Se connecter
Se connecter

ou
Créer un compte

ou

café du coin : analyse et commentaire de l'actualité poliltique

  • 15 154 réponses
  • 154 participants
  • 506 499 vues
  • 132 followers
Sujet de la discussion café du coin : analyse et commentaire de l'actualité poliltique
Un endroit qui fleure bon la France et ses discussions interminables au comptoir pour parler de politique.

Je lance cette question : que pensez-vous de la suppression de l'ISF ?

[ Dernière édition du message le 16/04/2020 à 15:13:02 ]

Afficher le sujet de la discussion
5231
Mon opinion est qu'il y a un bouton rouge et un bouton vert

hqdefault.jpg

Ex-producteur retraité de la musique en 2016


5232
A priori ca a plutot bien marché l'approche molle de la part de la sécurité du Capitole hier soir.
5233
L’apaisement ça marche sur un client irrité, oui. Beaucoup moins bien sur un fasciste dont le fonctionnement de base, avant d’être énervé, est de nier le droit à l’existence de son interlocuteur.
5234
Disons qu'il était heureux que les commandos ne soient pas noirs. Ca aurait été autrement plus corrosif.

One Breath III : Find out the end of the story, piece by piece : WBBTMR - One Breath III

Je vous en prie, allongez vous dans les plantes vertes.

5235
Plus sincère !

je suis ceinture blanche de judo

5236
will_bru : il me semble que kruks essaye de dire que sous couvert de la liberté d’expression certaines personnes - politiques ou non - diffusent des idées dangereuses car basées sur la discrimination, le rejet, l’exclusion. Et qu’il faut s’opposer à ces discours, pour éviter la banalisation de ce type de pensée.

Mais lui seul peut bien entendu t’apporter des précisions.

Personnellement j’ai revu ma façon d’aborder cette problématique. Et j’ai bien compris que ce qu’exprime kruks - enfin ce que j’en ai compris - n’est pas viable, voire peut mettre en danger le vivre ensemble.

En effet en disant non ( avec quelle légitimité ? Celle de simple citoyen ? Allons donc ) il ne va pas s’opposer à une opinion, il va simplement essayer d’imposer la sienne. Or ce n’est pas là l’essence de la liberté d’expression.

Ne serait-il pas plus doux, et donc plus simple, de laisser faire les choses ? Il faut du temps pour se rendre comptes des conséquences de certaines causes. Et sans recul comment savoir ce qui n’est pas connu. C’est pour cela que laisser les mentalités évoluer à leur propre rythme est la clef. Délaisser la passion, ce sentiment qui nous fait perdre la raison. La raison, cette fondation de l’ordre nécessaire.

Notez qu’il s’agit de ma propre opinion, que je ne fais que la partager avec vous, qu’à aucun moment je ne cherche à vous l’imposer. Vous pouvez la rejeter, mais avec respect et bienveillance.

Je préfère préciser tout cela pour éviter toute apostrophe.

Sur des sujets aussi compliqués j’estime que c’est important.
5237
@will_bru : j'entends ton discours et ça se tiens.
Bon j'émets quand même un doute sur le fait qu'un manager de call center soit de bon conseil sur la bonne manière de gérer des groupes de personnes :mrg:

Mais là selon moi ce ne sont pas juste des gens en colère. Il y a une idéologie derrière.
Je ne réclame pas la fusillade des putschistes, mais j'aimerais qu'on arrête de dire que ces gens sont juste en colère, qu'ils sont perdus politiquement.
Bordel ils se balladent avec des drapeaux sudistes, des pulls «camp Auschwitz» et des tatouages de symboles de la suprématie blanche. Ils envahissent le capitole armés et il faudrait continuer à les brosser dans le sens du poil ?
Ce ne sont pas des clients en colère, c'est un mouvement qui a fait une démonstration de force.

Je vais pas attendre les bruits de bottes et le fusil sur la nuque pour commencer à tenter de combattre cette idéologie

Two Beers or not two beers... ?

5238
le-pub-des-gentlemen-3210856.jpeg

Choquant de telles allégations, n’est-il pas ? :noidea:
5239
Ils sont la pour moderer la forme, pas le fond.
5240
Cela dit je viens de réaliser que pour biden, ces putschistes sont justement des clients (electoraux) en colère. Ce qui explique peut être un peu la teneur de sa prise de parole.

Two Beers or not two beers... ?