Les conneries on stage
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Chouby
Une par exemple : tonton chouboudou monte sur scene et commence a souffler dans le bignou....bizard, on dirait qui sors rien... discretement je sors de la scene et change les piles de mon HF. Je me rends compte alors que j avais pas mis en route mon emeteur... Quel con qd j y repense
lowweek
En fait, le jack instru était mal enfoncé dans la basse. Ca a l'air con comme ça mais c'est vachement pervers car l'embase et la fiche sont serrés (pas de métaphore, bande d'obsédés) : donc on croit qu'on a enfoncé le jack mais non, il faut VRAIMENT le pousser jusqu'à sentir un petit déclic. Et visuellement, c'est à peu près indétectable (qq mm). Et comme je passe toujours le jack par la sangle, il ne tombe pas...
Sinon, un classique : la transpiration OU la buée OU les deux sur les lunettes. Infernal, mais ça fait bien rire tout le monde !
ibraz
Hit !
Citation : pas de métaphore
Hors sujet : Ben... on a rien dit, nous ! Sages comme des images, qu'on est tous sur AF. C'est toi, avec tes allégations (relis la suite de ton récit... Wouaf !)
Jr0001
pilip
Citation : : donc on croit qu'on a enfoncé le jack mais non, il faut VRAIMENT le pousser jusqu'à sentir un petit déclic. Et visuellement, c'est à peu près indétectable
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pek
Un concert de 3 morceau (croyez le ou non...), premier morceau niquel, ma carte son qui se debranche au debut du deuxieme, du coup le groupe enchaine avec le troisieme morceau le temps de rebooter le programme (logic n'a pas aime que ma carte son se debranche...) et on finit par le deuxieme morceau....
Seulement le batteur joue completement decale du click et toutes mes boucles sont dans le vent....
Dernier petit detail, j'avais une machine a fumee a cote de mes pieds (environ 10 cm) j'ai cru que mon mac avait explose au debut du concert
l'nono
ibraz
Al laezh
Un guitariste qui fait une première partie en solo:
Au troisième morceau, il laisse son électrique pour prendre une acoustique. Il change d'ampli, mais laisse son ampli pr son électrique branché. Il joue, et soudain, une jolie fumée toute blanche apparait, de plus en plus importante. Tout le monde lui fait signe, il se retourne, et sans couper son morceau arrive à couper l'ampli. Et il continue imperturbable, chapio l'artiste !
Le pire, c'est qu'après j'ai appris que la même chose lui était arrivé trois semaines plus tôt, jconnais un réparateur qui a du entendre gueuler...
Hit !
Pas à réellement parler une "connerie on stage", mais une qui est pourtant bel et bien arrivée lorsque j'étais sur scène.
Fin des années '80, soirée privée : 10 ans de mariage d'un jeune couple bien sympa et aux parents pas mal friqués. Je leur avais tapé dans l'oeil quelques mois plus tôt lors d'une première partie d'une de leurs vedettes.
Ils avaient tenu promesse et m'avaient appelé pour jouer 3 ou 4 chansons dans le spectacle qu'ils donnaient dans l'après-midi à l'ensemble des 2 familles, avant le repas et la soirée dans l'une des meilleures "salle des fêtes" de la région.
Banlieue lilloise assez huppée, rase campagne.
Intercalé entre les lauréats régionaux d'un councours de danse de salon et juste avant un couple de magiciens, me voici fin prêt à attaquer mon mini-tour de chant.
Connaissant ce genre d'ambiance, j'avais préalablement demandé -ça a toujours été mon seul caprice- que les enfants de moins de 8 ans soient sortis de la salle et qu'on s'occupe d'eux à l'extérieur. En chanson, rien de tel en effet pour vous bousiller votre prestation qu'une floppée de mômes qui se met à courir partout en gueulant pendant votre numéro.
Ainsi donc, quand vint mon heure, les gamins avaient été sortis, et quelques nounous réquisitionnées pour la circonstance leur donnaient le change à grands coups de toboggan.
Au bout de deux ou trois chansons, en voici une que j'ai souvent tenu à exécuter sans aucun micro; j'en suis aux 3/4 que je vois alors rentrer comme un seul homme nounous et piou-pious dans la grande salle-des-fêtes aux cris de "au feu, au feu, y'a l'feu !"...
En dépit de la chaleur supposée, ça vous jette un sacré froid; mon morceau par terre, je le continue néanmoins. Je tente de l'achever, quoi...
Tentant de rester concentré, j'ai quand même la "lucidité" de me rasurer en une fraction de seconde, qu'il n'y a pas d'inquiétude à avoir (j'ai remarqué que la caserne des pompiers est quasi adjacente à la salle : dans mon idée il n'y a donc pas de problème), et je me demande bien pourquoi ces satanés chiards viennent rigoureusement tous faire ici tout leur tapage pour appeler à la rescousse qui son papa, sa maman, mamy, grande soeur, ou cousine, nièce, ami de tantine et tout l'épouvantable reste...
J'arrive à la fin de ma chanson et je m'arrête évidemment là : plus de la moitié des gens était sortie aux appels juvéniles, pour "voir" le truc.
D'ailleurs, le présentateur annonce qu'il y aura une pose -on s'en serait douté, mais bon, pour une fois qu'on en a un qui fait son travail- avant le numéro de transmission de pensée (qui devait enchaîner).
Bah... A mon tour, je sors : et là, je tombe sur le cul : c'était la caserne des pompiers qui prenait feu ! Vous lisez bien : la caserne des pompiers !
L'explication suit (mais nous ne l'apprîmes, pour notre part, que bien plus tard).
Pour ça, il faut évidemment se figurer un petit village de campagne, et non pas le méga-centre de secours avec 25 Berlier neuf comme on en peut avoir sur les grandes agglomérations.
C'était juste une petite caserne (toute mimi, toute fleurie) avec porte en bois fraîchement repeinte par le volontaire avec un reste de peinture (il n'y avait pas deux huisseries strictement de la même couleur) d'un bénévole de circonstance...
Problème : ben il est double :
D'abord, il n'y avait strictement aucun pompier à l'intérieur de la batisse au moment des faits. Nous sûmes + tard que le planton était juste en face, au bistrot, juste équipé d'une "boîte à paté" (un walkie-talkie) !
Ensuite, c'est que c'est pile le moment qu'avait choisi un voisin pour souder je ne sais plus quoi sur son toît, et qui ne s'était absolument pas rendu compte qu'une flamèche ou une étincelle, que sais-je, était tombée dans la cour des pompiers, foutant le feu par propagation à quelques ballots de paille qui se trouvait dans la cour des soldats du feu et commençait, au moment de l'intervention, à entamer carrément la grange à matériel avec la Renault 4 et je ne sais plus trop quoi comme bonbonne d'oxygène et tout le toutim dessous !...
Trop en face de la "caserne", juste séparée d'un petite route pas bien large ( car l'entrée principale se situait derrière, "par les champs" ), les clients du bistrot ne pouvaient absolument pas voir la fumée s'en échapper; quant à l'odeur de paille séchée, de foins ou d'herbes, c'est monnaie trop courante dans ces contrées et en cette saison pour que quelqu'un au village y ait prêté réelle attention...
Dommage que je n'ai pas vu cette scène : j'ai entendu dire qu'il y en a qui étaient entrés dans la cour en criant partout "au feu"... dans une caserne de pompiers désespérément vide...
La vision de l'enfer !
Le gars fut prévenu entre-temps (je ne sais ni comment ni par qui), et eut retrospectivement la peur de sa vie... C'était quand même le minimum pour m'avoir foiré mon numéro, non ?
S'lut.
Lj45
Un petit smiley pour l'occasion :
Zorg0
lowweek
J'ai adoré le coup des ballots de paille sèche stockés près de la caserne
des pompiers. C'est pour pouvoir faire un somme ? Amener les filles ?
Chouby
... tient parlant de ca, c est pas Back stage mais bon c est mon thread. Papi et mami bien crames lors d un mariage. V la tit qu il se lance dans un rock. Malheureusement, la salle etait a 2 niveaux et ils ont pas v les marches
Will Zégal
Oui, je dis bien les puisque ce jour là, le restau qui comportait deux salles bien séparées recevait deux mariages dans les deux salles.
Les salles étaient vraiment séparées : en fait, deux ailes du restau auxquelles on accédait par l'entrée.
A un moment, malheureux hasard, en allant aux toilettes, le marié d'une des noces croise la mariée de l'autre noce.
Il reconnaît son ancienne copine. Son grand amour de jeunesse. Ils commencent à discuter, évoquer les vieux souvenirs. Quelques proches potes arrivent et s'incrustent. Puis des parents. Et les proches et les parents des autres mariés. Et les autres mariés qui trouvent que ça commence à bien faire et qu'il faut retourner chacun à sa noce.
Moralité : baston générale entre les deux noces et les deux tourtereaux qui se sont tirés ensemble quand ça a commencé à chauffer.
Il a fallu l'intervention des gendarmes et tout la tahouin.
Goum Le Chat
Cox
ILs ont été demandés pour un mariage top classe dans un château, vraiment super huppé. Ils montent, balancent, etc. La mère de la mariée arrive, se présente, et leur dit "vous jouez ce que vous voulez, mais surtout pas de musette!"
Tronche interloquée de mes potes, qui demandent "mais vous voulez quoi, alors?" Elle "je ne sais pas, quelque chose pour faire danser les gens, ils sont assez âgés..." Eux: "des valses, tangos, ce genre de trucs?" Elle "oui, très bien, mais surtout, pas de musette"! Et la voilà partie vaquer à l'organisation du reste.
Grand moment de doute existentiel, on peut l'imaginer. Les invités déboulent, le repas se déroule normalement, puis vient le moment de jouer... Mes potes font ce qu'ils savaient faire: du musette... Tout le monde danse, passe une bonne soirée, et à minuit, tout le monde au lit!
Le mère de la mariée revient: "merci et bravo, c'est exactement ce que je voulais"!
Ce qu'elle voulait dire par "surtout pas de musette"? Ca restera pourtoujours un grand mystère!

Hit !
Citation : C'est pour pouvoir faire un somme ?
Hors sujet : lorsqu'ils n'étaient pas rassemblés, ces ballots servaient de "parcours initiatique" (à vélo) pour les enfants -les pompiers ou les gendarmes les déplaçaient parfois dans les écoles-, histoire de les sensibiliser les mômes au code de la route (la plupart étaient équipés de panneaux en carton).
Vu le nombre d'anecdotes qu'on a à se raconter (pas forcément en rapport avec la musique, du reste), je m'en vais de ce pas ouvrir un nouveau topic : LES CONNERIES... PUBLIQUES. Je vous réserve d'emblée (mais laissez-moi le temps de l'écrire) une anecdote croustillante, et vous y attends en me tenant les côtes à l'avance...
A tout à l'heure...
C'est là :
/le-pub-des-gentlemen/forums/t.156310,les-conneries-publiques.html
Minitoi
perso c'est pas vraiment une connerie, mais bon...
Etant dj amateur, je fais de temps en temps quelques soirées. Ce que je préfère (ça peut paraitre sadique mais bon !) c'est passer un tube qui a 3-4 ou 5 ans (du genre manau, ou des trucs comme ça). Ce qui est bien sympathique, c'est au début de la chanson, quand personne reconnait, que tout le monde s'arrete de danser et se retourne vers moi avec une tête du genre "mais qu'est ce qu'il fout bon sang !". Moi je les regarde avec un grand sourire, et quand vient le refrain tout le monde me remercie... !
ibraz
ibraz
un problème de matos qui vieillit pas bien...
on partage notre local de répète à plusieurs groupes, parcequ'on a pas les moyens d'avoir tout le matos, hier, j'y vais avec mon groupe, je branche ma gratte sur mon apli préféré (un truc bizzare avec 3 canaux indépendants... bref, je joue et j'entend un grésillement pas très naturel... c'est pire avec la disto... je regarde l'equalizer de l'ampli, et en baissant les yeux pour voir si la pile de la disto marchait bien, j' m'aperçois que le hp est fendu... j'étais dégouté!!!
je sais qui l'a pété... c'est le groupe d'avant qui a deux bassistes, comme l'ampli basse est en réparation ils ont du se brancher sur mon ampli, et ils l'ont pété... c'est dégeulasse, il m'a suivi dans tous mes concerts celui la...
Lj45
t-tuxx
lets rock
Y en a je vous jure...
ibraz
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