Hors sujet : Je viens de trouver des extraits musicaux de D. Daniels et, effectivement, je retrouve en lui ce petit quelque chose qui me déplaît dans ma voix. Quand il chante aigu, ça sonne encore grave et on est loin de la pureté d'un A. deller ou d'un J. Bowman.
Quand on parle de contre-fa pour la basse-profonde, s'agit-il du fa en-dessous de la première ligne, en clé de fa, ou celui une ocatve au-dessous?
À propos de basse-profonde, j'ai trouvé ça (ici):
- La Basse profonde, autrefois nommée Basse-contre, située du ré ou du mi au-dessous de la portée, en clef de fa, sol ou au si, une douzième plus haut; Levasseur, pour qui Meyerbeer écrivit les rôles de Bertram, dans Robert le Diable (1831), et de Marcel, dans Les Huguenots (1836), descendait au mi bémol au-dessous des lignes et montait au fa dièse au-dessus. Un air de Haendel, chanté par Boschi dans Acis et Galatée (1708), dépasse encore cette étendue.
J'ai la partition de robert le diable et effectivement betram va du fa sous la portée en clef de fa au mi au dessus. Ce qui ne doit pas être evident, ça utilise les deux extreme d'une voix. Je serais curieux de l'entendre car cela me parait excessivement grave.
Ça depends lesquels, je connais plus de bon tenor russe que de basse. Ceci dit, les choeurs de l'armée soviétique possedait quelques basses absolument extraordinaire. J'ai des enregistrements géniaux!!!
Je reviens a ce que je te disais ci dessus: des contre tenors russes je n'en connait pas, dommage: ç'aurait de la gueule un duo contre ténors, basse profonde.