Exemples d'albums bien ou mal masterisés

J'ai ré écouté pour la 1ere fois depuis longtemps One Hot Minute des red hot : hohoho c'est du travail de boucher.

C'est incroyable que des types payés aussi cher (je suppose que leur ingé mastering, Stephen Marcussen, n'a pas eu 70 $ pour ce boulot) puissent autant être de gros nuls.

Coffe Shop : environ 1.3db de dynamique.

One Big Mob : 0 db de dynamique, l'aiguille bouge pas tout du long. Ca pompe, ça sature, comme un master réalisé par un amateur venant de découvrir le waves L3 un soir de folie.

Le reste à l'avenant.

Pis alors, outre la comrpession, le master regorge de fréquences médiums pas bien jojos, qui viennent ptet du mixage ceci dit, qui semble lui aussi avoir été fait avec les pieds et à la bonne franquette, par certaisn côtés ça rapelle Metallica.

Faudrait que je ré écoute l'album Blood Sugar, je crois qu'il y a les mêmes défauts. Faut dire aussi que Rick Rubin est à la beauté sonore ce que Caterpillar est aux voitures de luxe.

Pour l'album Californication, là ils avaient fait fort, puisque ça sature sur pas mal de titres, y a de gros gros défauts techniques provenant des prises de son qui ont pas été supprimés ni au mix ni au mastering.

En y repensant, y a d'ailleurs plein de points communs avec Metallica : comme eux, ils font partie de ces très très rares groupes gros gros vendeurs encore en activité, et dont on pourrait penser qu'ils ont l'autorité et e budget pour faire des chefs d'oeuvre sonores, comme les Floyd de la grande époque.

Mais au lieu de ça, les prises de son sont foirées, le mixage c'est de la merde et le mastering digne d'un débutant de 15 ans venant de télécharger la version crackée du multimaximiser L3.

C'est vraiment à se demander si ces types sont pas sourds ou écoutent réellement leurs propres albums.

çCitation :

'est du reggae, pas du métal.

 Vue la tendance actuelle du mastering, le style musical importe peu. Quand on met tout à fond, on met tout à fond.