Sujet de la discussionPosté le 25/11/2019 à 09:53:09Commentaires sur le test : Test du synthétiseur Behringer Poly D
Après le Model D au format module, Behringer présente le Poly D, un synthé compact complet : panneau inclinable, clavier dynamique, paraphonie à quatre VCO, chorus et distorsion analogiques, arpégiateur, séquenceur… et un tarif à tomber !
OK merci pour l'éclaircissement COYOTE14 ! vraiment dommage que Behringer n'ai pas utilisé des encodeurs numérisés pour le polyD...
Ce n'est pas qu'une histoire d'encodeurs. On l'a déjà répété moult fois :
-- dans un synthé à mémoires (et pilotable avec des CC MIDI), tu as un microprocesseur central qui scanne la position des potards et sort des tensions de contrôle pour piloter les circuits qui produisent le son
-- dans un synthé analo sans mémoire, les potards sont directement sur les circuits qui produisent le son, et parfois même sont directement sur le trajet du son.
Transformer un synthé sans mémoire en un synthé avec mémoire, ça ne se fait pas en un claquement de doigts : il faut revoir intégralement la conception de tous les circuits. C'est équivalent à repartir de zéro.
Le gros avantage de la disto intégrée est qu’elle matche parfaitement avec l'impédance et le niveau de sortie du synthé . Du coup pas de soucis de fréquences qui s’écroulent ou de souffle exagéré.
Le gros avantage des milliers de pédales pour guitares et basses est qu'elles existent et souvent ne sont pas très chères..
C’est pourtant un constat réaliste : la disto est à la mode sur les productions actuelles.....
Ca ne date pas d'hier, certes, mais ca restait subtil pour donner de l'epaiseur
Actuellement c'est de l'abus au point de faire saturer un synthe comme un ampli guitare