Les conneries on stage
- 24 093 réponses
- 1 184 participants
- 2 681 113 vues
- 1 165 followers
Afficher le sujet de la discussion
- Bien qu'une heure ("une heure seulement", jacquesbrèlerais-je), encore et pour le dire ainsi ça ne ruine pas forcément le projet de tout un disque.
Mais Live (Alive devrais-je dire), c'est vraiment... très... cuisant.
Bah, même du temps d'Amsterdam, 'fallait faire avec.
Ou, + exactement : sans.
Dans les 2 cas (Koko' et Soso') les bougres étaient sérieusement équipés, parfois mieux que les ministres et Bécaud en premier (souvent avant Claude François dans ce domaine).
Mébon.
Nous, on n'est pas des veu-heudettes.
" 'Faut faire avec "...
Un GPS n'est pas toujours en faute
Fichtre, quelle série! Belle démonstration de la loi de Murphy 
...KoalaMan
19513
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 20 ans
J’ai eu le coup des villes dans le même département qui ont des noms proches, mais qui font que t’es en retard d’une heure à l’enregistrement.
On ne voit bien qu'avec les yeux. Le cœur est invisible pour l'essentiel.
Hit !
22470
Vie après AF ?
Membre depuis 19 ans
- Bien qu'une heure ("une heure seulement", jacquesbrèlerais-je), encore et pour le dire ainsi ça ne ruine pas forcément le projet de tout un disque.
Mais Live (Alive devrais-je dire), c'est vraiment... très... cuisant.
Citation :
Je n'imagine même plus comment on faisait avant, pour trouver une salle au fond d'une sombre banlieue de Hambourg ou d'ailleurs...
Bah, même du temps d'Amsterdam, 'fallait faire avec.
Ou, + exactement : sans.
Dans les 2 cas (Koko' et Soso') les bougres étaient sérieusement équipés, parfois mieux que les ministres et Bécaud en premier (souvent avant Claude François dans ce domaine).
Mébon.
Nous, on n'est pas des veu-heudettes.
" 'Faut faire avec "...
sonicsnap
85221
AF, je suis ton père
Membre depuis 18 ans
KoalaMan
19513
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 20 ans
Mes premiers cachets, j’avais encore une carte Michelin, et je demandais aux autochtones les directions, quand c’était nécessaire.
C’est vrai qu’on en fait, des bornes, quand on est musicien. J’avais un copain tromboniste (mais sympa quand même) qui répondait, quand on lui demandait son boulot « je suis routier, et des fois je joue de la musique ».
C’est vrai qu’on en fait, des bornes, quand on est musicien. J’avais un copain tromboniste (mais sympa quand même) qui répondait, quand on lui demandait son boulot « je suis routier, et des fois je joue de la musique ».
On ne voit bien qu'avec les yeux. Le cœur est invisible pour l'essentiel.
Archion
1406
AFicionado·a
Membre depuis 14 ans
Citation :
tromboniste (mais sympa quand même)
Al1r
2265
AFicionado·a
Membre depuis 17 ans
Hors sujet :
Comme
https://fr.wikipedia.org/wiki/Lourde_(Haute-Garonne)
et https://fr.wikipedia.org/wiki/Lourdes
Un GPS n'est pas toujours en faute
AL1
[ Dernière édition du message le 04/10/2020 à 20:33:22 ]
Jo²
248
Posteur·euse AFfiné·e
Membre depuis 21 ans
Connerie on (preparation de) stage.
Nous partîmes à 6 saltimbanques de la même corporation pour un spectacle, claironné par les héraults amis pour le 20 mars 2020. Que pouvait-il se passer de mal ?
Jusqu'au 15 mars, quelques menues répétitions nous permirent, malgré un batteur à l'autre bout du monde d'acquérir une aisance sur nos 8 morceaux. La prétention n'éstoit que de faire plaisir à un public ami de notre simple connaissance, il nous fallait quand même "assurer un minimum", tel que le disent les jouvenceaux.
Un méchant virus vint nous confiner et par la même le concert annuler...
Que cela ne tienne, le concert au 16 octobre fut remis et nous revoilà reparti.
Seulement sur le chemin, moultes surprises nous ont atteint.
Icelui collègue guitariste éléctrique/chanteur que moral et travail contraignent à l'abandon, tel autre, bassiste, chargé de lourdes responsabilités point ne pourra se libérer pour avec nous répéter...
Diantre, nous sommes courageux et malgré ces déboires, ça passe, si la formation on change un peu. De l’originale nous sommes un batteur, un clavieriste, une choriste et un guitariste acoustique chanteur.
Icelle se propose de prendre la basse et quelques menues chansons en voix principale, icelui qui l’acoustique martyrisait à l'électrique va faire mal. Quand aux 40 min à jouer, le retrait certains poèmes nous oblige à quelques morceaux rajouter.
Et surtout répéter… Tout allait bien dans le meilleur des mondes révé...
La première répète sans batteur se fit , car à l’heure dite son suzerain une tâche non prévue lui mit. Les deuxième et troisième répètes se firent dans des conditions sublimes, mais à la troisième, le clavier pour otite carabinée nous perdîmes.
Votre serviteur, guitariste, se fracturant le coude sur les pavés, la répétition suivante dut être décalée le temps de s’assurer de sa mobilité. Ce qui suffit pour que le sus-mentionné clavieriste découvre avec horreur que son colocataire était atteint de cette maladie si triste, le contraignant à rester enfermé et espérer au jour du concert être libéré.
Les deux dernières répétitions se firent donc sans notre cher tritureur de son, qui de son coté travaillait des morceaux jamais joués en chaussons.
L’avant-veille du jour fatidique, une annonce gouvernementale de couvre-feu nous fait nous sentir mal… Mais par miracle nous passons entre les gouttes, à un jour prêt, on allait se faire foutre.
Vint le vendredi, notre enfonceur de touche est libéré, le test l’ayant disculpé. Nous arrivons sur les lieux de notre forfait mais le batteur s’est encore fait piégé. C’est bien après les balances qu’il sera libéré de cette exploitation à outrance…
Mais pour finir, sur scène nous n’avons pas eu trop à rougir ! Le plaisir d'avoir réussi à jouer malgré tant d'adversité, au public s'est communiqué.
Nous partîmes à 6 saltimbanques de la même corporation pour un spectacle, claironné par les héraults amis pour le 20 mars 2020. Que pouvait-il se passer de mal ?
Jusqu'au 15 mars, quelques menues répétitions nous permirent, malgré un batteur à l'autre bout du monde d'acquérir une aisance sur nos 8 morceaux. La prétention n'éstoit que de faire plaisir à un public ami de notre simple connaissance, il nous fallait quand même "assurer un minimum", tel que le disent les jouvenceaux.
Un méchant virus vint nous confiner et par la même le concert annuler...
Que cela ne tienne, le concert au 16 octobre fut remis et nous revoilà reparti.
Seulement sur le chemin, moultes surprises nous ont atteint.
Icelui collègue guitariste éléctrique/chanteur que moral et travail contraignent à l'abandon, tel autre, bassiste, chargé de lourdes responsabilités point ne pourra se libérer pour avec nous répéter...
Diantre, nous sommes courageux et malgré ces déboires, ça passe, si la formation on change un peu. De l’originale nous sommes un batteur, un clavieriste, une choriste et un guitariste acoustique chanteur.
Icelle se propose de prendre la basse et quelques menues chansons en voix principale, icelui qui l’acoustique martyrisait à l'électrique va faire mal. Quand aux 40 min à jouer, le retrait certains poèmes nous oblige à quelques morceaux rajouter.
Et surtout répéter… Tout allait bien dans le meilleur des mondes révé...
La première répète sans batteur se fit , car à l’heure dite son suzerain une tâche non prévue lui mit. Les deuxième et troisième répètes se firent dans des conditions sublimes, mais à la troisième, le clavier pour otite carabinée nous perdîmes.
Votre serviteur, guitariste, se fracturant le coude sur les pavés, la répétition suivante dut être décalée le temps de s’assurer de sa mobilité. Ce qui suffit pour que le sus-mentionné clavieriste découvre avec horreur que son colocataire était atteint de cette maladie si triste, le contraignant à rester enfermé et espérer au jour du concert être libéré.
Les deux dernières répétitions se firent donc sans notre cher tritureur de son, qui de son coté travaillait des morceaux jamais joués en chaussons.
L’avant-veille du jour fatidique, une annonce gouvernementale de couvre-feu nous fait nous sentir mal… Mais par miracle nous passons entre les gouttes, à un jour prêt, on allait se faire foutre.
Vint le vendredi, notre enfonceur de touche est libéré, le test l’ayant disculpé. Nous arrivons sur les lieux de notre forfait mais le batteur s’est encore fait piégé. C’est bien après les balances qu’il sera libéré de cette exploitation à outrance…
Mais pour finir, sur scène nous n’avons pas eu trop à rougir ! Le plaisir d'avoir réussi à jouer malgré tant d'adversité, au public s'est communiqué.
[ Dernière édition du message le 24/10/2020 à 23:59:20 ]
Light'UP!
1575
AFicionado·a
Membre depuis 5 ans
Fichtre, quelle série! Belle démonstration de la loi de Murphy Will Zégal
75104
Will Zégal
Membre depuis 22 ans
Light'UP!
1575
AFicionado·a
Membre depuis 5 ans
- < Liste des sujets
- Charte