Se connecter
Se connecter

ou
Créer un compte

ou

café du coin : analyse et commentaire de l'actualité poliltique

  • 15 154 réponses
  • 154 participants
  • 506 516 vues
  • 132 followers
Sujet de la discussion café du coin : analyse et commentaire de l'actualité poliltique
Un endroit qui fleure bon la France et ses discussions interminables au comptoir pour parler de politique.

Je lance cette question : que pensez-vous de la suppression de l'ISF ?

[ Dernière édition du message le 16/04/2020 à 15:13:02 ]

Afficher le sujet de la discussion
6141
Citation de Dr :
Ça fait un effet de loupe délirant sur les extrêmement rares personnes soupçonnées à tort.
D'accord, mais on peut dire la même chose de n'importe quelle erreur judiciaire dans n'importe quel domaine pénal. Faut-il ne plus en parler et laisser tomber les victimes d'erreurs judiciaires parce ce que ça fait un effet loupe délirant alors que sans doute plus de 99% des condamnés sont coupables? :clin:

Ex-producteur retraité de la musique en 2016


6142
quelle est ta conception de l'abus de faiblesse et en quoi celle-ci ne correspond pas à ton cas ?

je suis ceinture blanche de judo

6143
Citation :
laisser tomber les victimes d'erreurs judiciaires parce ce que ça fait un effet loupe délirant alors que sans doute plus de 99% des condamnés sont coupables?


99% des condamnés sont coupables, mais 99% des coupables ne sont pas condamnés

Le chien aboie mais n'invente pas le fil à décongeler le beurre.

Les 6l6, des lampes qui nous éclairaient

6144
Citation de sublime :
quelle est ta conception de l'abus de faiblesse et en quoi celle-ci ne correspond pas à ton cas ?


Abus de faiblesse : Une femme a urgent besoin d'une relativement importante somme d'argent, sait que j'ai un peu d'épargne, elle me demande de l'aider, je lui dit ok mais on baise d'abord.

Pas abus de faiblesse : Une femme a urgent "besoin" d'argent, sait que j'ai un peu d'épargne, elle me saute dessus, on baise, puis en roucoulant sur l'oreiller me demande de lui prêter de l'argent, que je n'aurais jamais revu (la réputation morale de la dame n'était plus à faire) En l’occurrence le faible, si j'avais accédé à sa demande, ça aurait été moi, probablement jusqu'à épuisement total de mes comptes.

Bon ok pour être vertueusement exemplaire j'aurais pu la repousser, mais merde :oops2:

Les faits incontestables: on a baisé. Comme elle s'est pété la gueule dans l'escalier en repartant elle était pleine de bleus. Elle aurait déposé plainte pour viol avec violences j'étais mal...

Ex-producteur retraité de la musique en 2016


6145
Citation :
Une femme a urgent "besoin" d'argent, sait que j'ai un peu d'épargne, elle me saute dessus, on baise, puis en roucoulant sur l'oreiller me demande de lui prêter de l'argent, que je n'aurais jamais revu (la réputation morale de la dame n'était plus à faire) En l’occurrence le faible, si j'avais accédé à sa demande, ça aurait été moi


Le faible dans l'histoire, tu ne trouves pas que c'est la femme qui a été réduite à faire le tapin (parce que bon, c'est ca hein) histoire de subvenir à ses besoins (pas sexuels, ses besoins pour se loger et se nourrir) ? Parce qu'il n'y avait pas d'autres alternatives et que le système lui a mis cette idée dans la tête ?

Le chien aboie mais n'invente pas le fil à décongeler le beurre.

Les 6l6, des lampes qui nous éclairaient

6146
Citation de EPE_be :
Citation de sublime :
quelle est ta conception de l'abus de faiblesse et en quoi celle-ci ne correspond pas à ton cas ?


Abus de faiblesse : Une femme a urgent besoin d'une relativement importante somme d'argent, sait que j'ai un peu d'épargne, elle me demande de l'aider, je lui dit ok mais on baise d'abord.

Pas abus de faiblesse : Une femme a urgent "besoin" d'argent, sait que j'ai un peu d'épargne, elle me saute dessus, on baise, puis en roucoulant sur l'oreiller me demande de lui prêter de l'argent, que je n'aurais jamais revu (la réputation morale de la dame n'était plus à faire) En l’occurrence le faible, si j'avais accédé à sa demande, ça aurait été moi, probablement jusqu'à épuisement total de mes comptes.

Bon ok pour être vertueusement exemplaire j'aurais pu la repousser, mais merde :oops2:

Les faits incontestables: on a baisé. Comme elle s'est pété la gueule dans l'escalier en repartant elle était pleine de bleus. Elle aurait déposé plainte pour viol avec violences j'étais mal...


Ah mais c’est encore pire et plus dégueulasse que ce que je ne pensais au départ.

Y’a des hommes, comme toi EPE_be, qui donnent envie de faire tout ce que l’on peut pour ne pas leur ressembler. Vraiment dégueu.

On ne voit bien qu'avec les yeux. Le cœur est invisible pour l'essentiel. 

6147
Citation de deozza :
la femme réduite à faire le tapin pour se loger et se nourrir

Le cliché de compét :bave:

Elle ne manquait de rien hein, niveau train de vie j'étais loin derrière

Ex-producteur retraité de la musique en 2016


6148
Citation de KoalaMan :
Y’a des hommes, comme toi EPE_be, qui donnent envie de faire tout ce que l’on peut pour ne pas leur ressembler. Vraiment dégueu.

Mes respects Monsieur l'Abbé. C'est quoi qui te dérange exactement, si tu as bien lu?

Ex-producteur retraité de la musique en 2016


6149
Citation :
Elle aurait déposé plainte pour viol avec violences j'étais mal...

Certes, mais statistiquement c'est une situation qui a extrêmement peu de chances de se produire.
Faut pas oublier que pour une femme, porter plainte pour viol c'est essentiellement des emmerdes...
Les rares fois où les plaintes aboutissent, c'est rarement sans que la victime ne se soit pris des torrents de merde au préalable.

Pour l'ignoble darmanin, les faits sont reconnus, ce qu'il conteste c'est la qualification juridique de viol car pour lui le rapport était consenti et sans contraintes.
Sa ligne de défense : «je lui ai menti car je n'avais pas réellement le pouvoir de lui accorder un logement social»
Super donc on a une double pourriture. C'est classé sans suite ok, mais essayons de se mettre un instant de se mettre à la place d'une femme victime d'abus de violences sexuelles qui voudrait porter plainte... sans parler de la comm de la police qui culpabilise systématiquement les victimes.

C'est bien pratique quand même ce double discours : si elles portent pas plainte elles ont droit au discours «bah fallait porter plainte», si elles portent plainte elles auront droit à «ouais mais c'est les hormones et puis hein elle avait dû le chercher un peu quand même (-clin d'oeil lubrique de gros dégueulasse-)»

Je ne prête pas ce discours a qui que ce soit ici, mais je l'entend régulièrement et les vieux sent-la pisse de finkel & co en font leur beurre

Mon expérience perso n'est certes pas représentative, mais je connais au moins 2 femmes qui ont fait exprès d'attendre la fin de la prescription avant de parler à qui que ce soit des violences sexuelles qu'elles ont subi. Qu'est ce que ça dit de notre société ?

Vous avez 4 heures :oops2:

Two Beers or not two beers... ?

[ Dernière édition du message le 08/03/2021 à 18:28:55 ]

6150
Citation de EPE_be :
Citation de deozza :
la femme réduite à faire le tapin pour se loger et se nourrir

Le cliché de compét :bave:

Elle ne manquait de rien hein, niveau train de vie j'étais loin derrière



Je trouve que tu fais un effet de loupe délirant sur ton cas. Mais soit. Ce n'est pas un abus de faiblesse, visiblement elle n'etait pas faible (en tout cas d'après tes critères).

Citation :
Il se trouve que j'ai eu un jour des rapports sexuels avec une femme alors que j'étais susceptible de pouvoir l'aider à régler certains problèmes personnels. Sauf que c'est elle qui était demandeuse de ces rapports et que, même si je l'avais vu venir, sa demande d'aide n'est venue qu'après ceux-ci.


Tu as eu une relation sexuelle avec une personne, sachant qu'elle allait en profiter pour te demander quelque chose. Tu n'allais pas accéder à sa requête, mais tu as quand meme eu une relation avec elle. Tu as défendu le fait que ce n'etait pas un abus de faiblesse. Il reste encore l'abus de pouvoir. T'en dis quoi là dessus ?

Le chien aboie mais n'invente pas le fil à décongeler le beurre.

Les 6l6, des lampes qui nous éclairaient