Commentaires sur le test : Everest analogique
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synthwalker
12082
Rédacteur·trice
Membre depuis 21 ans
Sujet de la discussion Posté le 23/12/2017 à 14:42:05Commentaires sur le test : Everest analogique
Il aura fallu dix ans pour mettre au point le synthé analogique polyphonique programmable à ce jour le plus puissant de l’histoire. À trois, nous avons réussi à en capturer un !
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Two Pages
5497
Je poste, donc je suis
Membre depuis 21 ans
181 Posté le 28/12/2017 à 23:49:52
Citation :
Mais il n'est pas si compliqué, car:
- tout est en façade, pas de menu pour la partie synthèse.
- la sérigraphie indique le routing entre les différentes sections.
- C'est dans l'absolu bien moins compliqué que n'importe quelle Workstation, qui comportent toutes bien plus de menus / paramètre que ce Schmidt.
Effectivement c’est déjà plus simple, je m’en suis pas rendu compte
Je l’ai pas eu devant les yeux MOI
coyote14
15782
Modérateur·trice thématique
Membre depuis 20 ans
182 Posté le 28/12/2017 à 23:59:20
Moi non plus! Plus maintenant, en tous cas!
kosmix
46329
Ma vie est un thread...
Membre depuis 19 ans
183 Posté le 29/12/2017 à 00:00:39
Le gros avantage ce ce synthé je pense, outre ses possibilités exceptionnelles, c'est justement l'absence de matrice de modulations. Car c'est cette dernière qui souvent rend les analogiques moins fun à utiliser car elle oblige à passer par des menus et pas directement par des potards. Avec le Schmidt tout est là sous les yeux.
x
Hors sujet :Citation de ipm :J'ai mal écris mon propos est ce qu'il y aurait déjà eu des synthès "awards de legende" dans la tête de synthwalker avant
Ah désolé, j'avais effectivement mal compris ta phrase.
Putain Walter mais qu'est-ce que le Vietnam vient foutre là-dedans ?
[ Dernière édition du message le 29/12/2017 à 00:01:20 ]
THOMAS charette
14687
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 19 ans
184 Posté le 29/12/2017 à 00:07:48
Sauf la matrice du .....
Matrix !
Difficile quand on est novice de BIEN faire sonner le Matrixbrute car c est hyper rapide de faire de la bouillie avec autant de possibilités , avec sa splendide matrice tout devient tellement plus simple. Zéro menu tout en façade.
Matrix !
Difficile quand on est novice de BIEN faire sonner le Matrixbrute car c est hyper rapide de faire de la bouillie avec autant de possibilités , avec sa splendide matrice tout devient tellement plus simple. Zéro menu tout en façade.
Thom'
coyote14
15782
Modérateur·trice thématique
Membre depuis 20 ans
185 Posté le 29/12/2017 à 00:11:48
ça, c'est vrai. J'ai rencontré, au départ, le même problème avec le GRP A4: l'amplitude des réglages est telle que le dosage de chaque paramètre doit être fait avec beaucoup de précision/parcimonie pour que ça reste musical. La sortie de route (parfois délicieuse) est toujours proche sur ces synthés.
chapolin
10498
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 20 ans
186 Posté le 29/12/2017 à 00:33:59
Tiens le GRP A4, je ne connaissais pas, il a une belle tête ce synthé aussi
THOMAS charette
14687
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 19 ans
187 Posté le 29/12/2017 à 01:25:52
Des belles bestioles les grp, j’aimerais en croiser un un jour. Tellement elististe comme marque que meme sur leur site tu sais pas comment l’acheter mdr
Thom'
synthwalker
12082
Rédacteur·trice
Membre depuis 21 ans
188 Posté le 29/12/2017 à 06:53:51
La matrice du Matrixbrute est effectivement l’alternative la plus ergonomique aux menus déroulants comme chez DSI. Ça rend les choses tellement plus simples ! La limite c’est que c’est une représentation graphique de commandes numériques transformées en tension, donc tout ce qui est modulations audio (FM, RM, etc...) analo passe hors matrice.
De ce point de vue, le Schmidt propose un tas de modulations audio entre les oscillos et les filtres assez inédits au sein même des modules... le schéma des routages est pas mal pour voir cela... après, il est vrai qu’avoir les modulations non audio dans les modules est aussi très pratique mais ça crée des redondances et ça augmente les commandes. Ça rend la machine plus impressionnante mais pas plus compliquée.
De ce point de vue, le Schmidt propose un tas de modulations audio entre les oscillos et les filtres assez inédits au sein même des modules... le schéma des routages est pas mal pour voir cela... après, il est vrai qu’avoir les modulations non audio dans les modules est aussi très pratique mais ça crée des redondances et ça augmente les commandes. Ça rend la machine plus impressionnante mais pas plus compliquée.
chapolin
10498
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 20 ans
189 Posté le 29/12/2017 à 10:06:55
Les matrices de modulation obligent à faire des abstractions, les maîtriser ne peut se faire qu'avec de nombreuses heures de pratique, le plus compliqué étant pour moi de s'en souvenir quand on veut revenir sur un son. La solution d'un éditeur visuel comme celui du Solaris est à mon sens vraiment très précieux, çà fait gagner beaucoup de temps pour visualiser ce qu'on fait tout en continuant à le programmer du potard. Sinon les petites touches view disséminées partout sur l'Andromeda son une autre solution tout à fait judicieuse. On se pose souvent la question des progrès en matière de synthèse mais de belles avancées peuvent venir aussi de l’ergonomie. Un hypothétique Matrixbrute polyphonique çà doit être rudement bien ...
Desmodue
5205
Je poste, donc je suis
Membre depuis 19 ans
190 Posté le 29/12/2017 à 11:05:31
Citation :
Les matrices de modulation obligent à faire des abstractions, les maîtriser ne peut se faire qu'avec de nombreuses heures de pratique, le plus compliqué étant pour moi de s'en souvenir quand on veut revenir sur un son.
Une solution qui va bien c'est par exemple celle là :
reprise depuis peu par :
Là c'est pas compliqué et très visuel : sur un axe les sources, sur l'autre les destinations, et on enfonce une fiche banane (ou on appuie sur un bouton lumineux) et on a tout sous les yeux.
Citation :
On se pose souvent la question des progrès en matière de synthèse mais de belles avancées peuvent venir aussi de l’ergonomie.
+ 1000 !
Combien d'instruments sont pleins de possibilités "inconnues" (ou jamais utilisées) tellement elles sont enfouies sous des couches de menus et sous-menus, le tout affiché sur un écran format carte de visite ? Ce qui expliquerait en partie du moins le retour en grâce de l'analogique avec un bouton par fonction, en réaction au modèle "analyste programmeur" ou du moins "téléphone portable" apparu avec les DX7, D50 et compagnie, qui s'est évidemment complexifié à chaque nouvelle génération d'instruments sans que l'interface change beaucoup. La parade c'était les éditeurs sur ordinateur, parade hélas temporaire puisque à chaque nouvelle version d'O.S. les logiciels ne fonctionnaient plus ou mal...
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