Se connecter
Se connecter
Créer un compte

ou
Agrandir
Ajouter ce produit à
  • Mon ancien matos
  • Mon matos actuel
  • Mon futur matos
Audient MICO
Photos
1/108

Test du Mico de Audient

Préampli à transistors de la marque Audient

Prix public : 479 € HT
Test écrit
Glace goût préampli

Quand une marque aussi sérieuse que Audient sort un double préampli micro avec circuit simulateur de tubes, réglage de phase variable et sorties numériques à 750 € TTC, on se dit que ce genre de produit peut intéresser plus d’un home-studiste. Alors, déception ou révélation ?

 

Mico

Le Mico, puisque c’est le nom de l’en­gin, se présente dans un boîtier large d’un demi-rack assez profond et haut d’une unité. Un produit compact et léger qui pren­dra peu de place dans un home-studio à l’es­pace compté et s’em­por­tera faci­le­ment avec une solu­tion d’en­re­gis­tre­ment nomade.

Évidem­ment, l’ali­men­ta­tion est externe, mais pas de transfo-prise ici, si incom­mode. C’est un câble avec prise deux broches qui vient rejoindre un petit boîtier lequel alimente le Mico par un fil de bonne longueur. On peut regret­ter que Audient n’ait pas jugé bon d’in­té­grer à sa façade des poignées, fussent-elle amovibles, pour préser­ver les contrôles lors de trans­ports. Si ceux-ci sont fréquents, il faudra mieux offrir un écrin à son Mico. D’au­tant que celui-ci mérite des égards : son esthé­tique est parti­cu­liè­re­ment réus­sie avec un look pro sans l’aus­té­rité géné­ra­le­ment de mise. Avec sa façade en métal brossé, ses potards chro­més (en métal) et ses boutons pous­soirs lumi­neux colo­rés, l’as­pect du Mico est vrai­ment agréable, voire élégant, que ce soit en plein jour ou dans la pénombre du studio.

Connec­tique riche

Mico

À l’ar­rière, on trouve deux prises combo jack/XLR pour les entrées audio, deux prises XLR pour les sorties analo­giques, une XLR pour la sortie numé­rique AES/EBU et les prises SPDIF coaxiales, Toslink et Word­Clock. Car le Mico comporte son propre conver­tis­seur A/N et sort aussi bien du signal analo­gique que numé­rique. Sa fréquence d’échan­tillon­nage qui se règle grâce à des DIP-Switchs sur l’ar­rière (pas la solu­tion la plus pratique si l’ap­pa­reil est en rack) peut être réglée à 44,1, 48 et 96 kHz ou en synchro­ni­sa­tion esclave. Pour peu qu’on lui branche une horloge externe sur l’en­trée Word­Clock, notre joujou peut alors monter jusqu’à 192 kHz. On le voit, le Mico offre beau­coup de souplesse et peut s’in­ter­fa­cer aisé­ment. On note quand même l’ab­sence de toute prise d’in­sert pour adjoindre un compres­seur ou limi­teur afin de sécu­ri­ser ses prises de risques de satu­ra­tion.

On retrouve une autre prise en face avant : l’en­trée DI en jack permet­tant de bran­cher un instru­ment comme une guitare ou une basse. Le bran­che­ment d’un jack sur cette prise bascule auto­ma­tique­ment l’en­trée 1 en mode DI et coupe l’en­trée arrière. Ensuite, les deux canaux se présentent de façon simi­laire. Ils ont en commun deux potards rota­tifs chro­més, dont celui de gauche qui concerne le gain. À gauche de celui-ci, on trouve le bouton pour l’ali­men­ta­tion fantôme 48 V et un Pad de –10dB (hélas inopé­rant en mode DI). Entre les deux poten­tio­mètres, on a le Vumètre de niveau consti­tué de 3 diodes jaunes (-36, –12, –6 dB) et d’une diode rouge annonçant le clip­ping. C’est loin d’être aussi précis qu’un bon vieux Vumètre à aiguilles, mais ça s’avère suffi­sant à l’usage. Dessous, on trouve deux boutons permet­tant de régler le coupe-bas. Le bouton gauche coupe à 40 Hz, le droit à 80 et les deux en même temps coupent à 120 Hz. Signa­lons égale­ment un bouton d’in­ver­sion de phase et un dernier pous­soir pour enclen­cher la fonc­tion spéciale propre à chaque canal, fonc­tion qui sera réglée par le poten­tio­mètre rota­tif droit.

Tout cela est très clair, très lisible et facile d’uti­li­sa­tion. L’illu­mi­na­tion des boutons rend immé­dia­te­ment visibles les réglages en cours. Comme c’est assez serré, il faut un peu de doigté pour tripo­ter tout cela. Rien de déli­cat, mais la concen­tra­tion sur une si petite surface n’offre évidem­ment pas le même confort que sur un rack complet.

Un bémol : les poten­tio­mètres sont un un peu légers et leurs cabo­chons ne sont pas à tête ronde, mais apla­tie. Ce qui amène à les régler par une rota­tion de la main. Or, les doigts vont ainsi faci­le­ment toucher les autres poten­tio­mètres et les déré­gler. Ceci est parti­cu­liè­re­ment marqué pour les potards de gain, surtout si l’on règle la tranche de la main gauche. On aurait préféré des potards plus fermes qui risquent moins de se déré­gler. À défaut, il faudra mani­pu­ler les réglages avec précau­tion.

Le son

Avant d’évoquer les fonc­tions spéciales, voyons comment le Mico sonne ‘de base’. Réponse : Vrai­ment bien. Le son est clair, limpide sans être exces­si­ve­ment froid. Tout au plus peut-on lui repro­cher un léger manque de carac­tère, mais est-ce un reproche ? Le son m’a un peu rappelé l’es­prit des préam­plis RME en un plus chaleu­reux, peut-être. Ajou­tons à cela un rapport signal/bruit vrai­ment excellent.

Et si l’on veut augmen­ter un peu l’am­pleur et la chaleur, le HMX est là pour ça.

HMX : tube or not tube ?

Le HMX est un circuit ajou­tant au signal entrant des harmo­niques pour l’en­ri­chir et le colo­rer un peu comme le ferait un circuit à tubes avec le gain poussé. C’est diable­ment effi­cace! Dès qu’on enclenche le HMX, même avec le potard à zéro, on sent le son prendre de l’am­pleur et une belle colo­ra­tion. En pous­sant le potard, pour peu que l’on ait un niveau d’en­trée fort, on va vers une satu­ra­tion. Je n’ai pas trouvé cepen­dant une si grande palette de colo­ra­tions sonores, car en pous­sant trop le réglage du HMX, on tombe assez vite à mon goût dans un résul­tat salis­sant trop le son et rendant celui-ci mou, avec une perte de défi­ni­tion. Chose qu’on pourra éven­tuel­le­ment utili­ser en effet spécial, mais qui ne passera pas forcé­ment sur toutes les sources. L’ex­cès n’est jamais bon.

Mais le HMX réglé au mini­mum néces­saire pour appor­ter une colo­ra­tion donne un très beau résul­tat gagnant de façon flagrante en ampleur et richesse tout en restant propre et clair. À noter que le HMX influe unique­ment sur le son du premier canal.

Exemples sonores

Toutes les prises de son ont été réali­sées en 44100 kHz avec le Mico entrant en SPDIF optique dans une RME Multi­face. À part la conver­sion pour les mp3, aucun trai­te­ment (pas même une norma­li­sa­tion) n’a été réalisé.

L’exemple 1 concerne la prise stéréo d’un bouzouki de luthier avec un AKG C414 et un Shoeps CMC5 capsule MK4 avec une varia­tion de phase progres­sive sur 180 degrés pendant tout l’ex­trait.

exem­ple1_bouzouki_vari­phase_mp3 est une combi­nai­son en mono des deux pistes qui vous permet d’en­tendre direc­te­ment l’ef­fet.

Les deux wav exem­ple1_bouzouki_droit_AKGC414 et exem­ple1_bouzouki_gauche_ShoepsCMC5_mk4 sont les pistes mono sépa­rées qui vous permettent de recons­ti­tuer la stéréo de votre choix.

L’exemple 2 concerne la prise du bouzouki en DI pour une piste et pris avec le C414 pour la seconde. Le fichier exem­ple2_bouzouki_DI&mic_stereo_mp3 permet une écoute rapide du résul­tat en stéréo.

Pour la chan­son MacAl­pi­ne’s Fusi­liers, la voix a été prise avec un C414. Le HMX est déclen­ché au début du second couplet (sur le mot « strip­ped ») au niveau mini, puis est augmenté progres­si­ve­ment.

Le SM58_HMX a évidem­ment été enre­gis­tré avec un SM58 et permet d’en­tendre l’ef­fet du HMX, d’abord à niveau raison­nable, puis plus poussé.

chant et bouzouki : Geor­ghe Frede­rico Lorio­lescu

Vari­phase : faites tour­ner !

La seconde fonc­tion spéciale nommée Vari­phase est asso­ciée au deuxième canal. Elle permet de faire varier sur 180° la phase du signal sur ce canal. C’est la même fonc­tion que celle qu’on trou­vait sur l’IBP de Little Labs testée sur Audio­Fan­zine. Je vous invite à lire ou relire le début de ce test pour voir comment cela fonc­tionne.

Mico

Comme sur l’IBP, cet ajus­te­ment de la phase se fait par un système de filtre permet­tant d’ef­fec­tuer un déca­lage tempo­rel en fonc­tion de la fréquence. La docu­men­ta­tion du Mico (en anglais) rappelle que la prio­rité reste à un bon place­ment des micros, l’ali­gne­ment ‘manuel’ de phases ne devant servir qu’à peau­fi­ner le résul­tat. Cela marche très bien, comme le montrent les extraits sonores. La modi­fi­ca­tion de phase avec le bouton Vari­phase permet vrai­ment de sculp­ter le son avec un résul­tat rappe­lant celui obtenu avec l’ex­cel­lente IBP. Peut-être même l’ef­fet est-il plus marqué. Comme pour cette dernière, par contre, l’uti­li­sa­tion en home-studio dans une pièce unique pourra être déli­cate : si la source n’est pas isolée dans une pièce diffé­rente des écoutes, il est diffi­cile de faire le réglage à cause du son direct de la source si celle-ci est puis­sante. Il faudra alors procé­der à de multiples essais d’en­re­gis­tre­ments qu’on réécou­tera avant de trou­ver le réglage adéquat.

Puisqu’on évoque l’IBP, signa­lons que même si les deux produits disposent de cette même fonc­tion de Vari­phase, ils sont très diffé­rents. L’IBP est d’abord et avant tout une DI utili­sable aussi dans un circuit niveau ligne et ne dispose pas de préam­pli micro. Inver­se­ment, le Mico, s’il dispose d’une entrée DI, ne permet pas de ré-amping et ne dispose pas de sortie ‘buf­fe­red’ permet­tant d’at­taquer un ampli ou une ligne d’ef­fets guitare ou basse. Le Mico est donc essen­tiel­le­ment pensé pour l’en­re­gis­tre­ment de micros alors que l’IBP est vrai­ment dédiée aux instru­ments élec­triques type guitare ou basse.

Évidem­ment, on peut enre­gis­trer une basse ou une guitare élec­trique avec le Mico. Il suffit de la bran­cher dans l’en­trée DI et on dispose du second canal pour reprendre un éven­tuel ampli avec un micro. Mais cela néces­site l’ajout d’une boîte Y en amont pour pouvoir entrer dans le Mico ET dans l’am­pli. Et pour ma part, je préfère le son plus analo­gique de l’IBP pour cette utili­sa­tion spéci­fique.

Le Mico s’avère par contre très pratique et adapté pour enre­gis­trer un instru­ment élec­tro-acous­tique dont on souhaite utili­ser le micro piezo. La sortie de l’ins­tru­ment est bran­chée dans l’en­trée DI tandis que l’on utilise le second canal pour un micro. Le résul­tat est alors excellent, d’au­tant que le réglage de Vari­phase permet vrai­ment de sculp­ter le son.

Conclu­sion

Le Mico n’est pas parfait et on lui trouve des petits points critiquables. Un des plus impor­tants est l’ab­sence d’in­serts. On a évoqué la légè­reté des poten­tio­mètres, on peut aussi parler du réglage de gain précis sur presque toute la course, mais deve­nant assez violent sur la fin. À mani­pu­ler avec déli­ca­tesse s’il faut cher­cher du haut gain. De même, on peut regret­ter que chaque enclen­che­ment de bouton (HMX, Vari­phase, coupe-bas) génère un petit bruit. Ce n’est pas bien grave, mais inter­dit tout chan­ge­ment de réglage en cours de prise.

Malgré ces détails, le Mico est un achat qui mérite large­ment d’être étudié. Quelqu’un déjà bien équipé, obtient ainsi pour 750€ TTC deux préam­plis de qualité avec des fonc­tions réel­le­ment utiles, d’au­tant que le Vari­phase est utili­sable sur une source ligne. Pour celui qui cherche un premier bon préam­pli, il me semble un choix encore plus perti­nent, appor­tant, pour un tarif raison­nable, qualité sonore, trans­por­ta­bi­lité et fonc­tions permet­tant d’élar­gir la palette sonore. D’au­tant que le fait qu’il dispose d’une sortie numé­rique de qualité permet d’évi­ter ou retar­der un éven­tuel chan­ge­ment de carte son. Les quelques sacri­fices réali­sés pour faire du Mico un produit compact et au tarif raison­nable ne doivent pas faire oublier qu’on a affaire à un véri­table produit pro tant dans sa fini­tion, sa qualité sonore que ses multiples possi­bi­li­tés. Bref, une petite bête diable­ment sédui­sante.

Points forts
  • qualité sonore
  • intelligence du concept
  • fonctions réellement utiles
  • élégance du produit
  • transportabilité
  • connectique riche
  • convertisseur intégré
Points faibles
  • pas d'inserts
  • potards un peu légers
Soyez le premier à réagir à cet article

    Vous souhaitez réagir à cet article ?

    Se connecter
    Devenir membre
    cookies
    Nous utilisons les cookies !

    Oui, Audiofanzine utilise des cookies. Et comme la dernière chose que nous voudrions serait de perturber votre alimentation avec des choses trop grasses ou trop sucrées, sachez que ces derniers sont fait maison avec des produits frais, bio, équitables et dans des justes proportions nutritives.
    Ce que cela veut dire, c’est que les infos que nous y stockons ne visent qu’à simplifier votre usage du site comme à améliorer votre expérience sur nos pages et vous afficher des publicités personnalisées (en savoir plus).

    Nous tenons à préciser qu’Audiofanzine n’a pas attendu qu’une loi nous y oblige pour respecter la vie privée de nos membres et visiteurs. Les cookies que nous utilisons ont en commun leur unique objectif qui est d’améliorer votre expérience utilisateur.

    Tous nos cookies
    Cookies non soumis à consentement
    Il s'agit de cookies qui garantissent le bon fonctionnement du site Audiofanzine. Le site Web ne peut pas fonctionner correctement sans ces cookies. Exemples : cookies vous permettant de rester connecté de page en page ou de personnaliser votre utilisation du site (mode sombre ou filtres).
    Analyse de l’audience (Google Analytics)
    Nous utilisons Google Analytics afin de mieux comprendre l’utilisation que nos visiteurs font de notre site pour tenter de l’améliorer.
    Publicités (Google Ads)
    Ces informations nous permettent de vous afficher des publicités qui vous concernent grâce auxquelles Audiofanzine est financé. En décochant cette case vous aurez toujours des publicités mais elles risquent d’être moins intéressantes :) Nous utilisons Google Ad Manager pour diffuser une partie des publicités, des mécanismes intégrés à notre CMS pour le reste. Nous sommes susceptibles d’afficher des publicités provenant de notre propre plateforme, de Google Advertising Products ou encore de la régie Adform.
    Marketing (Meta Pixel)

    Sur nos sites web, nous utilisons le Meta Pixel. Le Meta Pixel est un pixel de remarketing mis en œuvre sur nos sites web qui nous permet de vous cibler directement via le Meta Network en diffusant des publicités aux visiteurs de nos sites web lorsqu’ils visitent les réseaux sociaux Facebook et Instagram. Les métapixels sont des extraits de code capables d’identifier votre type de navigateur via l’ID du navigateur - l’empreinte digitale individuelle de votre navigateur - et de reconnaître que vous avez visité nos sites web et ce que vous avez regardé exactement sur nos sites web. Lorsque vous visitez nos sites web, le pixel établit une connexion directe avec les serveurs de Meta. Meta est en mesure de vous identifier grâce à l’identifiant de votre navigateur, car celui-ci est lié à d’autres données vous concernant stockées par Meta sur votre compte d’utilisateur Facebook ou Instagram. Meta diffuse ensuite des publicités individualisées de notre part sur Facebook ou sur Instagram qui sont adaptées à vos besoins.

    Nous ne sommes nous-mêmes pas en mesure de vous identifier personnellement via le pixel meta, car à part l’ID de votre navigateur, aucune autre donnée n’est stockée chez nous via le pixel.

    Pour plus d’informations sur le Meta Pixel, les détails du traitement des données via ce service et la politique de confidentialité de Meta, veuillez consulter le site suivant Meta Privacy Policy - How Meta collects and uses user data pour Facebook et Meta Privacy Policy - How Meta collects and uses user data pour Instagram.

    Meta Platforms Ireland Ltd. est une filiale de Meta Platforms, Inc. basée aux États-Unis. Il n’est pas exclu que vos données collectées par Facebook soient également transmises aux États-Unis.


    Nous tenons à préciser qu’Audiofanzine n’a pas attendu qu’une loi nous y oblige pour respecter la vie privée de nos membres et visiteurs. Les cookies que nous utilisons ont en commun leur unique objectif qui est d’améliorer votre expérience utilisateur.

    Tous nos cookies
    Cookies non soumis à consentement

    Il s’agit de cookies qui garantissent le bon fonctionnement du site Audiofanzine. Le site Web ne peut pas fonctionner correctement sans ces cookies. Exemples : cookies vous permettant de rester connecté de page en page ou de personnaliser votre utilisation du site (mode sombre ou filtres).

    Analyse de l’audience (Google Analytics)

    Nous utilisons Google Analytics afin de mieux comprendre l’utilisation que nos visiteurs font de notre site pour tenter de l’améliorer. Lorsque ce paramètre est activé, aucune information personnelle n’est envoyé à Google et les adresses IP sont anonymisées.

    Publicités (Google Ads)

    Ces informations nous permettent de vous afficher des publicités qui vous concernent grâce auxquelles Audiofanzine est financé. En décochant cette case vous aurez toujours des publicités mais elles risquent d’être moins intéressantes :) Nous utilisons Google Ad Manager pour diffuser une partie des publicités, des mécanismes intégrés à notre CMS pour le reste. Nous sommes susceptibles d’afficher des publicités provenant de notre propre plateforme, de Google Advertising Products ou encore de la régie Adform.

    Marketing (Meta Pixel)

    Sur nos sites web, nous utilisons le Meta Pixel. Le Meta Pixel est un pixel de remarketing mis en œuvre sur nos sites web qui nous permet de vous cibler directement via le Meta Network en diffusant des publicités aux visiteurs de nos sites web lorsqu’ils visitent les réseaux sociaux Facebook et Instagram. Les métapixels sont des extraits de code capables d’identifier votre type de navigateur via l’ID du navigateur - l’empreinte digitale individuelle de votre navigateur - et de reconnaître que vous avez visité nos sites web et ce que vous avez regardé exactement sur nos sites web. Lorsque vous visitez nos sites web, le pixel établit une connexion directe avec les serveurs de Meta. Meta est en mesure de vous identifier grâce à l’identifiant de votre navigateur, car celui-ci est lié à d’autres données vous concernant stockées par Meta sur votre compte d’utilisateur Facebook ou Instagram. Meta diffuse ensuite des publicités individualisées de notre part sur Facebook ou sur Instagram qui sont adaptées à vos besoins.

    Nous ne sommes nous-mêmes pas en mesure de vous identifier personnellement via le pixel meta, car à part l’ID de votre navigateur, aucune autre donnée n’est stockée chez nous via le pixel.

    Pour plus d’informations sur le Meta Pixel, les détails du traitement des données via ce service et la politique de confidentialité de Meta, veuillez consulter le site suivant Meta Privacy Policy - How Meta collects and uses user data pour Facebook et Meta Privacy Policy - How Meta collects and uses user data pour Instagram

    Meta Platforms Ireland Ltd. est une filiale de Meta Platforms, Inc. basée aux États-Unis. Il n’est pas exclu que vos données collectées par Facebook soient également transmises aux États-Unis.


    Vous pouvez trouver plus de détails sur la proctection des données dans la politique de confidentialité.
    Vous trouverez également des informations sur la manière dont Google utilise les données à caractère personnel en suivant ce lien.