Le Pub de l'écologie
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Anonyme
en dégrossissant vulgairement la chose je me suis rendu compte que comme sur pas mal de sujets, on à pas tous les mêmes idées. et c'est ca qui est super :petitnicolas:
pour eviter de pourrir tous les sujets avec nos bio-conneries, je vous propose juste de nous dire si vous pensez:
1/ que la planète court un réel danger.
2/ que c'est pas si catastrophique que ca et qu'on à le temps de voir venir les choses sans paniquer.
ferdinand
Citation : (le nucléaire est inefficace, ok, juste allez prendre des cours de physique et on en reparle)
t'as pas écouté le petit interview que j'avais mis en lien
Sur la totalité du cycle énergetique, le rendement est pas terrible.
Sur le reste:
Des solutions pareilles, pires ou mêmes légèrement mieux ca ne changera pas grand chose à l'affaire, ca marche dejà pas à 6 milliards d'habitants, ca ne sera pas mieux à 8, 10 ou 12...
Du pareil, du different ou du moins pire, c'est dejà le pire
Dans un monde réellement renversé, le vrai est un moment du faux. G.Debord.
a.k.a
pistonpistache
a.k.a
Edit > plutôt pain complet, en fait.
ferdinand
Heureusement qu'il a des copains dans le coin qui égarent les lettres aux "architectes de france".
http://www.bakchich.info/Pas-d-helicoptere-pour-la-villa-de%2C07496.html
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ferdinand
Citation : La découverte d'un possible « patient zéro » dans l'Etat de Veracruz alerte sur les conditions scandaleuses de l'élevage intensif.
Nooooon!! Je refuse d'y croire!!! comment cela peut-il être possible???
Je refuse de croire que les camarades de la fnsea et de cpnt nous fassent avaler de telles anguilles. Ce n'est définitivement pas leurs genre .
Soyons sérieux, ces virus ne proviennent que de ces salauds d'oiseaux sauvages et des cochons sauvages. Donnons leurs l'autorisation de chasser en toutes saisons et avec tous les moyens, de faire sauter les nids et terriers à l'explosif et d'exterminer enfin la menace que pése la nature ainsi que l'agriculture biologique tant qu'on y est!!!
http://www.rue89.com/2009/05/04/mexique-la-grippe-a-est-elle-issue-de-lindustrie-porcine
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Anonyme
ferdinand
Citation : Pour lui, renoncer aux OGM, c'est un refuser le progrès scientifique, alors que l'agriculture est déjà incapable de nourrir la planète et que personne ne sait comment cela se passera quand, vers 2050, il y aura 9 milliards de bouches sur terre.
Une méfiance vis-à-vis de la science qui remonte à Hiroshima, s'est poursuivie en France avec l'affaire du sang contaminé et celle de la vache folle, au point que « le seul énoncé d'organisme génétiquement modifié provoque le dégoût » et que « les scientifiques renoncent à s'exprimer sur le sujet au risque de passer pour des vendus ».
L'article ici
Gros amalgames, raccourcis simplistes, jaillette abuse de toutes ces ruses qu'il vomit chez les autres.
Incapable de nourrir la planète mon cul!, il faut se renseigner avant d'écrire de telles âneries! Rue89 devient jour après jour la voix de son maitre...
Cet article s'inscrit dans une contre-attaque générale anti-ecolo: reportage consternant sur les dangers de l'agriculture bio, fariboles navrantes sur la "décroissance" (récession=décroissance ), contestation du réchauffement climatique et des enjeux écologiques.
Ce négationnisme se voit d'ailleurs officiellement adoubé avec la nomination de l'infâme allègre au gouvernement...
A ce rythme la on va finir avec Laurent cabrol ou bonaldi comme ministre de l'écologie.
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ferdinand
Une catastrophe écologique invisible à côté de chez nous
CLICANOO.COM | Publié le 2 novembre 2009
Plus de 600 tonnes d’hydrocarbures et 39 000 tonnes de phosphate brut déversées dans la mer, des dizaines de kilomètres de plage souillés, au moins 20 000 personnes privées de ressources alimentaires et touchées par des problèmes respiratoires et cutanés. Même si elle est restée invisible chez nous, c’est bien une catastrophe écologique majeure qui touche l’extrême sud de Madagascar après le naufrage, fin août, du bateau turc Gulser Ana. Le premier rapport de l’association WWF est effrayant (lire notre édition de samedi). Les écologistes ne déplorent pas seulement que neuf baleines n’aient pas supporté la marée noire. Ils lancent un cri d’alarme sur les conséquences de la pollution touchant aussi bien la population que l’écosystème de ce qui était un sanctuaire marin. La WWF craint le pire pour les pêcheurs et leurs familles qui ont ramassé des plaques de pétrole sans protection. Même chose pour la faune et la flore maritime asphyxiées par le phosphate. On pourrait aussi parler des gastéropodes. Ceux qui ont été autopsiés contenaient d’importantes quantités de métaux lourds. A quelques centaines de kilomètres de notre île, le sud de Madagascar vit un drame comparable à celui qui a frappé les côtes bretonnes dévastées par les naufrages de l’Amoco Cadiz de l’Erika. Pourtant, mis à part le WWF, personne ne semble vouloir venir en aide aux Malgaches livrés à leur triste sort. Ou au moins s’intéresser à ce désastre. A commencer par les grands médias internationaux pourtant friands de sujets écolos. Tout se passe donc comme si cette catastrophe était passée sous silence. Pire, la pollution du Gulser Ana montre cruellement comment des pays tels que Madagascar restent inéluctablement dans un angle mort de notre planète. Là où tous les types de pillages et d’outrances au productivisme sont possibles. Y compris de la part d’autres pays du tiers-monde. Car ce naufrage est bien l’œuvre d’armateurs voyous qui s’affranchissent des principes, des frontières et du respect des autres. Appartenant à la liste des 66 navires les plus dangereux de la planète, ce vraquier avait été mis à la porte des eaux de l’Union européenne. Parti du Togo pour aller en Inde, le bateau continuait toutefois de sillonner d’autres mers du globe. Et sachant à quel point un juge d’instruction français a eu du mal à renvoyer dix-huit responsables du naufrage de l’Erika devant un tribunal correctionnel huit ans plus tard, ce n’est pas faire injure à la justice malgache que d’imaginer que cette catastrophe restera à jamais impunie. Quant au sort des pêcheurs du sud de la Grande Île, affamés et bientôt en proie à des cancers, les armateurs et affréteurs du Gulser Ana s’en soucient autant que Total de sa première boulette de pétrole sur le granit breton.
Dans un monde réellement renversé, le vrai est un moment du faux. G.Debord.
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