Non à l'improsture :)
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Anonyme
je vous propose de faire une impro. vous appuyez sur record et vous jouez. je ne parle pas d'improsture bien sur, c à d la serie de plans que l'on a dans la poche ni de copié/collé mais de jouer et basta..bien sur on peut partir sur une idée de thême qui revient, que l'on reharmonise etc... on se fiche du style, il faut juste un son,guitare, piano..ou pourquoi pas une voix..être honnête avec soi même, laisser les pains, les baguettes( heu..les batteurs peuvent participer) et s'eclater.pourquoi ne pas ensuite partir d'un impro de quelqu'un pour jouer par dessus.....par la suite...
soyez nombreux à participer , il y a un passage dans "y a que la verité qui compte" à gagner !
amicalement.
stillsorry
Hors sujet : Lucarne < tu veux bien faire un énorme bisou à Bernyck que je ne remercierais jamais assez de m'avoir aiguillée ici? Mmerci!
lucarne
Hors sujet : >Still
Oué, pas de problème, c'est clair, un véritable aiguilleur du ciel, Bernyck.
J-Luc
Bernyck> Fais la à Lucas de ma part.
Hors sujet :
J-1 pour les ouacances...
Il y a deux moyens d’oublier les tracas de la vie : la musique et les chats.
Albert Schweitzer
lucarne
Ca marche. J-1 pour les vacances, c'est cool ça...
Bon, ben A+ tous.
Bonne journée.
cecgwen
j'avais flashé sur le son médiéval duc ouple jeanluc-colombo
du coup j'ai emprunté un texte d'Alfred de Musset( j'ai juste fait deux erreurs de texte du coup voici les paroles légèrement transformées ( par erreur)
(ma diction est à revoir, mais bon one shot )
si il y a d'autres voix ou instrus qui ont envie de colorer...
ballade à la lune (alfred de musset) jeanluc/colombo/cecgwen
Ballade à la lune
C'était, dans la nuit brune,
Sur le clocher jauni,
La lune
Comme un point sur un i.
Lune, quel esprit sombre
Promène au bout d'un fil,
Dans l'ombre,
Ta face et ton profil ?
Es-tu l'oeil du ciel borgne ?
Quel chérubin cafard
Nous lorgne
Sous ton masque blafard ?
N'es-tu rien qu'une boule,
Qu'un grand faucheux bien gras
Qui roule
Sans pattes et sans bras ?
Es-tu, je t'en soupçonne,
Le vieux cadran de fer
Qui sonne
L'heure aux damnés d'enfer ?
Sur ton front qui voyage.
Ce soir ont-ils compté
Quel âge
A (ton) éternité ?
Est-ce un (grand) ver qui te ronge
Quand ton disque noirci
S'allonge
En croissant rétréci ?
Qui t'avait éborgnée,
L'autre nuit ? T'étais-tu
Cognée
A quelque arbre pointu ?
Car tu vins, pâle et morne
Coller sur mes carreaux
Ta corne
À travers les barreaux.
Va, lune moribonde,
Le beau corps de Phébé
La blonde
Dans la mer est tombé.
( je vous transcris ma version histoie que si d'autres voix se melent qu'on chante la meme chose, sinon...je peux aussi recommencer..)
Anonyme
J-Luc > allez on continue Bonnes vacances -1
Still >
cec > .................. J'peux pas zécouter !!! et encore moins chanter !!!
free4one
Cette musique colle parfaitement a ta voix (ou bien est-ce le contraire), ceci dit ta voix colle sur tout avec toujours cette originalite vocale du timbre et de l'interpretation qui te caracterise...
Hors sujet : Sinon, je t'avais repondu l'autre jour, as tu eu mon mail ???...
Rien de tres important, je te repondais moi meme a ta reponse c'est tout...
J-Luc
Citation : je te repondais moi meme a ta reponse
C'est récursif, votre truc... (programmeur inside)
Cecgwen> Tu devrais mettre "Colombo" en tête dans le titre, d'ailleurs, parce qu'il est à l'origine de ce morceau avec sa guitare. Je n'ai que modestement mandoliné et bassé.
J'ai écouté... eh ben... y'a des accents de "colchiques dans les prés" par moments. Avec ta voix, ce morceau a un filé, une sorte d'écoulement fluide qu'il n'avait pas à l'origine. Je le mets premier au top 30 de ce thread.
Il y a deux moyens d’oublier les tracas de la vie : la musique et les chats.
Albert Schweitzer
Wiy
Ah!! poésifier avec Musset!! s'il entend, ça doit lui faire plaisir là-haut!
Ballade au soleil
C'était au jour naissant
Sur le muret de pierre
Le soleil,
Comme un rayon réfléchi.
Soleil
Quel oiseau dans le ciel
N'a salué l'éclat
Que t'essaimes dans les prés
Les matins de printemps.
Horloge des saisons
Paradis d'horizons
Où se disent les amours
Nés pour vivre toujours
On dit que tu ne meures
Que pour naître au bonheur
Celui que l'on attend
Chaque an après les pleurs
L'enfant qui te surprend
Glissant loin dans les eaux
Un crépuscule d'été
Voudrait suivre du regard
Ce que cache l'horizon
Là où le ciel se mouille
Ce rouge flamboyant
Qui surprend au virage
Des lacets que je prends
L'été quand je voyage
M'invite à me garer
Au bord de p'tits chemins
Et seulement savourer
Un coucher souverain
La veille éclatant
Le lendemain absent
Tu joues avec la lune
La danse des amants
Réunis un instant
L'espace d'un baiser
La lune tombe dans la mer
Tu pêches sa blancheur d'un "o"
Dessiné depuis la Terre
Jaune, petit bonhomme qui rit
Tous les "o" se donnent le mot et
Ces p'tits soleils rigolos
Retrouvés dans les archives
Des souvenirs et des livres
Nous rappellent
Qu'il se fait tard
Le soleil a rendez-vous avec la lune
Point de baiser dans la nuit brune
Ils s'aiment, se sourient au grand jour
Les douces nuits d'été rallongent
Les enfants sages dans leurs beaux songes
Cueillent des fleurs d'orangers
Qu'ils offrent pour un amour d'été.
Désolée monsieur Musset, je n'ai pas eu la m^me inspiration
free4one
Citation : C'est récursif, votre truc... (programmeur inside)
Oh la la cher J-luc, tu t'adresses a une blonde (Cecgwen) et a un guitariste (moi), s'il te plait n'emploie pas des mots si complexes....
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