Le Pub de l'écologie
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Anonyme
en dégrossissant vulgairement la chose je me suis rendu compte que comme sur pas mal de sujets, on à pas tous les mêmes idées. et c'est ca qui est super :petitnicolas:
pour eviter de pourrir tous les sujets avec nos bio-conneries, je vous propose juste de nous dire si vous pensez:
1/ que la planète court un réel danger.
2/ que c'est pas si catastrophique que ca et qu'on à le temps de voir venir les choses sans paniquer.
Anonyme
Pas de souci Youtou, j'ai assez de lucidité pour voir ce que je fais là. Aucun stress, c'est cool.
[ Dernière édition du message le 17/06/2017 à 13:56:45 ]
Dr Pouet
En gros, ce qui devrait être une bulle spéculative ne l'est pas du tout, et dès lors on peut envisager une croissance ex nihilo, ou plutôt indépendante de la consommation de matière première.
C'est totalement envisageable. Mais je crois bien qu'actuellement le PIB mondial repose dans une part très majoritaire sur les produits matériels.
D'où forcément décroissance si pénurie de ressources.
[ Dernière édition du message le 17/06/2017 à 14:08:56 ]
Anonyme
Anonyme
Anonyme
Anonyme
Anonyme
Anonyme
C'est pas prêt d'arriver
pour les politiques, non (et au passage faut pas oublier que c'est le peuple qui décide des choix politiques hein) mais au niveau des économistes, ça commence pas mal à changer, il y a tout de même un gros mouvement allant vers la fin du productivisme et le début de la valeur ajoutée non consommatrice de ressources naturelles à outrance.
Anonyme
La valeur ajoutée humaine c'est du vent.
Non, absolument pas, enfin c'est ton point de vue, mais c'est faux en regard donc de toute personne ajoutant de la valeur financière à un produit de base, grâce à son action directe et personnelle.
Et ça vaut autant pour Keith Richards qui a crée une énorme valeur ajoutée en rapport d'une consommation de vin et d'héroine, faible en regard justement de la valeur finale produite, que pour l'éleveur de vaches qui va faire du frometon haut de gamme au lait cru.
Silos
Par contre, une fois notre modèle économique radicalement changé
C'est pour quand ça? On a jamais mit le frein à demander en continue les mêmes retombés économique que celle de reconstruction d’après guerre, pour tout on est toujours encore en train de reconstruire.
Pour l'exemple en parallèle et revenir un peu sur le frittage précédent,
Alors qu'en fait il existe des solutions moins coûteuses et qui ne demandent pas de péter une ville comme en temps de guerre.
Anonyme
c'est le peuple qui décide des choix politiques
Mouai, ça c’est de l'Histoire. Je tenterai d'illustrer par un exemple concret vécu de l'intérieur après la tempête Xynthia. Tu me donneras ton avis.
Anonyme
[ Dernière édition du message le 17/06/2017 à 14:29:18 ]
Dr Pouet
C'est pour quand ça?
Comme dit précédemment : d'ici 10 à 30 ans, quand l'épuisement des ressources se fera durement sentir. Mais ce serait nettement mieux d'anticiper le coup pour en adoucir la violence des conséquences. C'est ce que dit Jancovici dans l'interview que j'ai mis plus haut.
Alors qu'en fait il existe des solutions moins coûteuses et qui ne demandent pas de péter une ville comme en temps de guerre.
Oui. Un trolleybus par exemple.
Mais dans le débat précédent, que tu désignes comme un frittage, une bataille, on voulait juste souligner que le trolleybus en question sera davantage rempli dans une zone dense en habitants, que dans une zone moins dense. C'est juste un paramètre à prendre en compte. C'est tout.
Par contre j'en profite pour souligner que le contexte décrit par Youtou, une grande ligne "droite" entourées d'habitants, est une disposition, une topologie, très favorable à des transports en commun.
[ Dernière édition du message le 17/06/2017 à 14:39:44 ]
Silos
Mais dans le débat précédent, que tu désignes comme un frittage, une bataille, on voulait juste souligner que le trolleybus en question sera davantage rempli dans une zone dense en habitants, que dans une zone moins dense. C'est juste un paramètre à prendre en compte. C'est tout.
Plus rempli ne veut pas dire rentable, d'où mon allusion à la boîte d'oeuf.
C'est tout
[ Dernière édition du message le 17/06/2017 à 14:39:54 ]
Dr Pouet
La valeur ajoutée de Keith Richards est totalement virtuelle et contextuelle. Du vent quoi. Une bulle liée à une époque bien précise.
Peu importe que ce soit Keith Richars, les Beatles ou d'autres. Le fait est qu'un spectacle consomme peu de ressources non renouvelables. Il y a plein d'autres exemples de "services", consommant peu de ressources. On ira vers ça de toute façon ; en plus d'un retour à la terre.
Dr Pouet
Citation :Mais dans le débat précédent, que tu désignes comme un frittage, une bataille, on voulait juste souligner que le trolleybus en question sera davantage rempli dans une zone dense en habitants, que dans une zone moins dense. C'est juste un paramètre à prendre en compte. C'est tout.
Plus rempli ne veut pas dire rentable, d'où mon allusion à la boîte d'oeuf.
C'est tout
Si, car il y a toujours des économies d'échelle. Genre il faut moins de métal par passager dans le cas d'un grand bus que dans le cas d'un petit.
Anonyme
Citation de CloudBreak :La valeur ajoutée de Keith Richards est totalement virtuelle et contextuelle. Du vent quoi. Une bulle liée à une époque bien précise.
Peu importe que ce soit Keith Richars, les Beatles ou d'autres. Le fait est qu'un spectacle consomme peu de ressources non renouvelables. Il y a plein d'autres exemples de "services", consommant peu de ressources. On ira vers ça de toute façon ; en plus d'un retour à la terre.
Je ne suis pas sur que ça consomme si peu de ressources que ça surtout quand on parle de musiciens de ce calibre et des foules qu'ils ont tendance à attirer.
Silos
Si, car il y a toujours des économies d'échelle. Genre il faut moins de métal par passager dans le cas d'un grand bus que dans le cas d'un petit.
C'est la valeur du mouton qui paye le billet qui fait la rentabilité, de la vieille carne que t'entasse ça vaut rien.
Djardin
Donc même si ça parait vide, un bus quasiment vide fera toujours mieux que des voitures individuelles.
Référence en matière de bon gout capillaire et vestimentaire.
homme à tête de zizi.
Silos
Genre il faut moins de métal par passager dans le cas d'un grand bus que dans le cas d'un petit.
C'est pas de l'écologie ça, pour moi c'est du made in china.
Entre bus et tram, pour le transport aérien si c'est bien fait et beaucoup moins contraignant sur énormément de point, la fameuse trame verte préservé, possibilité de rallier divers point sans escales, léger, peu coûteux, demande très peu d’aménagement au niveau des infrastructures donc économie sur d'autre matériaux que ceux employés pour la fabrication de la machine, rapidité, fluidité du trafique conservé et amélioré pour les cyclistes, piétons, automobiles, etc...
Entre un bus et un tram pour le moment d'après moi le meilleur c'est lui, sauf que ce n'est pas vraiment dans le catalogue Tram/Bus FR 2017 et il n'y a pas encore de déclinaison possible sur le format de la boîte d'oeuf:

C'est le seul truc qui apporte un équivalent à la bagnole, niveau matériaux on peut très bien récupérer les vieille carcasses d e bagnole, les railles des vieux transport et faire du recyclage pour ça, aussi le machin peut se comporter comme un train, c'est à dire qu'avec ce genre de concept les modules pourrait s'accrocher entre eux.
[ Dernière édition du message le 17/06/2017 à 15:21:42 ]
Dr Pouet
Citation :Si, car il y a toujours des économies d'échelle. Genre il faut moins de métal par passager dans le cas d'un grand bus que dans le cas d'un petit.
C'est la valeur du mouton qui paye le billet qui fait la rentabilité, de la vieille carne que t'entasse ça vaut rien.
Je ne parlais pas de marge, mais de coût, voire de ressources nécessaires.
Entre bus et tram, pour le transport aérien si c'est bien fait et beaucoup moins contraignant sur énormément de point
Ouais. Sauf probablement les ressources naturelles (matériaux et énergie) nécessaires pour fabriquer et installer ce genre d'équipement.
Silos
Ouais. Sauf probablement les ressources naturelles (matériaux et énergie) nécessaires pour fabriquer et installer ce genre d'équipement.
J'en suis absolument pas convaincu en comparaison à ce qu'on fait actuellement
C'est pas dit qu'une petite boîte en fibre soit réellement plus gourmande qu'un tram/train avec ses dimensions conséquentes, et tu consomme ce que t'as besoin en fonction de la fréquentation plutôt que de faire tourner des gros machin à vide pendant les heures creuse ou dans des zones pas dense.
[ Dernière édition du message le 17/06/2017 à 15:48:52 ]
Dr Pouet
Par contre les poutrelles de support, les poteaux, les fondations pour les poteaux, les gares... sans parler de la sécurité (comment on sort d'une telle nacelle en cas de problème, entretien des poutrelles...)... Si c'est aérien, c'est que ça lutte contre la gravitation, ce qui jusqu'à preuve du contraire, a de lourdes conséquences.
[ Dernière édition du message le 17/06/2017 à 16:06:15 ]
Djardin
ça prends de la place au sol !
et c'est clairement le but. prendre de la place qui était avant donnée aux voitures.
mettre un tram en ville, ça veut dire péter le béton, mettre des rails (avec des pavés ou de l'herbe), virer des voies pour les voitures, virer du parking, en profiter pour agrandir les trottoirs et mettre des pistes cyclables.
Et aussi, un tram, c'est un truc énorme, lourd, qui roule lentement et qui respecte les piétons. Donc c'est obliger les voitures à ralentir et à laisser la priorité, par la force. (en cas de choc voiture tram, le tram n'a pas grand chose)
C'est pour ça que même si c'est bien plus cher qu'un bus (en prix et matériaux), c'est pas mal en fait.
Référence en matière de bon gout capillaire et vestimentaire.
homme à tête de zizi.
Anonyme
Ceci n'est pas une œuvre de fiction, c'est issu d'un article somme toute assez banal dans ce milieu d'affaire :
Le marché des obligations catastrophe (« Cat bonds ») reste dynamique sur les 12 derniers mois en dépit d’éléments défavorables, comme le rappelle les professionnels présents à la grande messe annuelle de la réassurance qui se déroule actuellement à Monaco.
Sur les 12 mois, le marché des « Cat bonds » - ces titres obligataires émis par une structure de titrisation pour refinancer des risques d’assurances liés à des catastrophes naturelles - reste dynamique, tant en termes de volume d’émission que de performance...
Deux raisons principales expliquent ce phénomène. D’une part, les modèles d’estimation des risques sous-jacents aux obligations catastrophes fournis par les deux leaders mondiaux en la matière - « Risk Management Solutions (RMS) » et « Air Worldwide Corporation (AIR) » - ont sensiblement revu à la hausse leurs estimations de pertes potentielles en cas de survenance d’événements catastrophes. D’autre part, l’ardeur des investisseurs a quelque peu été refroidie par le « méga » tremblement de terre, d’une magnitude de 9 sur l’échelle de Richter, suivi d’un tsunami ayant touché le Japon...
En dépit de cet événement dramatique ayant coûté la vie à près de 20 000 personnes selon un bilan officiel, l’indice Cat bond « Aon Benfield All bond » affiche une performance honorable de 5.97% sur les 12 derniers mois...
De quoi rassurer les investisseurs mais aussi de permettre aux émetteurs d’envisager avec davantage d’optimisme la fin de l’année, période où les volumes d’émission devraient reprendre, après un troisième trimestre généralement calme en la matière, en raison de la saison des ouragans aux Etats-Unis.
Ce que vous appelez une catastrophe, c'est en réalité un déclencheur dans le monde de l'assurance paramétrique.
A quand un titre adossé à la prolifération des méduses en Méditerranée ?
Je vous invite à découvrir ce qu'est un CatBond (obligation catastrophe en Français). Plus cynique encore, sachez que nos retraites sont couvertes par un MortalityBond. Dormez tranquille brave gens et rêver de lutte des classes.
[ Dernière édition du message le 17/06/2017 à 16:14:17 ]
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