Le Pub de l'écologie

Pour avoir déjà bouché une ligne à l'arrêt, ça n'empêche pas de démarrer, ça fait juste du bruit et Patator au démarrage.

Par définition, le chauffage à rayonnement ne chauffe pas l'air

Le risque de se brûler

ou de se prendre de violents bouts de patate

Engineers who are supposed to design and build Adani coal mine refuse to participate in Australia's climate suicide plans.

Engineering firms are under increased pressure from their own employees to abandon controversial fossil fuel projects, as the sector turns its attention to the climate crisis.
About 1,000 Australian engineers and 90 organisations – including large firms and respected industry figures who have worked with fossil fuel companies – have signed a declaration to “evaluate all new projects against the environmental necessity to mitigate climate change”.
As the Australian Engineers Declare movement gathers pace, some industry figures say firms that work on Adani’s Carmichael coalmine project face a potential revolt from staff, and might struggle to recruit highly skilled people.

(...)

chuuuuttt malheureux, si Trump entend çà

Contre le réchauffement climatique, ça marcherait un petit age glaciaire volcanique ?

Ou n'importe quel projet de docteur Folamour visant à occulter "de manière contrôlée" le soleil

Bin là, en voilà quelques-uns qui pourraient ne veulent pas tremper dans cette baignoire-là, et qui le font savoir.
C'est extrêmement positif!

Citation :

Contre le réchauffement climatique, ça marcherait un petit age glaciaire volcanique ?

non. Soit c'est une grosse éruption d'un seul coup, et le refroidissement dure 2 à 3 ans, le temps de lessiver l'atmosphère du soufre et des poussières, soit c'est une absolument énorme éruption suivie d'une intense activité volcanique sur des milliers d'année, et là le remède est pire que le mal

Y a qu'à mettre des financiers à la technique, au moins eux ils sont motivés.

Il y a encore quelques années, les arbres secs n’étaient qu’un souci de quelques semaines, réglé à la sortie de l’hiver. Les quelques sapins dont la sève ne remontait pas rougissaient au retour des beaux jours. Les bûcherons, qui les surnommaient les « coquelicots », les repéraient facilement au milieu des futaies. Ce grand ménage de printemps concernait quelque 500 m³, vite coupés, vite transformés.Mais, en 2016, le nombre de « coquelicots » a subitement grimpé, à 1.000 m³. Puis 1.500 m³ en 2017, 2.000 m³ en 2018. Depuis le mois de janvier, déjà 4.000 ou 5.000 m³ ont dû être abattus. Et cela pourrait atteindre les 8.000 m³ d’ici fin décembre, craint Jean-Charles Willaume

D’ailleurs, la journaliste de L’Opinion Emmanuelle Ducros, peu suspecte d’agribashing car se considérant elle-même comme un « relais de parole du monde agricole », le reconnaît : « L’agribashing n’existe pas », a-t-elle déclaré lors d’un récent débat à la Maison de la chimie, à Paris. Et d’indiquer qu’il s’agit plus d’un problème de ressenti des agriculteurs face aux critiques dont le système agricole fait l’objet.

des nouvelles de la propagande de notre NRA à nous :

https://reporterre.net/L-agribashing-une-fable-qui-freine-l-indispensable-evolution-de-l-agriculture

L’agribashing n’existe pas, défend l’auteur de cette tribune. Ce ne sont pas les agriculteurs mais le système agricole qui est critiqué. Et vouloir interdire une telle critique est dangereux, nous explique-t-il.
François Veillerette est directeur de l’association Générations futures.
« Agribashing ». C’est le terme à la mode depuis plusieurs mois dans le monde agricole français. Cet anglicisme, qu’on pourrait traduire par « dénigrement » ou « lynchage médiatique » dont serait victime l’agriculture, est sur les lèvres de tous les représentants de la Fédération nationale des syndicats d’exploitants agricoles (FNSEA, majoritaire), sa présidente, Christiane Lambert, en tête.

(...)

https://reporterre.net/Secheresse-dans-la-foret-vosgienne-sapins-et-epiceas-n-arretent-plus-de-mourir

une bonne manifestation de la non linéarité des effets du changement de climat :
Citation :

Citation :

Il y a encore quelques années, les arbres secs n’étaient qu’un souci de quelques semaines, réglé à la sortie de l’hiver. Les quelques sapins dont la sève ne remontait pas rougissaient au retour des beaux jours. Les bûcherons, qui les surnommaient les « coquelicots », les repéraient facilement au milieu des futaies. Ce grand ménage de printemps concernait quelque 500 m³, vite coupés, vite transformés.Mais, en 2016, le nombre de « coquelicots » a subitement grimpé, à 1.000 m³. Puis 1.500 m³ en 2017, 2.000 m³ en 2018. Depuis le mois de janvier, déjà 4.000 ou 5.000 m³ ont dû être abattus. Et cela pourrait atteindre les 8.000 m³ d’ici fin décembre, craint Jean-Charles Willaume

En remplaçant les hêtres par des épicéas, en favorisant les plantations serrées, en coupant des arbres à peine adultes, les sylviculteurs ont fragilisé l’écosystème forestier. « Les exploitants se moquaient que ces forêts soient plus sensibles aux aléas climatiques, puisqu’elles étaient rentables ! Maintenant, on se rend malheureusement compte que nous avions raison »,