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Sujet Les conneries on stage

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Sujet de la discussion Les conneries on stage
Alors voila.. ici , c est pour expliquer a la populazione de Back/on stage toute les conneries qui vous etes arrive... Faites peter !

Une par exemple : tonton chouboudou monte sur scene et commence a souffler dans le bignou....bizard, on dirait qui sors rien... discretement je sors de la scene et change les piles de mon HF. Je me rends compte alors que j avais pas mis en route mon emeteur... Quel con qd j y repense :lol: ...
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Concert ce week end, après un changement de gratte, l'ampli qui reste en stand-by toute une chanson... j'ai attendu la fin de la chanson pour renvoyer la sauce parce que j'aurais eu l'air con, ça ce serait trop entendu... ça n'arrive pas qu'à moi dites!??! :volatil: :oops2: :oops:
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J'ai vu les wampas en concert cet été et je suis tout a fait sûr que le deuxième guitariste a fait tout le set avec son Marshall éteint. Non seulement on l'entendait pas, mais en plus y'avait aucun voyant d'allumé... chelou

Raphaël Raymond, Compositeur, Arrangeur, Guitariste : http://www.raphaelraymond.fr 

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Il a peut-être peur que le public se foute de lui parce qu'il ne sait pas jouer :noidea:
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En fait, c'était un flic chargé de surveiller les musicos incognito... :ange:

Malgré tous les progrès scientifiques, force est d'admettre que le pet reste quelque chose qui nous échappe...

http://www.cubamericas.com

http://www.ecoledeviolon.com

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Ou bien il reçoit res ronds par Marshall, et il avait son Mesa Boogie planqué backstage :clin:
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Possible aussi :mdr:
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Ou alors l'a la loupiotte qu'a lacher !

J'ai ça sur le mien (de temps en temps), et c'est galère de savoir s'il est allumer pour le préchauffer (apres, ça s'entend!)

Référence en matière de bon gout capillaire et vestimentaire.
homme à tête de zizi.

http://soundcloud.com/djardin

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On ne dira jamais assez l'influence des Méga-bougies sur les lampes éteintes des Marchmall...


Bon.

J'vous en raconte une de y'a longtemps. C'est en lisant un thread où il fut vaguement question de chasseurs qu'elle m'est instantanément revenue en mémoire.

J'avais été averti par la direction de l'établissement que ma date de gala, retenue de longtemps, était une date qui finalement avait été majoritairement réservée par des chasseurs pour leur repas annuel.
Bon.
Bah... j'suis pas raciste, hein : va donc pour les chasseurs :bravo: .

Mouaip...

Dans la bagnole, je réfléchis à deux ou trois vannes que je pourrais lancer ( pas des histoires lourdingues, hein : juste des "allusions en forme de clin d'oeil" ) pour intervertir avec celles que je place généralement dans les spectacles, histoire de détendre et de rassurer un peu le client, souvent surpris en Chanson par des interprétations "en force".

L'heure a sonné, je démarre mon numéro.

Au bout de deux titres, une 'tite allusion aux clairons, aux sonneurs, au gibier ou je ne sais plus quoi qui faisait naturel...
Tiens !... Ca décolle pas...

J'en remets une couche deux ou trois chansons plus tard avec mes p'tites intentions sympathiques à l'égard de ces chasseurs et de leurs conjointes; rien n'y fait !

'Tain... J'suis pourtant pas + mauvais que la veille -j'me sens d'ailleurs plutôt en forme-; et eux non plus au départ ne semblent pas plus mauvais que les clients d'hier !...
Et pourtant, au lieu qu'eux et moi ne partions crescendo, là je commence à prendre carrément l'eau de partout, les clap-clap se faisant de + en + timides, je me souviens que ça discutaillait même tout au fond là bas...

Mais quand on est jeune, on ne sait pas qu'il faut immédiatement changer sa stratégie et repartir directement sur celle qu'on installe, qu'on apprend au fil du temps et qui finit toujours par faire mouche avec la pratique. Ne plus jamais rien changer à une recette qui a bien fonctionné une fois.

Donc, comme un con, quitte à sombrer, je porte l'estocade : et vas-y que j'y vais de mes allusions directes à ce bon St-Hubert -patron des chasseurs-, avec l'oeil sucré qui vient directement travailler à table les malveillants (quand j'y repense, quel métier de con, quand même !), j'écourte ainsi de beaucoup la durée du naufrage, reviens au triple-galop au centre de la scène et fais la demande discète à la régie qu'on passe un disque en toute urgence (surtout pas le mien, contrairement à d'habitude).

Je me réfugie en cuisine, je suis consterné.
Pensez bien que je ne reviens pas saluer, je fais signe au patron -qui a déjà le micro à la main dans un coin planqué de la scène- de ne pas redire mon nom.
Je suis vexé.
Je ne comprends pas ce qui vient de se produire. Lui non plus...

Tant pis si mon costard de scène doit sentir demain la friture et les fruits de mer plutôt que le cigare : je ne veux plus me montrer en salle (c'est qu'on a sa fierté sur les 25 ans), je fais naturellement encore moins l'effort d'essayer d'aller refourguer le moindre disque. Je ne rentrerai ce soir qu'avec mon cacheton.

Un serveur m'entendant là me plaindre en attendant son prochain plat, c'est donc en cuisine que j'apprends... que... les clients qu'on m'avait présentés comme étant des chasseurs étaient en réalité des gens de je ne sais plus quelle ligue... protectrice des animaux !...
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