"Le calva est servi"
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Anonyme


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Main_C



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Anonyme


saxobar


je me sens trés proche de ce genre de point vue

Anonyme


salut les calvanisés!
cette chanson offerte est surtout un gros coup de marketing suivi d'un rescensement pas bête du tout!
c'est gratos mais avec ton adresse mail.

pour moi la gratuité réelle serait de pouvoir télécharger "parachute doré" en tout anonymat en cliquant sur download sans passer par la case nom, prénom et adresse..
ça sent le coup foireux de la part de sa boite de disque!



Anonyme



Anonyme

Citation : Rétablir la confiance des marchés la nouvelle quête du Graal ! Les chefs d'Etat comme les commentateurs économiques du monde entier prononcent tous le même mot magique lors de leurs interventions publiques : la solution de la crise financière passe par un retour à la "confiance" des marchés et ce miracle ne peut être atteint qu'en faisant appel aux ressources publiques (emprunts des Etats et interventions des banques centrales). Or cette « confiance » se révèle aussi peu accessible que le Graal que les chevaliers du XIIème siècle cherchaient en vain et par tous les moyens. Dans cet échec généralisé de communication entre les pouvoirs publics (« Nous garantissons tous les dépôts, toutes les banques, etc. ») et les intervenants économiques (particuliers, entreprises, banques) dans laquelle la parole des uns n'est pas crédible par les autres, l'attitude des deux parties est parfaitement rationnelle. Puisqu'à ce jour les émissions des Trésors semble la seule monnaie acceptée par tous, à l'opposé des obligations portant des signatures moins prestigieuses, les pouvoirs publics se proposent d'en user libéralement pour renflouer les brebis galeuses de la sphère financière. Cependant la confiance, la sainte confiance, ne revient pas, car ceux à qui le discours public s'adresse savent intuitivement que la potion magique n'est pas disponible dans des quantités qui seraient à l'échelle des « actifs toxiques » qu'il faut éliminer du circuit sanguin de la finance. On ne peut s'empêcher de penser à l'histoire des crises financières asiatiques qui ont secoué la planète en 1997. Le FMI n'a accordé son aide aux pays concernés qu'à la condition que ceux-ci prennent des mesures drastiques pour « rétablir la confiance des marchés » et ces mesures ont eu un coût social (chômage de masse, recul des PNB) proprement dévastateurs. Aujourd'hui le « consensus de Washington » qui a motivé les politiques publiques est très largement critiqué, à la fois sur le plan théorique (Joseph Stiglitz étant le plus audible) et sur le plan pratique (la Malaisie qui a préféré une approche d'autarcie économique a payé un coût social moindre. ) S'il faut rétablir la confiance en gardant intact les tabous de la sphère financière, le prix à payer est inévitablement une récession grave et les experts qui commentent la situation actuelle sont unanimes à en prédire l'approfondissement ... sans évidemment pouvoir en évaluer même approximativement les conséquences potentiels sur le plan économique, social et même politique. Les pouvoirs publics se sont donné une tâche totalement hors de portée en considération des moyens dont ils peuvent éventuellement disposer. A partir du moment où la « sphère des obligations financières » représente un multiple (30, 40 que sais-je) de l'économie dite réelle, c'est à dire des PNB des pays concernés, les actifs dits toxiques dépassent largement les capacités d'emprunt des Trésors publics ! Les Etats ont été traditionnellement considérés comme protégés contre une banqueroute éventuelle par leur capacité de pouvoir lever des impôts et faire marcher la planche à billets. L?exemple de l'Islande mais aussi des pays qui ont adopté l'euro, donc abandonné leur droit de « battre monnaie », illustre l'erreur de ce raisonnement. Plus généralement les emprunts publics, même s'ils ne sont jamais remboursés, doivent être rémunérés ; et on voit mal les budgets des Etats augmenter sans limite la pression de leurs fiscalités. De plus une augmentation des emprunts publics peut soudain résulter en une hausse importante des taux d'intérêts et donc générer une nouveau cercle vicieux ainsi qu'une inflation généralisée. L'exemple du sauvetage de l'assureur américain AIG illustre bien le tonneau des Danaïdes que les pouvoirs publics américains se sont donné comme mission de combler. Ayant souscrits des contrats pour « rehausser le crédit » d'emprunts qui ainsi devenaient plus négociables, la société AIG a pris à la légère des engagements portant sur plusieurs centaines de milliards de dollars ... que sa nationalisation partielle a maintenant et à la légère mis à la charge du contribuable américain ! Paulson et compagnie, formés intellectuellement à la logique de la libre entreprise et obligés soudain à gérer une économie étatisée sont à la dérive dans l'océan des erreurs que Wall Street a commis collectivement. On pense à la guerre du Vietnam, dont l'issue fatale était tout simplement inconcevable à ceux qui dirigeaient un pays tout-puissant et qui n'avait jamais dans son histoire perdu une guerre ... Les responsables publics se sont donc engagés dans une voie dont les conséquences paraissent inévitables : une dépression mondiale dont le coût sera astronomique. N'est-il pas possible de concevoir une autre approche qui serait socialement moins douloureuse ? L'exemple des faillites et des redressements judiciaires nous offre une approche dont on pourrait s'inspirer et en particulier en ce qui concerne deux éléments de ces procédures. L'objectif d'abord, celui de permettre la continuité du fonctionnement de l'entreprise, et qui constitue la pierre angulaire de l'édifice. Dans le cas de la crise financière actuelle, il s'agit de donner la priorité à la protection de « l'économie réelle », celle de l'emploi et de l'activité, par rapport au patrimoine des établissements financiers. L'autre élément est l'intervention d'une autorité extérieure, qui pour les redressements judiciaires est représenté par la fonction de l'administrateur judiciaire et qui dans la situation actuelle des marchés financiers en déroute proviendrait des banques centrales et des fonctionnaires des Trésors. Il s'agit donc d'implanter au sein de toutes les banques, compagnies d'assurance, hedge-funds etc. qui seraient en difficulté - et leur intérêts croisés signifient sans doute que pratiquement toutes seraient concernées - des organes de révision-administration dont les pouvoirs seraient illimités en ce qui concerne les investigations - et dont les décisions seraient coordonnées en fonction de directives établies à l'échelle nationale. Les nationalisations partielles britanniques, les prises de participations - en principe non accompagnées de droits de vote - envisagées aux Etats-Unis, font la part trop belle à la liberté de ceux dont les erreurs nous ont précipités dans le gouffre actuel. C'est une véritable économie de guerre qu'il faut proclamer pour sauver les victimes innocentes des gabegies financières que les anciens « maîtres de l'Univers » ont commis. La première étape serait de faire l'inventaire des actifs et passifs des établissements financiers pour mesurer et CLASSER les engagements en cours. Compte tenu de la complexité des produits dérivés qui gonflent les bilans, cette étape est loin d'être simple, mais elle ne devrait pas être hors de la portée des meilleurs cerveaux économiques de la planète. Car l'étape suivante est d'établir une hiérarchie des engagements, cette hiérarchie n'étant pas essentiellement fonction de l'aspect juridique des produits (un prêt sur gage ayant précédence sur un qui ne serait pas sécurisé) mais sur leur proximité à l'économie dite « réelle ». Un engagement envers une entreprise de production ou un particulier aurait naturellement priorité par rapport à des obligations envers d'autres établissements financiers. Nous basculerions ensuite dans la logique des redressements judiciaires : les activités courantes et futures seraient assurées pour maintenir l'activité économique, les autres engagements faisant l'objet d'un étalement dans le temps ... Est-ce une vaste utopie sur le plan juridique compte tenu de la complexité des situations particulières, des difficultés d'établissement de priorités nationales, des obstacles que les constitutions, législations et réglementations en vigueur ne manqueraient pas de poser ? La planète est sur le point de basculer dans un gouffre de misère comparable à celui que la crise des années 30 a fait subir à l'humanité. On connait la suite ... et le moment est venu d'imaginer toutes les autres solutions concevables.

vetjc

- Le mail de Doc sur le pouvoir du cerveau est hhhallucinant...
- Merci à Saxobar. Quand je dis que j'aime parler de politique, c'est avant tout que j'aime parler avec les autres... et je suis trés content que nous n'ayons pas les mêmes avis... Sinon, bonjour le fascisme (J'aime dire que je préfère les brunes...).
- Tout à fait d'accord avec Courmantel sur le méchant coup de pub pour la vieille souche.
- Le dernier mail du Doc... je vais l'imprimer et le lire à la pause dej parce que sur l'écran c'est un peu dense...
@+
Ps : J'adore les maladies infantiles... La varicelle en particulier... (c'était le coup de gueule absurde de la journée... Cherchez Pô c'est le nervous breakdown du jeune pôpa qu'a pô dormi dla nuit... La nuit prochaine c'est ma femme qui se lève... moi je dors...)
« Je crois qu’il faut que vous arrêtiez d’essayer de dire des trucs » Roi Arthur ou Dr Doolittle... au choix...

Cicéro

Bon, j’vais pas ré-alimenter le débat politique maintenant tout d’suite, là (bien que ce ne soit pas l’envie qui m’en manque) ; juste ajouter mon p’tit grain d’sel. Comme d’hâbe, quoi. Et j’vais pas m’attarder là-dessus pasque y’a deux sujets (deux, pas plus) qui font que les meilleurs amis du monde sont capables de se brouiller à mort, pour peu que leurs opinions divergent : la religion et la politique. Et comme j’ai pas envie de me fâcher avec vous...
Toutefois, juste une ‘tite remarque d’un multirécidiviste très impliqué dans la vie citoyenne et politique : plutôt que de dauber sur les politiques, "tous pourris", ou les gröss malheûûûrs de la planète, des petits patrons (sniff) ou des enfants du tiers-monde... que ne prennez-vous pas le manche de la pioche et ne crachez-vous pas dans vos mains pour essayer de faire changer les choses ? La langue ne suffit pas ! Et les forums non plus. "La critique est aisée mais l’art est difficile", certes, mais même si l’espoir semble mince, faut s’enlever les doigts du c.. et aller au charbon. Il n’y a que lorsqu’on milite activement que l’on peut ouvrir sa g....., agir et espérer faire bouger les choses. Un bulletin de vote, çà se mérite aussi. Et surtout, çà se construit... comme le sens politique ! Et l’action citoyenne existe aussi, et surtout. Le reste n’est que bla-bla et arguties de Café du commerce !
Tiens, puis, avant d’aller voir ailleurs, une dernière remarque : on a aussi notre tiers-monde à nous ; le quart-monde on appelle çà hypocritement. Et il est peu-être en bas de chez vous et vous passez sans doute à côté tous les jours sans y prêter attention. Et je peux vous dire que, ceux (et celles) qui en font partie, il n’en n’ont rien à cirer des 850 Mds d’€uros poudre aux yeux dont on nous rebat les oreilles depuis des semaines ; du choix entre une salade de saison venue de chez un producteur local et d’un paquet de Florette dont le traitement et le transports leur paieraient un RMI ; ou de savoir si c’est du Lu ou du Charal... qu’il auront réussi à se mettre sous le chicot. Trouver seulement de quoi manger et s’abriter, au jour le jour, des fois avec les mômes, leur suffit largement. Alors le pays des Bisounours, pour eux, c’est la planète Mars. Et pourtant, ils aimeraient bien croquer un peu dans le gâteau, eux aussi sans qu’on leur demande de lécher des bottes... Et vous savez quoi ? Ni vous ni moi ne sommes à l’abri de les rejoindre... (Je ne pense pas qu’aucun des "abonnés" du Calva fasse partie des quelques centaines de privilégiés


Je pourrais aussi développer sur l’argent et la Dette, dont il s’avère que ni l’un ni l’autre n’existent réellement et que le monde occidental court après une chimère qu'il a lui-même crée et qu’on n’est pas prêts de rattraper (puisque c’est une chimère). Mais là n’est pas le lieu ni l’heure. Car là (comme dirait Nico 1er

Voilà, c’était pas un coup de blues : çà je le garde pour le festival qu’on organise tous les ans à Régnéville-sur-Mer, en mai/juin (pub gratoche ! ;)

Non, plutôt un coup de gueule (pas encore méchant, mais faudrait pas me pousser...)

Ave Calvanisii,Cicero te salutat.

Cicéro



Cà te rappelle quelque chose bien sûr ? !

Bon, je r'tourne à mon "Division bell". P'tain le pied d'exhumer Pink Floyd !... Ah, c'tait l'bon temps...


Anonyme



theau

Citation : ce que vous vous pensez ‘posséder’, ex.: votre maison, parce que vous pensez qu’elle est à votre nom, elle n’est pas à votre nom, donc, vous ne la possédez pas. Le Jeu du Commerce a été installé par l’Élite Global / Banque Mondiale pour confisquer vos fonds et propriétés et pour faire de la population entière des esclaves économique sous leur contrôle complet. La seule voie de sortie de ce désordre c’est de nous enlever du Jeu du Commerce – complètement – afin que nous ne soyons plus dépendants des banksters. Leur ordre du jour est de nous contrôler et de nous détruire. La seule façon de gagner c’est de ne pas jouer. Nous pouvons créer pour nous-mêmes tout ce qui existe en beaucoup plus grand et bien meilleure – amour et lumière, paix et joie, compassion et pardon – ce que nous sommes destinés a Etre, Faire et Avoir. En se souvenant de qui nous sommes nous apprendrons à faire ce qu’on aime faire et servir les autres en nous servant nous même, de cette façon, nous laisserons les banksters hors de notre nouvelle façon de vivre. C’est en train de se passer.
c'est tiré de http://www.bankster.tv/
==> Ca fait un peut théorie du complot... Parano de Café du commerce

Anonyme

Quoiqu'il en soit, ça y est, tout va mieux ! Les bourses se remplissent ;) tout ce beau monde est content, les affaires reprennent, la vie est belle

Et pour vous ?


Anonyme


salut la troupe!
nveau titre en écoute:
https://fr.audiofanzine.com/compos/titres/index%2Cidproduit%2C136106.html
à vos envies d'avis



Cicéro





Citation : ça y est, tout va mieux !
Tout ? Tout ? Alors on est vraiment au pays des Bisounours !...Citation : Les bourses se remplissent
Peux-tu préciser lesquelles Doc ?
(Et çà, théau, c’est pas de la parano ! C’est seulement de la finance basique.)

C’est pour çà que çà me les gonfle, mes bourses à moi, quand je vois et j’entends toutes les concetés qu’on essaye (et qu’on arrive, régulièrement pour certains) de nous faire gober !

Mais autrement, çà pourrait aller mieux. J’ai pas dit : çà pourrait êt’ pire ! Hein ! Quoique...
Allez, restons cyniques.


theau


En tout cas j'ai vraiment l'impression que plus personne ne maitrise quoi que ce soit.
En essayant de nous faire gober toutes leurs conneries, ils ne fonts qu'attiser nos craintes pour la suite. Et là ben ça se grippe.
Et là ben le prochain écran plat financé à crédit, il attendra, hein... Et pis... J'frai bien 1/2 de + aujourd'hui, au taffe. Et c'est p'tet un aut' qui s'ra en redéploiement... Pis merde... finalement il avait raison l'aut' avec sa lubie d'acheter des Napoléons...
En attendant Mc Cain sort son fouet.


Cicéro

Citation : En attendant Mc Cain sort son fouet.
Moi j'préfèrerais qu'i' sorte ses frites... eune fois, alleï.


Anonyme

Citation : "Division bell". P'tain le pied d'exhumer Pink Floyd
rhaaa, exhumer Pink Floyd avec division bell c'est limite pas terrible,


Citation : c'est tiré de http://www.bankster.tv/
==> Ca fait un peut théorie du complot... Parano de Café du commerce
ha oui, enorme ... et c'est bien les marmottes qui mettent le chocolat dans le papier d'alu ...


Anonyme

Citation : "Que ne prennez-vous pas
le manche de la pioche
et ne crachez-vous pas
dans vos mains pour essayer
de faire changer les choses ?
La langue ne suffit pas !
Et les forums non plus.
Mais même si l’espoir semble mince,
faut s’enlever les doigts du c.. "
Je te savais poète, mon bon Cicéro, mais là c'est du grandiose. Allez, faut trouver la musique, et remplacer L'Internationale, ou autre, illico presto, avec cet Hymne fort pourvu.








Cicéro

Citation : pourquoi pas un atom heart mother ou un dark side of the moon
D'ac' a'c toi,PoolP, mais j'avais pas sous l'MP3 au moment où j'écrivais ! C'est bien aussi pourquoi j'ai parlé d'exhumation !
Citation : Je te savais poète, mais là c'est du grandiose
Et voilà, tu sors la phrase de son contesque ! Surtout la dernière. Mais c'est vrai que, me bagarrant (pas seul) sur le terrain pour faire avancer des idées citoyennes, quand je lis des "y'z'ont qu'à, y faudrait qu'ils, çà s'rait mieux si, et, sottise sous le chapeau : tous des pourris (sauf moi, çà va de soi)", çà me hérisse un peu le poil, à moi vieux c.. qui croit toujours en l'Homme. Et comme on dit par ilo : "ch'est plus facil de t'enin la goule ouverte que l'bras tendu !" Alors c'est vrai que j'm'emporte un chouïa et que des mots on dépassé ma pensée (quoi que...) mais, franch'ment, Doc, i' y a pas de quoi en faire... une chanson !

Citation : et remplacer L'Internationale,







* interjection typiquement bas-normande : faudra que j'pense à vous la reservir !


Anonyme

Citation : Bon, on va pas "faire" le Calva sur Floyd, hein, pasque, j'y passe la nuit, sinon...
Pareil, je suis un peu fan quand même, même si je preferes plus l'avant "Dark Side of the Moon" ... et nan nan, c'est pas de la musique de droguée ...




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