Le pub de la Corona...
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Anonyme

Un conseil de défense suivi d’un conseil des ministres « exceptionnels » seront organisés samedi 29 février pour faire le point sur le coronavirus, a annoncé l’Elysée vendredi. Le premier aura lieu à 10 heures et le second à 11 heures.
Un nouveau sujet pour qu il n y ait pas une pandémie sur le Pub.

[ Dernière édition du message le 29/02/2020 à 09:56:54 ]

Dr Pouet


j-master

https://www.thestar.com/news/insight/2020/04/19/eighty-years-later-lessons-from-the-crippler.html
Even the rush to find remedies for COVID-19 without rigorous scientific testing, such as anti-malarial drugs, is reminiscent of what happened in 1937, says Rutty.
Pressured to be seen to be “doing something, doing anything” to stop the spread of polio, Rutty says, the Ontario government approved a chemical nasal spray for trial on 5,000 Toronto children. The spray had been tested on monkeys in the U.S. and had been tried on polio victims there, but results were inconclusive. The Toronto trial showed unconditionally that the spray did not work and even damaged some children’s sense of smell.
"L'Homme est la nature prenant conscience d'elle même." - Elisée Reclus

Djardin

En gros, à cause de tous le battage, certains médecins du service en prescrivent.
Seulement vu que c'est un médicament dangereux avec plein d'effets secondaires, il est obligatoire de faire un ecg avant.
Donc les infirmières perdent 30 minutes à chaque fois pour faire l'ecg, sachant que le service est en sous effectif.
Donc en plus d'avoir des effets secondaires, de monopoliser l'attention des politiques, de bloquer la recherche sur les autres molécules, de tuer directement des gens, de faire une pénurie de médicaments pour ceux qui en ont vraiment besoin, ben ça fait aussi une pénurie de personnel hospitalier !
Référence en matière de bon gout capillaire et vestimentaire.
homme à tête de zizi.

Anonyme



Anonyme

bloquer la recherche sur les autres molécules

Anonyme


Anonyme

Il y a trois ans, la conférence de Munich sur la sécurité avait été inaugurée par Bill Gates qui affirmait que la menace principale pour le monde était de nature épidémique et pas sécuritaire. Depuis quinze ans, tous les livres blancs de la Défense mettent les épidémies tout en haut de l’agenda. Et nous sommes pourtant dépassés quand elle arrive. Cette contradiction n’est en réalité qu’apparente. Parce que nous avons en réalité confié cette question sanitaire à une logique de start-up, d’innovation et de philanthropie, dans laquelle la politique sécuritaire des États consiste d’abord à mettre en scène sa capacité à intervenir, à simuler son aptitude à gouverner, mais sans véritable moyen de le faire.
Donc je pense que le "raoult sur la chloroquine" ne fait pas que ralentir les essais cliniques, il sert aussi à occuper le débat public, histoire qu'on parle d'autre chose que de leur gestion calamiteuse de cette crise...
[ Dernière édition du message le 21/04/2020 à 09:38:25 ]

Anonyme



Anonyme

la politique sécuritaire des États consiste d’abord à mettre en scène sa capacité à intervenir,
la politique en général ! merci pour ces infos.

Anonyme


... L’anthropologue et médecin Paul Farmer, qui avait été notamment l’envoyé spécial des Nations unies à Haïti après le séisme en 2009, rappelait à propos du fiasco de la réponse à Ebola, en 2014, que la réponse à une épidémie, c’est avant tout « staff and stuff », des gens et des choses. La France se prend aujourd’hui en pleine figure le manque de masques, de matériels et de tests, et expose ainsi l’hiatus profond entre un débat public expliquant qu’il faut tester davantage, se protéger davantage, et la matérialité de la situation, avec le manque de réactifs, l’incapacité de produire suffisamment de masques, mais aussi l’absence de personnels de santé publique capables de faire le suivi des cas.
Actuellement, ce n’est pas d’idées, de stratégies, de perspectives critiques que l’on manque… On manque de choses. Les questions les plus intéressantes aujourd’hui sont logistiques et il est sans doute plus intéressant de parler à un brancardier de l’hôpital Delafontaine de Saint-Denis ou à un livreur de Franprix qu’à n’importe quel chercheur. La question centrale, aujourd’hui, c’est l’épidémiologie sociale : comment le virus s’engouffre dans les failles de nos sociétés : les inégalités, les conditions de vie, les différences d’exposition du fait du travail, et toutes les comorbidités qui aggravent la maladie, comme on le voit avec les disparités raciales aux États-Unis, ou le cas de la Seine-Saint-Denis, ici.
Avec une certaine ironie, on constate que des pays comme le Cameroun ou le Nigeria sont mieux préparés car ils disposent de ce qu’on appelle des agents de santé communautaire (Community Health Workers) qui sont des gens peu formés – ce ne sont pas des infirmiers – mais qui sont des sortes d’aides-soignants de santé publique, qui s’occupent des campagnes de vaccination, mais aussi de surveillance épidémiologique, et qui s’avèrent très utiles pour faire le suivi des cas, et des contacts des personnes infectées. C’est un savoir social que ne peut faire la police ou un smartphone.
Au moment d’Ebola, quelques cas se sont déclarés à Lagos, au Nigeria, et on a craint le pire dans une métropole comme celle-ci, avec un virus aussi mortel. Mais en réalité, le pays a pu s’appuyer sur ces personnes très bien implantées dans les quartiers et les communautés, qui devaient déjà faire face à une épidémie de polio, et ont donc su tracer les contacts, isoler les malades, et réussi à éteindre l’épidémie. Cette success story africaine rappelle que la principale réponse aux épidémies est une réponse humaine, qu’on a complètement négligée ici, où personne ne viendra frapper à notre porte, et où rares sont les quartiers organisés en « communautés »... .

Projacks


Ceux qui déplacent des montagnes... font chier les cartographes.

Anonyme

«Le Nigeria est mieux préparé que nous aux épidémies»
20 avril 2020 Par Joseph Confavreux
Leçons à tirer des façons dont le Sud fait face aux épidémies, approche sécuritaire des virus, relations entre le médical et le politique, logiques sous-jacentes à la « médecine de tri »… Entretien avec l’historien Guillaume Lachenal.
Il est sorti hier...
[ Dernière édition du message le 21/04/2020 à 11:48:35 ]

Coyote14


https://www.lemonde.fr/economie/article/2020/04/21/climat-le-patronat-s-active-pour-inflechir-les-normes_6037283_3234.html

tihouss

L'appétit vient en mangeant ; la réforme, c'est pas sorcier ; le campement léger en plein air, non. Cupidon

samy dread

pour changer de politiques (au sens publique comme privé), il faut changer les têtes, sans quoi le naturel reviendra en ferrari
Non je ne mettrai pas de pull

Coyote14

pourquoi voulez-vous qu'ils fassent ce qu'ils ont toujours fait, ce pour quoi ils ont été formés, sélectionnés etc...
Les plus dangereuses sont les "private companies", qui ne sont pas cotées en bourse (Auchan, Mars,...), sur fonds propres, qui ne publient même pas leurs compte. Un de mes anciens employeurs, c'était les frères Koch, respectivement 16 et 17ème fortune mondiale, des mecs dont la boite a inventé le Lycra, qui est diversifiée à mort (Pétrochimie, bois, bétail, finances...) et qui sont des ultraconservateurs qui s'en branlent complètement de ces sujets là, et qui financent les tea party à coup de milliards. Eux, ce sont les derniers des derniers de l'ancien monde.

Erell Ranson




https://fr.news.yahoo.com/coronavirus-souche-covid-19-europe-plus-mortelle-que-etats-unis-102820800.html?guccounter=1&guce_referrer=aHR0cHM6Ly93d3cuZ29vZ2xlLmNvbS8&guce_referrer_sig=AQAAAMRRi0TTuX3YG0BkCmZvGsSO7Ak0Dn5i2ZN8HsTlWbBnh2XM0MELZfov20LRaPW6TAkIkw8REYYooYuZHGcewqy_NXXL10UrhT4vHgmWGcW6LK3DHra-8rHNZDhLV5n5CZn2NePNe4MYa641LyK1WptHt7xBWcWA7mg4Rgb7jk4V

Anonyme


Anonyme


Silverfish Imperatrix

https://www.washingtonpost.com/business/2020/04/21/anti-malarial-drug-trump-touted-is-linked-higher-rates-death-va-coronavirus-patients-study-says/
Mon thread sur le jazz, principalement bop et post bop:

Dr Pouet

Climat : le patronat s’active pour infléchir les normes
En raison de la crise due au coronavirus, les firmes françaises poussent le gouvernement et Bruxelles à revoir leur réglementation dans plusieurs domaines, comme la réduction des émissions de gaz à effet de serre.
Le Covid-19 aura-t-il raison, pour un temps du moins, du programme environnemental de la France et de celui de Bruxelles, un des piliers de la politique de la Commission présidée par Ursula von der Leyen ? De nombreuses voix réclament des assouplissements et des délais supplémentaires : au Medef, à France Industrie et à l’Association française des entreprises privées (AFEP), qui regroupe les 113 premiers groupes actifs en France.
Le patronat veut profiter de la crise sanitaire et économique pour pousser le gouvernement et Bruxelles à revoir leur réglementation dans plusieurs domaines, comme la réduction des émissions de gaz à effet de serre et les avancées sur l’économie circulaire en faveur d’une gestion durable des ressources.
Ces règles peuvent, selon l’AFEP, « représenter un frein pour sortir de la crise économique », notamment en mobilisant des « ressources importantes au sein des entreprises » qu’il faudrait utiliser autrement. Ce qui incite le puissant lobby patronal (78 % de la capitalisation du CAC 40), dans une note révélée par le site Contexte et dont Le Monde a obtenu une copie, à demander la suspension de plusieurs avancées récentes concernant l’environnement.
Il propose de décaler d’un an la révision de la directive sur les émissions industrielles de CO2, assurant que, dans une situation économique aussi « grave », « ce n’est pas le moment de modifier un cadre juridique qui est efficace et a fait ses preuves ». En outre, il demande le report d’une année des dispositions sur l’économie circulaire au niveau européen, que la France a adoptées dans une loi de 2019.
(...)
https://www.lemonde.fr/economie/article/2020/04/21/climat-le-patronat-s-active-pour-inflechir-les-normes_6037283_3234.html


samy dread

On critique beaucoup Bolsonaro, mais il exprime juste sans le filtre de l'hypocrisie la pensée de cette classe sociale
Non je ne mettrai pas de pull

Anonyme


Djardin

Coronavirus : de plus en plus de Bretons crachent sur la police lors des contrôles
https://twitter.com/LaGorafisation/status/1253010400746049537
Les policiers qui se font cracher dessus, doivent systématiquement conduire la personne interpellée effectuer un test.
Référence en matière de bon gout capillaire et vestimentaire.
homme à tête de zizi.

Anonyme

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