par des investisseurs qui participent à l’opération exclusivement sur base de la garantie sur les actifs dont les flux financiers futurs serviront au paiement des intérêts sur les titres et à leur remboursement. Chaque investisseur acquiert donc en quelque sorte une fraction du portefeuille d’actifs titrisés : les titres acquis par les investisseurs sont dits « adossés » au portefeuille d’actifs. Sur les marchés financiers, ces titres adossés sont appelés de manière générique des asset-backed security (ABS), la société intermédiaire créée pour l'occasion étant appelée une Special Purpose Vehicle (SPV), Special Purpose Company (SPC), Structured Investment Vehicle (SIV) ou encore un conduit [1].

Pour les investisseurs, la particularité de la titrisation est qu'ils sont rémunérés par le portefeuille cédé et en assument donc les risques, risques qui sont parfois partiellement couverts ou structurés, et généralement évalués par des agences de notation financière qui publient une note qualitative du risque sur les titres émis.

Afin de faciliter l’analyse du risque lié au portefeuille, c’est-à-dire de prévoir les flux financiers, les actifs ou droits cédés seront de préférence de même nature, comme par exemple :

  • un portefeuille de crédits hypothécaires résidentiels ;
  • un portefeuille de crédits hypothécaires commerciaux ;
  • un ensemble de droits liés à des opérations de crédit-bail sur machines ;
  • les loyers futurs d'un ou plusieurs immeubles résidentiels ou commerciaux.

Par ailleurs, afin de revendre des titres de qualité, le portefeuille fait l'objet d'une évaluation des risques de non paiement par l'établissement financier qui structure l'opération et, généralement, par au moins deux agences de notation financière. Un montant équivalent au premier risque (qui a le plus de chances de se produire) est constitué en titres secondaires subordonnés aux titres principaux et qui subiront les premières pertes du portefeuille. Ils sont alors généralement vendus à l'entreprise cédante, qui garde ainsi à sa charge le premier risque de non paiement de ses créances, la qualité des titres principaux s'en trouvant d'autant augmentée. Le plus souvent, les titres principaux sont eux-mêmes scindés en différentes classes subordonnées entre elles, chaque classe de titre présentant un profil de risque distinct, plus ou moins élevé, sanctionné par une notation de qualité donnée par les agences de notation et qui permet aux investisseurs d'évaluer leur risque (voir section Structuration financière des opérations).


 

 

bonne nuit les filles


une vielle et alors ...??

[ Dernière édition du message le 14/04/2010 à 17:57:07 ]

39713
Y'a sans doute un audiofanzine de la banque de toute façon.

Avec des sujets de beauf identiques genre "ces nanas meilleures tradeuses que nous" et "prêt moche land"

[ Dernière édition du message le 14/04/2010 à 17:57:37 ]

39714
non c'est plutot-  je me suis fait un putain de musicien raté - land  mrgreen

une vielle et alors ...??

39715
Citation :
"prêt moche land"

Escadron de ROFLcopters.
39716
Nova > Fin bon toi maintenant t'es grillé, t'es sur la liste de ceux à pendre par leurs tripes au matin du grand soir.

[ Dernière édition du message le 14/04/2010 à 18:02:02 ]

39717
ma direction s'en occupe actuellement  facepalm   .... mise au placard-land......

une vielle et alors ...??

39718
Jeremy : j'ai pas dit que c'était toi, hein mrgreen
39719
Citation de Pictocube l'optimiste :
On va dire 4000 €, mensualité de 150 € sur un an. C'est possible ça ?

150 € de mensualité sur un an ça fait 1 800 € à 0%.

Si tu trouves un banquier qui pour 4 000 € prêtés ne demande que 1 800 € en retour surtout tu me MP. Ca pourrait m'intéresser aussi ! bravo

Ph'nglui mglw'nafh Cthulhu R'lyeh wgah'nagl fhtagn. Iä Cthulhu. Iä Yog Sothoth.

39720
Jérémy> je te cause des automates d'états finis aux 24H du folk ! vengeance ! bave

Il y a deux moyens d’oublier les tracas de la vie : la musique et les chats.
Albert Schweitzer