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Sujet Synthés dans la variété internationale dans les années 70 et 80.

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Sujet de la discussion Synthés dans la variété internationale dans les années 70 et 80.
Je fais un honteux copié-collé du post de Renaudg :

Citation de renaudg :
Salut,

Je me suis souvent demandé quels étaient les synthés de prédilection sur un certain nombre de tubes 80s en variété/synthpop internationale qui ont quelques riffs mémorables.

Toutes infos bienvenues :)


Alors on commence par celui-là.
Pro-one pour la basse et le synthé.
Pour le rythme j'entends divers sources : TR-808 + ARP 2600 ou TR-808 + Pro-one

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Citation de vilak :

Le cahier des charges de Korg était clair : proposer un synthétiseur polyphonique de recherche programmable pour un prix maximum de 250.000 yens.
Ca a donc était fait, mais au prix de sacrifices.

Je ne qualifierai pas le Polysix de synthé de recherche. Synthé polyphonique programmable, c’est tout. Cela, je le trouve très sympa
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Dans les magazines d'époque qui ont fait ma culture, tout ce qui n'est pas ni preset ni string-machine et qui te permet de ciseler un son est appelé "synthé de recherche".
Je vois ce terme employé même pour des machines vraiment mini, comme le Kawai 100-F, le Yamaha CS-5, le Roland SH-09 ou le Moog Prodigy.

Peux-tu me donner plus de précisions sur ton point de vue?
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Je pense qu'à l'époque, ça désignait un synthé programmable, rien de plus.
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Non, les instruments que je viens de citer et sortis entre 77 et 80 n'étaient pas programmables et ils étaient qualifiés de synthés de recherche pas les magazines.
C'était donc forcément parce qu'ils permettaient à son utilisateur de fabriquer son propre patch.
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Citation :
Peux-tu me donner plus de précisions sur ton point de vue?


Tu as raison de signaler que c'est mon point de vue, je ne dis pas que ma définition est universelle.
Pour moi un synthé de recherche n'est pas juste un synthé programmable.
Un synthé "synthétise" par des des moyens électroniques* des sons, il est programmable si il possède une interface qui permette d'agir sur certains paramètres afin de programmer un son. Et il est dit de recherche, pour moi, quand il possède des possibilités de modulations, d'interactions d'oscillateurs, etc.. qui lui permet de s'émanciper des sons classiques de la synthèse, donc de faire de la recherche sonore. Ce que la P6 ne permet pas. Même la programmation d'effets est très limité avec lui sans générateur de bruit.
D'ailleurs, j'ai joué sur un exemplaire il n'y a pas très longtemps. Et c'est un chouette synthé, malgré tout. Avec une personnalité sympa, mais qui ne va pas beaucoup plus loin que les sons de synthèse très classiques.
Beaucoup de monos avec suffisamment de possibilités sont dit de recherche parce qu'ils ont cette faculté de sortir des sentiers battus.


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Hors sujet :

*question a deux balles : peut on considérer les orgues à tuyaux comme les ancêtres des synthès?

[ Dernière édition du message le 26/11/2023 à 19:34:34 ]

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Ah je vois le point.
Il y a confusion entre les termes "de recherche" et 'programmable".

Pour les magazine et les constructeurs de l'époque, "programmable' voulait dire "doté de mémoires de patch" et rien d'autre.
Donc toujours pour l'époque, s'il était programmable, le synthé était forcément un synthé de recherche.


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Hors sujet :
Citation de Coramel :

*question a deux balles : peut on considérer les orgues à tuyaux comme les ancêtres des synthèses?

Pour moi, c'est oui, sans aucun doute.

Sans musique, la vie serait une erreur. (F. Nietzsche)

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