Sujet Les conneries on stage
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Le coup de la vilaine claque sur scène me fait repenser à une autre anecdote.
Lors des élections présidentielles de '81 (1981, hein, pas au 19ème), je m'étais mis en tête d'aller voir tous les candidats en meeting sur Lille où j'habitais alors.
Pour Mitterrand, z'avaient fait les choses en grand, presque à l'américaine.
En anglaise les ténors locaux (Mauroy), et en lever de torchon une personalité qui devait sombrer quelques temps + tard en la personne de Dalida.
Vas-y qu'elle nous gratifie de "Jiji l'amoroso" (Pardonnez l'orthographe).
A un moment de la chanson, ça fait : "Et quand il arrivait, la foule s'écriait..." (et là, elle fait en l'occurrence la bêtise de tendre l'oreille avec un grand sourire de spectacle en attendant que ladite foule reprenne avec elle son refrain).
Mais, contrairement à l'habitude d'un public discipliné et conquis venu expressément l'acclamer, la salle s'est mise à scander à tout-va "Mitterrand président, Mitterrand président" jusqu'à la fin de son titre.
Irrespectueux; mais finalement assez drôle, grâce au recul et à la notoriété de l'artiste, qui n'avait (hélas !) plus rien à prouver pour s'imposer.
enfoiré !
Hit !
22419
Vie après AF ?
Membre depuis 19 ans
Hors sujet : spagravdutou.
Zappons 
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Le coup de la vilaine claque sur scène me fait repenser à une autre anecdote.
Lors des élections présidentielles de '81 (1981, hein, pas au 19ème), je m'étais mis en tête d'aller voir tous les candidats en meeting sur Lille où j'habitais alors.
Pour Mitterrand, z'avaient fait les choses en grand, presque à l'américaine.
En anglaise les ténors locaux (Mauroy), et en lever de torchon une personalité qui devait sombrer quelques temps + tard en la personne de Dalida.
Vas-y qu'elle nous gratifie de "Jiji l'amoroso" (Pardonnez l'orthographe).
A un moment de la chanson, ça fait : "Et quand il arrivait, la foule s'écriait..." (et là, elle fait en l'occurrence la bêtise de tendre l'oreille avec un grand sourire de spectacle en attendant que ladite foule reprenne avec elle son refrain).
Mais, contrairement à l'habitude d'un public discipliné et conquis venu expressément l'acclamer, la salle s'est mise à scander à tout-va "Mitterrand président, Mitterrand président" jusqu'à la fin de son titre.
Irrespectueux; mais finalement assez drôle, grâce au recul et à la notoriété de l'artiste, qui n'avait (hélas !) plus rien à prouver pour s'imposer.
Hors sujet : Le Carnaval des animaux 
Quand je pense qu'il ne voulait pas qu'on l'édite : il l'avait juste fait pour des enfants... Deux des siens sont morts, pauvre et immense Camille Saint-Saëns...
Anonyme
521410
Tu sais toilb...
un jour je fus contraint par qq "amis" d'aller voir je ne sais quel "rocky" dans un cinéma de grande surface de banlieue.
et bien la salle insultait le méchant et encourageait rocky !!!
et à la fin elle criait des hourras pour stallone et gueulait des "bien fait pour ta gueule, connard" au méchant !!!
en film !
alors tu peux dire à ta gamine qu'elle a un rôle difficile qui nécessite d'avoir des couilles... mais que la réaction de la salle prouve qu'elle est une putain de bonne actrice !
et qu'elle ira loin.
un jour je fus contraint par qq "amis" d'aller voir je ne sais quel "rocky" dans un cinéma de grande surface de banlieue.
et bien la salle insultait le méchant et encourageait rocky !!!
et à la fin elle criait des hourras pour stallone et gueulait des "bien fait pour ta gueule, connard" au méchant !!!
en film !
alors tu peux dire à ta gamine qu'elle a un rôle difficile qui nécessite d'avoir des couilles... mais que la réaction de la salle prouve qu'elle est une putain de bonne actrice !
et qu'elle ira loin.
Hit !
22419
Vie après AF ?
Membre depuis 19 ans
J-Luc
6112
Modérateur·trice thématique
Membre depuis 21 ans
Allez, une ch'tite connerie de bord de scène :
Samedi, mon épouse et moi (nous jouons dans le même groupe) arrivons un peu en avance, vers 18H, à la salle des fêtes... non, pardon, au centre socio-culturel près de Niort pour le bal folk du soir. En attendant le troisième membre du groupe qui amène la sono, nous nous asseyons au bord de la scène assez haute, jambes pendantes, accordéons diatoniques sur les genoux et jouons pour les quelques personnes qui installent les tables autour de la salle. Jusqu'à ce que nous apercevions le 806 du "chef" se garant devant la salle. On pose les instruments à côté de nous et on se laisse glisser par terre. Et là, on entend un "schrrrick" discret mais explicite : il y avait deux petit clous plantés en bord de scène qui dépassaient et ma moitié venait de déchirer son jean sur 20 bons centimètres . Etonnement puis crise de rigolade, elle a passé la soirée avec son écharpe à la ceinture pour tenter de masquer la poche arrière arrachée et le tissu baillant. Contrairement à d'autres fois, elle n'est pas descendue dans la salle pendant le bal pour expliquer les danses... 
Samedi, mon épouse et moi (nous jouons dans le même groupe) arrivons un peu en avance, vers 18H, à la salle des fêtes... non, pardon, au centre socio-culturel près de Niort pour le bal folk du soir. En attendant le troisième membre du groupe qui amène la sono, nous nous asseyons au bord de la scène assez haute, jambes pendantes, accordéons diatoniques sur les genoux et jouons pour les quelques personnes qui installent les tables autour de la salle. Jusqu'à ce que nous apercevions le 806 du "chef" se garant devant la salle. On pose les instruments à côté de nous et on se laisse glisser par terre. Et là, on entend un "schrrrick" discret mais explicite : il y avait deux petit clous plantés en bord de scène qui dépassaient et ma moitié venait de déchirer son jean sur 20 bons centimètres
. Etonnement puis crise de rigolade, elle a passé la soirée avec son écharpe à la ceinture pour tenter de masquer la poche arrière arrachée et le tissu baillant. Contrairement à d'autres fois, elle n'est pas descendue dans la salle pendant le bal pour expliquer les danses... Il y a deux moyens d’oublier les tracas de la vie : la musique et les chats.
Albert Schweitzer
J-Luc
6112
Modérateur·trice thématique
Membre depuis 21 ans
RAS au bal d'hier soir, pété deux cordes sur l'Ovation, Sol et Si. Je savais qu'il était temps de les changer (4ème bal...) mébon... Ce qui est rigolo c'est mes deux camarades de jeu qui cherchent aussitôt dans le répertoire un truc qui nécessite plein d'explications pour me laisser le temps de changer la fautive. 
Il y a deux moyens d’oublier les tracas de la vie : la musique et les chats.
Albert Schweitzer
Will Zégal
74972
Will Zégal
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enfoiré !Anonyme
3027
J-Luc
6112
Modérateur·trice thématique
Membre depuis 21 ans
Anonyme
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D@d@m
1451
AFicionado·a
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