Sujet de la discussionPosté le 12/06/2006 à 09:55:45Le Pub de l'écologie
Hello les amis!
en dégrossissant vulgairement la chose je me suis rendu compte que comme sur pas mal de sujets, on à pas tous les mêmes idées. et c'est ca qui est super :petitnicolas:
pour eviter de pourrir tous les sujets avec nos bio-conneries, je vous propose juste de nous dire si vous pensez:
1/ que la planète court un réel danger.
2/ que c'est pas si catastrophique que ca et qu'on à le temps de voir venir les choses sans paniquer.
en gros entre 1200 et 1300 ppm il y a comme une barrière avec un effet brutal.
mais à ces teneurs de CO2, notre cerveau commence à moins bien fonctionner, on doit en théorie rester sous les 1000 ppm de CO2 dans les salles de classes, sinon on considère que les élèves apprennent moins bien.
ça ne concerne pas toutes les zones du globe, la 'circulation' en cellules de Hadley demeure vu que le processus est purement physique (voire mathématique)
On peut quand même penser qu'on s'arrêtera avant (on en est à 410 ppm) ne serait ce que faute de ressources fossiles le permettant. A moins d'une libération de clathrates
Les clathrates c'est essentiellement du méthane, pas du CO2. Puissant gaz à effet de serre mais pas la même chimie que le CO2
Pour cette histoire de nuages quelque chose me chiffonne tout de même. Plus l'atmosphère est chaude, plus les océans évaporent. Cette vapeur d'eau doit bien se condenser quelque part avant de retomber. Les types de nuages peuvent changer mais théoriquement la masse nuageuse totale devrait même augmenter.
Je ne vois pas comment. A force d'évaporation il finira bien par y avoir saturation de l'air et formation d'eau liquide (ou de glace en altitude), donc de nuages ou de brouillard (qui n'est rien d'autre qu'un stratus dont la base touche le sol)