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Sujet Les conneries on stage

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Sujet de la discussion Les conneries on stage
Alors voila.. ici , c est pour expliquer a la populazione de Back/on stage toute les conneries qui vous etes arrive... Faites peter !

Une par exemple : tonton chouboudou monte sur scene et commence a souffler dans le bignou....bizard, on dirait qui sors rien... discretement je sors de la scene et change les piles de mon HF. Je me rends compte alors que j avais pas mis en route mon emeteur... Quel con qd j y repense :lol: ...
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Citation de Fossoyeur Jhonson :
J’ai bien sûr été viré sur le champ des événements de la boîte

Alors perso, ne plus bosser pour des branquignoles, je prends ça comme un magnifique avancement. :bave:
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Comme quoi, "Les conneries on stage", ce n'est pas toujours une partie de rigolade. Pourtant, on ne saurait être mieux dans le sujet..
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Citation de sonicsnap :
"Les conneries on stage", ce n'est pas toujours une partie de rigolade.

Oooooooh oui. :| J'en ai enquillé deux à la suite dans le même... "concert" une fois. Mais je suis assez spécial. Certains savent ici que je suis organiste, et s'il existe des cérémonies heureuses, comme un mariage, il en est aussi des tristes, comme un enterrement. Et quand l'organiste se plante d'Alleluia (hein? on avait pas dit qu'on prenait le Taizé?), ou enquille le chant de communion 3 tons trop haut parce qu'il a malheureusement oublié la recommandation express de la chef de chant de descendre de 3 tons, ça met une pagaille dans la cérémonie qui ne fait rire personne. Hélas.

T'es pas obligé d'écouter toutes les conneries de DaRinze.

[ Dernière édition du message le 28/12/2023 à 10:19:45 ]

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Citation de sonicsnap :
Comme quoi, "Les conneries on stage", ce n'est pas toujours une partie de rigolade. Pourtant, on ne saurait être mieux dans le sujet..


Franchement c’était certes pas si fun sur le coup mais quand j’y repense je trouve ça plutôt drôle :mrg:

"When someone says, “We’re going to play funky,” about 99% of the time it isn’t funky. I call it the “f word” now."

Bobby Vega

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Oui, quand ce genre de situation se produit, on peut toujours se consoler en pensant: "dans dix ans, on en rira"..
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Dans la série c'est -pas-fun-du-tout-mais-le-coeur-y-est, on s'était retrouvés il y a deux ans à jouer - melski44 qui était présent n'hésitera pas à compléter - à la cérémonie de dispersion des cendres de mister delucq, un AFien bien connu dans certaines de ces colonnes.

Le contexte est posé : ça ne va pas être une journée spécialement joyeuse. La cérémonie se déroulait l'après midi dans un bois privé loin de toute civilisation avec 3 barnums pour seuls abris. On doit brancher tout le matos sur un groupe électrogène. Autant dire qu'on allait serrer bien fort les fesses pour que ça tienne le temps de la représentation. De plus le temps n'était pas à la fête (grosse alerte orange tempête prévue dans l'ouest de la France de 15h à 6h du matin). Et pour couronner le tout j'ai chopé une énorme crève la veille.

On arrive sur place le matin, une espèce de grand dadet se pointe en qualité de "spécialiste du son" et montre sa "sono" qu'il vient d'apporter : les premiers essais montrent rapidement que ça ne va pas le faire, l'enceinte étant hors d'âge et incapable d'amplifier pour se faire entendre d'environ 300 personnes. On lui explique gentiment qu'on va trouver une autre solution et finalement - je passe les détails - quelqu'un finit par dégoter une vraie sono, du moins de quoi brancher deux grattes et deux ou trois micros . On perd deux bonnes heures mais ouf.

On est 5 ou 6 zikos avec 4 morceaux à jouer intercalés entre les discours des proches de Xavier. On n'a pas eu vraiment le temps de faire les balances ni de check son (et encore moins de répète). Et pourtant notre représentation se passe plutôt bien. On a même droit à une légère accalmie de la météo.

Tellement bien qu'un couillon, en l'occurence moi, sur le dernier morceau ou j'étais aux percus (cajon, derbouka), qui "débranche" complètement le cerveau sur la dernière partie tout en ostinato ; avec la fièvre, le stress, le froid, le côté solennel du moment, je rentre dans une sorte de transe, je perds le fil du morceau et m'emmêle dans mes percus, je mets bien deux mesures à me recaler :facepalm::mrg:

Le reste de la journée s'est "bien" passé, et un boeuf s'est improvisé pendant l'apéro. Je garde un très beau souvenir de ce moment chaleureux, même si évidement on aurait préféré fêter une autre occasion.
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C'est souvent le cas : sur le moment c'est la grosse angoisse, mais après c'est la grosse rigolade. Bon le "après" reste incertain et variable en termes temporels, parfois il faut attendre longtemps avant de transcender le traumatisme. La "résilience" que ça s'appelle en psychologie :bravo:

Putain Walter mais qu'est-ce que le Vietnam vient foutre là-dedans ?

[ Dernière édition du message le 28/12/2023 à 17:58:44 ]

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Deux minutes de difficultés dans un morceau ne peuvent pas gâcher une belle cérémonie. Dans l'ensemble vous avez assuré, semble-t-il..
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Effectivement, c'était un moment très émouvant ces adieux à Delucq, et en même temps un moment chaleureux et remplie de la joie d'être ensemble. On a improvisé une jam/karaoké avec notre bande de joyeux drilles, dont un des zikos sait tout jouer ou presque, à la note près (qu'est-ce que c'était bien d'entamer des morceaux de Toto avec les solos de synthé chantés ^^)

Mes compositions (y compris les compos collectives et inspirées d'AF !) 

Mes démos de matos : Soundcloud - Youtube

Mon groupe Montoya

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